@eLLuLa mais le fait que la vague de produits culturels qui surfent sur les années 80 ne visent pas uniquement ceux qui ont grandi avec ne signifie pas que c'est le seul public visé (ce serait con économiquement parlant), ça capitalise aussi bien sûr sur les jeunes.
Mais ça ne change rien à ce que je dis en fait, je ne comprends pas cette focalisation sur mon exemple des années 80, qui reste complètement valide : on peut tourner ça dans tous les sens, dire que ça ne vise pas uniquement ce public de "parents" (oui, bien sûr), ça reste complètement faux de dire que "la génération de nos parents ne baignent pas dans une culture de remakes, de suites et de rétrospectives de programmes de leur jeunesse constants": il y a une énorme masse d'exemples pour contredire cela.
C'est juste que "nous", "leurs enfants", nous baignons forcément dans cet océan de remakes des 80's avec eux
(et on en redemande vu les audiences
).
Et ce marketing de la nostalgie est loin de dater de maintenant : les années 80 avaient déjà une certaine nostalgie "pop culturelle" des années 50 par exemple (voir le premier Retour vers le futur par exemple), et il y a pas mal de "cycles" de nostalgie, notamment des cycles de 30 ans. Lindsay Ellis en parle dans cette vidéo (sous-titrée en français) par exemple, c'est assez intéressant :
Et la question des goodies est selon moi une question annexe : je ne pense pas du tout que l'achat de goodies soit le marqueur principal de l'intérêt pour telle ou telle période question pop culture, c'est plus le visionnage au ciné / à la TV.
Idem pour la question des plateformes et des modes de diffusion : au contraire cette fragmentation de l'offre, pléthorique, va plutôt rendre plus difficile je pense le marketing de la nostalgie des années 2010 dans 20 ans, même si on a tout de même actuellement des grandes messes pop culturelles qui ont marquées la décennie (je pense aux Avengers par exemple, on est prêt pour un remake d'Iron Man dans 10 ans je parie
)
Mais ça ne change rien à ce que je dis en fait, je ne comprends pas cette focalisation sur mon exemple des années 80, qui reste complètement valide : on peut tourner ça dans tous les sens, dire que ça ne vise pas uniquement ce public de "parents" (oui, bien sûr), ça reste complètement faux de dire que "la génération de nos parents ne baignent pas dans une culture de remakes, de suites et de rétrospectives de programmes de leur jeunesse constants": il y a une énorme masse d'exemples pour contredire cela.
C'est juste que "nous", "leurs enfants", nous baignons forcément dans cet océan de remakes des 80's avec eux
(et on en redemande vu les audiences
).Et ce marketing de la nostalgie est loin de dater de maintenant : les années 80 avaient déjà une certaine nostalgie "pop culturelle" des années 50 par exemple (voir le premier Retour vers le futur par exemple), et il y a pas mal de "cycles" de nostalgie, notamment des cycles de 30 ans. Lindsay Ellis en parle dans cette vidéo (sous-titrée en français) par exemple, c'est assez intéressant :
Et la question des goodies est selon moi une question annexe : je ne pense pas du tout que l'achat de goodies soit le marqueur principal de l'intérêt pour telle ou telle période question pop culture, c'est plus le visionnage au ciné / à la TV.
Idem pour la question des plateformes et des modes de diffusion : au contraire cette fragmentation de l'offre, pléthorique, va plutôt rendre plus difficile je pense le marketing de la nostalgie des années 2010 dans 20 ans, même si on a tout de même actuellement des grandes messes pop culturelles qui ont marquées la décennie (je pense aux Avengers par exemple, on est prêt pour un remake d'Iron Man dans 10 ans je parie
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Dernière édition :

), enfin c'était des sous-entendus assez clairs à mes yeux. Bien sûr, on nous présente la chose sous les termes d'une connexion intellectuelle avant tout, mais je trouve que leur histoire est racontée selon les tropes de la passion maudite : le rapprochement rapide et intense, le côté âmes soeurs (qui aurait très bien pu être platonique, bien sûr, mais je trouve pas que c'est l'impression que ça donne dans le texte), Dumbledore qui de son propre aveu est aveuglé par ses sentiments et ne voit pas le côté sombre de son acolyte, l'évènement tragique qui les sépare, la confrontation des années plus tard alors qu'ils ont tous les deux suivi leur propre chemin, et, comme tu dis, le fait qu'une fois devenu vieux, Grindelwald essaie d'empêcher Voldemort de violer la sépulture de Dumbledore. J'avais compris tout ça plus ou moins intuitivement à l'époque. Et pourtant je n'étais pas la plus avertie sur ces questions, j'étais une jeune ado.
)