Rien à dire de plus.
lolLe problème c'est que cette clause de conscience elle ne concerne pas QUE les pilules du lendemain, ce dont vous ne semblez pas tenir compte dans l'article.
Perso quand je vois des gamins faire le tour des pharmacies pour se procurer du sirop à la codéine dans le but de se "droguer" avec, ignorant totalement que ça peut être nocif pour leur santé, je me dis que cette clause serait peut-être utile...
Heu... Faut pas une ordonnance pour ce genre de médocs à la base? Je pense pas franchement qu'il y ai besoin d'une clause de conscience pour ça, si? Quand t'es pharma tu arrives quand même à faire la différence entre quelqu'un qui a vraiment besoin d'un anti-douleur ou un crétin qui cherche à faire le zouzou, non? Un.e pharmacien.ne pour confirmer?des gamins faire le tour des pharmacies pour se procurer du sirop à la codéine dans le but de se "droguer" avec
Je ne suis pas pharma moi-même et je ne saurai pas te répondre pour la question des ordonnances mais là comme ça je te dirais que quand on ne connaît pas les gens, ça n'est pas forcément évident de faire la différence, non.Je pense pas franchement qu'il y ai besoin d'une clause de conscience pour ça, si? Quand t'es pharma tu arrives quand même à faire la différence entre quelqu'un qui a vraiment besoin d'un anti-douleur ou un crétin qui cherche à faire le zouzou, non?
Selon le dosage en codéine (codoliprane 400, néocodion...) , l'ordonnance n'est pas obligatoire et la vente est limitée à 1 boite par jour et par personne. Cependant ça n’empêche pas que le pharmacien peut refuser de délivrer ce genre de produit. La clause de conscience n'entre pas en compte, là c'est vis à vis de la santé des patients et dans le cadre de la lutte contre le mésusage des médicaments, le dopage et la toxicomanie.Heu... Faut pas une ordonnance pour ce genre de médocs à la base? Je pense pas franchement qu'il y ai besoin d'une clause de conscience pour ça, si? Quand t'es pharma tu arrives quand même à faire la différence entre quelqu'un qui a vraiment besoin d'un anti-douleur ou un crétin qui cherche à faire le zouzou, non? Un.e pharmacien.ne pour confirmer?
Je ne suis pas pharma moi-même et je ne saurai pas te répondre pour la question des ordonnances mais là comme ça je te dirais que quand on ne connaît pas les gens, ça n'est pas forcément évident de faire la différence, non.
Sinon j'avais cru comprendre qu'une telle clause de conscience devait servir pour prévenir le risque d'une personne qui "abuserait" de la pilule du lendemain (qui est quand même violente pour l'organisme). Pas réellement dans l'idée d'empêcher la personne de la prendre, mais de s'assurer qu'elle sait ce qu'elle fait et qu'elle est au courant des effets secondaires (comme le fait que prise trop souvent elle perd en efficacité etc).
@Chaj Merci pour ta précision. J'ai essayé de me documenter avant de sortir une bêtise grosse comme un éléphant mais puisque mes sources viennent d'internet, j'avais évidemment des doutes. J'ai effectivement lu sur plusieurs sites qui avaient l'air plus ou moins sérieux cette histoire de perte d'efficacité, une question d'accoutumance du corps aux hormones en plus fortes doses. Et personnellement cette information me fait peur donc si c'est faux ça m'arrange !
Et on est bien d'accord sur "l'abus" des médicaments d'où mes guillemets dès le début. L'histoire de la carte de fidélité mais ... J'ai peut-être mal formulé mais dans mon idée le pharmacien devait s'assurer de l'information (et bien de l'information, pas du jugement "halala fallait t'abstenir" ) de la personne à partir du moment où celle-ci demandait la pilule du lendemain (ou du paracétamol ou ce que tu veux ...) qu'iel sache ou non si c'était la première ou soixantième fois que la personne y a recours.
Enfin je crois que j'avais surtout mal compris le but de cette clause (coucou les bisounours), j'avais l'impression que l'idée était plus de prévenir plutôt qu'empêcher bêtement et simplement l'accès à un médicament. En tout cas encore merci pour ton post.