La clope en soirée appart, ce grand sujet dont personne ne parle
- Initiateur de la discussion Mymy Haegel
- Date de début
Surtout que tu avais l'air de dire qu'il n'y avait pas de preuve que l'industrie de la viande était très mauvaise 
Ben le problème dans la rue, c'est que parfois tu marches en suivant une autre personne (pas intentionnellement hein), et vu que tu es derrière tu ne vois pas qu'elle fume, et donc si le vent est dans le mauvais sens, tu te prends des bouffées de fumée par surprise. Et pour peu que la rue soit étroite, avec des obstacles ou bondée, ben tu ne peux pas changer de trajectoire et tu continues d'inhaler la fumée (ça m'est arrivé trois fois rien que cette semaine). Et j'ai beau ne pas être asthmatique, la fumée me fait tousser, et comme j'ai les yeux sensibles ça me brûle les yeux, mais c'est encore autre chose.
Et le pire ce sont les gens qui marchent en faisant de grands mouvements de balancier avec les bras, sauf qu'ils ont une clope au bout, et j'ai toujours peur de me faire brûler (bon je ne sais pas si la chaleur d'une cigarette suffit pour brûler avec un simple effleurement, mais je me dis surtout que les fumeurs en question n'en ont vraiment rien à faire du reste du monde).
Et le pire ce sont les gens qui marchent en faisant de grands mouvements de balancier avec les bras, sauf qu'ils ont une clope au bout, et j'ai toujours peur de me faire brûler (bon je ne sais pas si la chaleur d'une cigarette suffit pour brûler avec un simple effleurement, mais je me dis surtout que les fumeurs en question n'en ont vraiment rien à faire du reste du monde).
@Enheduanna : Brûler quelqu'un avec ma clope c'est ma hantise. Je ne comprends clairement pas celleux qui fument dans la foule, déjà pour le fait d'enfumer tout le monde autour mais aussi parce que quand on est serré avec du monde tout autour le risque de toucher quelqu'un avec ta cigarette me paraît hyper élevé. Donc je n'approuve pas non plus les grands mouvements dans la rue avec une cigarette (même si j'ai pu le faire ado, mais ado j'étais assez inconsciente de la gêne que je pouvais occasionner #petiteconne).
@MaryJAnna Tout le monde ne pense pas comme toi apparemment et malheureusement. Et les gens que j'ai vu faire ça étaient loin d'être des ados.
@Anandryne Je me permets de réagir rapidement car j'ai l'impression que c'est en partie à cause de moi que les commentaires de @candyclown t'ont choqué. Je suis fumeuse (enfin je suis en sevrage actuellement mais c'est pas le sujet) et je suis très concernée par les problèmes que j'occasionne chez les non-fumeurs (et fumeurs aussi, c'est pas parce que quelqu'un fume qu'il/elle doit subir la fumée des autres). En postant sur ce topic, je me suis aperçue que les consignes générales données aux fumeurs pour ne pas gêner les autres sont insuffisantes (en général cela consiste à ne pas fumer en intérieur sans permission, ne pas tenir son mégot sous le nez des autres et ne pas souffler la fumée dans le visage). Moi-même, j'applique des règles bien plus restrictives depuis un moment pour minimiser mon effet sur les non-fumeurs. En mettant bout à bout les commentaires des non-fumeurs, je me suis rendue compte que mes règles, pourtant plus élaborées, ne suffisaient toujours pas pour que les non-fumeurs (et fumeurs ne souhaitant pas être enfumés) soient tranquilles. J'ai donc mené une expérience, en ville, pour voir si je parvenais à totalement préserver les gens de ma fumée (la description est dans un post précédent).
J'en suis arrivée à la conclusion qu'il est actuellement impossible pour un fumeur, en ville, de garantir que sa fumée n'atteindra jamais personne (chaque personne étant potentiellement quelqu'un qui ne souhaite pas être enfumé). Or, il y a toujours des fumeurs, qui doivent fumer (par définition, sinon ils seraient non fumeur), la question est donc : comment les fumeurs peuvent-ils fumer tout en préservant au maximum les autres gens ? Dans l'idéal, et je crois que tout le monde est d'accord là-dessus, il faudrait des lieux dédiés (type fumoir) mais pour l'instant il n'y en a pas, et je ne pense pas que cela se fasse dans un futur proche malheureusement.
Alors oui, il faut bien se poser la question du cadre dans lequel l'effet de la cigarette est le moins néfaste. Cela ne signifie pas que l'on minimise l'effet du tabagisme, juste que l'on essaye de trouver le meilleur compromis étant donné la situation actuelle.
Mon souci, en tant que fumeuse, à chaque fois qu'un non-fumeur dit "le tabagisme tue, la fumée est nocive, je risque de mourir si je suis en contacte avec de la fumée", c'est que cela ne me donne aucune information sur comment je peux faire, justement, pour fumer sans risquer de déclencher des crises d'asthmes ou je ne sais quelle crise atroce chez des gens qui n'ont rien demandé. C'est justement parce que je ne minimise pas l'effet de la fumée chez les gens que je cherche le meilleur moyen pour fumer. Et c'est bien mon problème avec l'approche de @Sol Invictus qui (je crois, j'ai peut être mal compris) considère qu'une fois fumeur, il n'y a plus qu'à assumer le fait qu'on nuit aux autres et qu'on les empoisonne. Je n'apprécie pas cette approche car à trop "assumer", on ne fait plus aucun efforts, or je crois qu'il y a des façons de fumer qui sont moins néfastes pour les autres (attention : je n'ai pas dit "pas néfaste" mais bien "moins néfaste"). C'est sur ce point qu'a réagit @candyclown, étant donné qu'en l'état actuel des ville, il est impossible pour un fumeur de préserver totalement les autres de sa fumée, son avis est que le MOINS PIRE est de fumer dans la rue, en marchant, dans une rue qui ne soit pas trop fréquentée (pas de foule) et d'être facile à dépasser.
J'ai repris beaucoup de choses postées par d'autres Madz, j'espère ne pas avoir fait d'erreur d’interprétation, sinon je m'en excuse.
Je précise aussi que je ne trouve pas normal qu'il n'y ait pas de solution pour ne pas enfumer les autres. Ceci étant dit, ce n'est pas une raison pour ne pas essayer de trouver des solutions temporaires pour amoindrir la quantité de fumée inhalée passivement par les gens, en attendant que de vrais, bonnes mesures soient prises.
J'en suis arrivée à la conclusion qu'il est actuellement impossible pour un fumeur, en ville, de garantir que sa fumée n'atteindra jamais personne (chaque personne étant potentiellement quelqu'un qui ne souhaite pas être enfumé). Or, il y a toujours des fumeurs, qui doivent fumer (par définition, sinon ils seraient non fumeur), la question est donc : comment les fumeurs peuvent-ils fumer tout en préservant au maximum les autres gens ? Dans l'idéal, et je crois que tout le monde est d'accord là-dessus, il faudrait des lieux dédiés (type fumoir) mais pour l'instant il n'y en a pas, et je ne pense pas que cela se fasse dans un futur proche malheureusement.
Alors oui, il faut bien se poser la question du cadre dans lequel l'effet de la cigarette est le moins néfaste. Cela ne signifie pas que l'on minimise l'effet du tabagisme, juste que l'on essaye de trouver le meilleur compromis étant donné la situation actuelle.
Mon souci, en tant que fumeuse, à chaque fois qu'un non-fumeur dit "le tabagisme tue, la fumée est nocive, je risque de mourir si je suis en contacte avec de la fumée", c'est que cela ne me donne aucune information sur comment je peux faire, justement, pour fumer sans risquer de déclencher des crises d'asthmes ou je ne sais quelle crise atroce chez des gens qui n'ont rien demandé. C'est justement parce que je ne minimise pas l'effet de la fumée chez les gens que je cherche le meilleur moyen pour fumer. Et c'est bien mon problème avec l'approche de @Sol Invictus qui (je crois, j'ai peut être mal compris) considère qu'une fois fumeur, il n'y a plus qu'à assumer le fait qu'on nuit aux autres et qu'on les empoisonne. Je n'apprécie pas cette approche car à trop "assumer", on ne fait plus aucun efforts, or je crois qu'il y a des façons de fumer qui sont moins néfastes pour les autres (attention : je n'ai pas dit "pas néfaste" mais bien "moins néfaste"). C'est sur ce point qu'a réagit @candyclown, étant donné qu'en l'état actuel des ville, il est impossible pour un fumeur de préserver totalement les autres de sa fumée, son avis est que le MOINS PIRE est de fumer dans la rue, en marchant, dans une rue qui ne soit pas trop fréquentée (pas de foule) et d'être facile à dépasser.
J'ai repris beaucoup de choses postées par d'autres Madz, j'espère ne pas avoir fait d'erreur d’interprétation, sinon je m'en excuse.
Je précise aussi que je ne trouve pas normal qu'il n'y ait pas de solution pour ne pas enfumer les autres. Ceci étant dit, ce n'est pas une raison pour ne pas essayer de trouver des solutions temporaires pour amoindrir la quantité de fumée inhalée passivement par les gens, en attendant que de vrais, bonnes mesures soient prises.
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@Sol Invictus
Mais le cas qui était étudié, c'était juste une réduction de la viande, pas de véganisme
Bref, je vais pas relancer le débat ici mais bon, je reste très sceptique sur tes intentions/ta manière d'aborder le sujet sur le topic
Mais le cas qui était étudié, c'était juste une réduction de la viande, pas de véganisme
Bref, je vais pas relancer le débat ici mais bon, je reste très sceptique sur tes intentions/ta manière d'aborder le sujet sur le topic
Si la soirée se passe chez moi alors les fumeurs fumeront en dehors de mon appartement, la fenêtre n'est pas envisageable pour moi dans mon domicile, étant asthmatique et ne supportant déjà pas l'odeur de la cigarette dans la rue c'est nope.
En revanche si c'est une soirée chez quelqu'un et que je sais que les personnes vont à leur fenêtre pour fumer ben pas de soucis mais si c'est en mode aquarium dans le salon et bien je n'y vais pas tout simplement : déjà pour ma santé, ensuite pour mon confort : je n'ai ni l'envie de sentir une odeur que je ne supporte pas et encore moins en être imprégnée (cheveux, vêtements...).
Ça ne m'empêche pas qu'avec mes amis fumeurs on s'aime très fort et on s'adapte autant qu'on le peux et en général on se retrouve plus dans des bars etc donc ça convient à tout le monde ^^
Je pense qu'il faut s'avoir s'adapter et en parler mais en aucun cas se forcer : nous sommes tous des adultes réfléchis alors il y a toujours une solution non ?
En revanche si c'est une soirée chez quelqu'un et que je sais que les personnes vont à leur fenêtre pour fumer ben pas de soucis mais si c'est en mode aquarium dans le salon et bien je n'y vais pas tout simplement : déjà pour ma santé, ensuite pour mon confort : je n'ai ni l'envie de sentir une odeur que je ne supporte pas et encore moins en être imprégnée (cheveux, vêtements...).
Ça ne m'empêche pas qu'avec mes amis fumeurs on s'aime très fort et on s'adapte autant qu'on le peux et en général on se retrouve plus dans des bars etc donc ça convient à tout le monde ^^
Je pense qu'il faut s'avoir s'adapter et en parler mais en aucun cas se forcer : nous sommes tous des adultes réfléchis alors il y a toujours une solution non ?
Je lis pas mal de trucs sur les fumeurs qui passent dans la rue.
Je vous parlais de ma pote plus haut et de mes problèmes de santé.
Bref, j'ai réfléchi aux solutions et aux différences de culture et ce que j'ai pu observer ces dernières années.
Déjà, ça paraît évident mais peu en parlent sauf en passant j'ai eu l'impression: la clope est encore et toujours vue comme quelque chose de cool. Surtout en France où on a un historique de films cool avec des héros et héroïnes qui fument. Quand tu "empêches" les gens de fumer parce que ça te gêne, tu n'es pas cool. Comme avant, je n'étais pas cool parce que je ne voulais pas fumer. (Évidemment, je pense à l'addiction, et je comprends que ce soit difficile! J'ai moi-même des problèmes avec la nourriture et j'ai eu des problèmes d'alcoolisme festif.) C'est soi-disant interdit avant 18 ans mais en vrai, mes élèves de 12 ans au collège fumaient. Il leur suffit de dire que c'est pour leurs parents et c'est dans la poche. Donc déjà, peut-être, comme pour l'alcool, demander la carte d'identité pour acheter des clopes, obligatoirement. SI ce n'est pas déjà le cas.
Par contre, j'ai remarqué que depuis que l'espace fumeur est VRAIMENT en-dehors du lycée (je bosse en lycée maintenant), élèves comme adultes vont un peu moins souvent fumer, parce qu'ils n'ont pas le temps ou à cause de la météo ou le lieu (la rue) n'est pas aussi confo qu'un coin fumeur dans la cour. Comme il y a des BTS, ils ont mis du temps à sortir le coin fumeur du lycée.
C'est vraiment une question de société et d'éducation (captain obvious!). Mes parents n'ont jamais accepté que des gens fument chez eux (mais ok sur la terrasse), ils m'ont toujours dit que je faisais ce que je voulais mais ne m'ont jamais ne serait-ce que sous-entendu que fumer était cool. Du coup, j'ai essayé en prépa mais ça ne m'a jamais trop intéressée. Je ne voyais pas l'intérêt de dépenser autant d'argent pour ça (et à l'époque, c'était 5€).
Quand je vivais en Angleterre et en Allemagne, j'ai remarqué que les Français étaient les plus malpolis que je connaissais concernant la cigarette, notamment en soirée. En Allemagne, notamment, c'est assez mal vu de faire des choses dangereuses pour ta santé ou celle des autres (ça peut être énervant mais j'ai noté que le cliché exagéré sur les Allemands control freak est assez vrai sur le respect des autres et de la loi). D'accord, on y boit beaucoup de bière et on mange plein de trucs gras et sucrés MAIS on y fait aussi pas mal de sport, le vélo est considéré comme un moyen de transport quotidien et pas juste un truc pour faire des balades et il y a un esprit de communauté qui fait qu'il est important de respecter l'autre, même s'il t'est inconnu.
J'ai été moins gênée par la cigarette en Allemagne qu'en France. Les gens fument moins aussi je crois. Ils ont plus tendance à boire de la bière et autres alcool. Même à la fac, je n'ai pas été trop gênée là-bas.
Et pourtant, je crois que c'est interdit maintenant, la publicité pour le tabac est/était autorisée en Allemagne donc en fait, voilà.
J'aurai encore plein de trucs à dire mais je suis fatiguée et je risque de faire encore moins sens que maintenant...
Pourtant, la clope est autorisée à l'intérieur des bars en Allemagne (en tout cas à Berlin) et tu peux acheter des paquets au supermarché...
Ce qui n'est pas le cas en France.
C'est étonnant de voir parfois les différents de mentalité et pratiques entre deux pays: comme tu dis, les Allemands sont peut-être plus soucieux de leur santé et de celle des autres, alors que la clope y est plus accessible ; tandis que la clope en France est peut-être moins accessible, mais les Français fument davantage et sont peut-être moins soucieux des autres.
Et ben je suis venue a bout des 18 pages
(ok j'arrive pas a effacer le smiley...)
C'était hyper intéressant merci a toutes les mad qui sont venus exprimer leur avis. Ça m'a vraiment permis de faire evoluer mon point de vue.
Pour en revenir a l'article, j'ai été extrêmement choquée en le lisant. Sérieusement @Mymy dans quel monde choisir l'exclusion est mieux que n'importe quelle autre solution ?
Je suis celle que l'on invite pas aux soirées "par bonté". J'habitais Lyon et mes amis habitent Paris. Bah je peux vous dire que ça fait vraiment mal quand on apprends que nos amis se sont réunis sans nous. Ça fait vraiment mal de ne pas comprendre les privates jokes parce qu'on est pas la au moment crucial ou elles prennent naissance.
Et on le sait. Toujours. Ou alors tu veux faire tes soirées en cachette ? La clairement ton but serait vraiment étrange.
Bon et puis bien d'autre l'on dit avant moi mais non, il ne suffit juste d'un shampoing. La fumée ce n'est pas juste une gêne passagères du a une odeur.
Moi je crois .... Que déjà on est tous d'accord pour dire que la fumée de cigarette, c'est nocif. Et pour un fumeur c'est double peine non ? On est donc tous d'accord pour dire que le mieux ce serait que même les fumeurs ne fument pas chez eux pour ne pas respirer leur fumée en plus de tous le reste a longueur de journée. Maintenant je comprends très bien l'addiction, la feignantise et la soif de liberté donc je comprends qu'un fumeur fume chez soi. Mais étant entendu que même pour lui c'est une nuisance, ce serait logique de ne pas infliger de fumée à ses invités qu'ils soient fumeurs ou non.
Et pour poursuivre la conversation qui a dévié sur la fumée dans la rue... Je vis depuis un an au Japon et vraiment quel pied. Fumer est réglementé dans la rue et n'est autorisé que dans des endroits dédiés et clairement delimités. Et vraiment c'est un bonheur sans nom que de pouvoir marcher sans risquer de respirer les fumées nocives, ne pas être embêtée a l'arrêt de bus, a l'entrée des bâtiments, et le mieux : les terrasses ! Bon, il n'est pas interdit de fumer en intérieur et on trouve toujours les zones fumeurs/non fumeurs dans les resto (on sais tous a quel points ces zones sont inutiles...)... Mais les japonais étant très respectueux je n'ai que très rarement eu de problème avec de la fumée.
Vraiment quand je suis rentrée en France cet été ça m'a vraiment interpellée. Je suis gênée par les fumeurs et pourtant je m'étais habituée parce que la ce fut véritablement une gifle. Plusieurs gifles enfait, a chaque fumée que je respirais malgré moi. C'est absolument dingue a quel point la fumée de cigarette est partout.
(ok j'arrive pas a effacer le smiley...)C'était hyper intéressant merci a toutes les mad qui sont venus exprimer leur avis. Ça m'a vraiment permis de faire evoluer mon point de vue.
Pour en revenir a l'article, j'ai été extrêmement choquée en le lisant. Sérieusement @Mymy dans quel monde choisir l'exclusion est mieux que n'importe quelle autre solution ?
Je suis celle que l'on invite pas aux soirées "par bonté". J'habitais Lyon et mes amis habitent Paris. Bah je peux vous dire que ça fait vraiment mal quand on apprends que nos amis se sont réunis sans nous. Ça fait vraiment mal de ne pas comprendre les privates jokes parce qu'on est pas la au moment crucial ou elles prennent naissance.
Et on le sait. Toujours. Ou alors tu veux faire tes soirées en cachette ? La clairement ton but serait vraiment étrange.
Bon et puis bien d'autre l'on dit avant moi mais non, il ne suffit juste d'un shampoing. La fumée ce n'est pas juste une gêne passagères du a une odeur.
Moi je crois .... Que déjà on est tous d'accord pour dire que la fumée de cigarette, c'est nocif. Et pour un fumeur c'est double peine non ? On est donc tous d'accord pour dire que le mieux ce serait que même les fumeurs ne fument pas chez eux pour ne pas respirer leur fumée en plus de tous le reste a longueur de journée. Maintenant je comprends très bien l'addiction, la feignantise et la soif de liberté donc je comprends qu'un fumeur fume chez soi. Mais étant entendu que même pour lui c'est une nuisance, ce serait logique de ne pas infliger de fumée à ses invités qu'ils soient fumeurs ou non.
Et pour poursuivre la conversation qui a dévié sur la fumée dans la rue... Je vis depuis un an au Japon et vraiment quel pied. Fumer est réglementé dans la rue et n'est autorisé que dans des endroits dédiés et clairement delimités. Et vraiment c'est un bonheur sans nom que de pouvoir marcher sans risquer de respirer les fumées nocives, ne pas être embêtée a l'arrêt de bus, a l'entrée des bâtiments, et le mieux : les terrasses ! Bon, il n'est pas interdit de fumer en intérieur et on trouve toujours les zones fumeurs/non fumeurs dans les resto (on sais tous a quel points ces zones sont inutiles...)... Mais les japonais étant très respectueux je n'ai que très rarement eu de problème avec de la fumée.
Vraiment quand je suis rentrée en France cet été ça m'a vraiment interpellée. Je suis gênée par les fumeurs et pourtant je m'étais habituée parce que la ce fut véritablement une gifle. Plusieurs gifles enfait, a chaque fumée que je respirais malgré moi. C'est absolument dingue a quel point la fumée de cigarette est partout.
Dernière édition :
Désolée pour les éventuelles redites, je viens de m'arrêter à la onzième page du forum...
J'ai fumé de mes 17 à mes 21 ans (j'en ai aujourd'hui 26).
Quelques mois avant mes 22 ans je commençais à voir que ma santé se dégradait : j'avais un gros coup de fatigue après avoir fumé, j'étais essoufflée après avoir monté des escaliers, l'odeur de tabac froid commençait sérieusement à m’écœurer.
J'ai donc décidé d'arrêter et pour ce faire j'ai lu le livre d'Allen Carr, "Une méthode simple pour arrêter de fumer". Pour moi l'effet a été radical, j'ai lu le livre en une journée et j'ai arrêté de fumer.
En revanche depuis je ne supporte plus l'odeur des cigarettes. J'ai arrêté de fumer en plein été et comme beaucoup de Madz j'ai galéré lorsque je voulais aller prendre des verres en terrasse ou assister au feu d'artifice du 14 juillet.
C'est insupportable de voir à quel point l'on subit la clope des autres en permanence dans l'espace public (qui donc appartient à tout le monde...).
Je me suis rendu compte de ce que j'ai pu faire subir quand je fumais (bien que je pensais faire attention...) mais j'ai eu une énorme prise de conscience sur le mal que j'ai pu me faire, jusqu'à quel point je me suis empoisonnée moi-même et par conséquent les autres.
Et comme beaucoup aussi, depuis je suis devenue aux yeux des fumeurs une grosse chieuse, au point où j'en ai perdu des amis et où je me fais même engueuler par des membres de ma propre famille (comme ma tante à qui j'ai demandé de ne pas fumer à table, en terrasse, au restaurant et qui m'a répondu sèchement qu'on n'avait pas encore été servis (?!)).
De même mon oncle et son épouse fument allègrement chez eux, ils n'ont même pas arrêté durant les deux grossesses de ma tante, leur maison empeste le tabac et je suis énervée rien qu'à l'idée de devoir aller chez eux.
Tout ça pour dire que moi aussi ça me casse profondément les ovaires de me re-re-re-laver les cheveux, de faire je ne sais combien de lessives pour faire partir l'odeur de mes écharpes et autres vêtements (surtout quand ils sont tout propres), de supporter l'irritation du nez, des poumons, des bronches...
J'ai arrêté de fumer parce que je ne voulais plus faire de mal à mon organisme alors je ne supporte plus que les fumeurs m'imposent leur choix qui a des conséquences délétères sur MA santé.
Donc, en effet, il n'y a pas de débat pour moi. À partir du moment où fumer a de telles conséquences (connues) sur la santé du fumeur et de son entourage, c'est aux fumeurs de prendre leurs responsabilités et de s'exiler le temps de leur pause clope.
J'ai fumé de mes 17 à mes 21 ans (j'en ai aujourd'hui 26).
Quelques mois avant mes 22 ans je commençais à voir que ma santé se dégradait : j'avais un gros coup de fatigue après avoir fumé, j'étais essoufflée après avoir monté des escaliers, l'odeur de tabac froid commençait sérieusement à m’écœurer.
J'ai donc décidé d'arrêter et pour ce faire j'ai lu le livre d'Allen Carr, "Une méthode simple pour arrêter de fumer". Pour moi l'effet a été radical, j'ai lu le livre en une journée et j'ai arrêté de fumer.
En revanche depuis je ne supporte plus l'odeur des cigarettes. J'ai arrêté de fumer en plein été et comme beaucoup de Madz j'ai galéré lorsque je voulais aller prendre des verres en terrasse ou assister au feu d'artifice du 14 juillet.
C'est insupportable de voir à quel point l'on subit la clope des autres en permanence dans l'espace public (qui donc appartient à tout le monde...).
Je me suis rendu compte de ce que j'ai pu faire subir quand je fumais (bien que je pensais faire attention...) mais j'ai eu une énorme prise de conscience sur le mal que j'ai pu me faire, jusqu'à quel point je me suis empoisonnée moi-même et par conséquent les autres.
Et comme beaucoup aussi, depuis je suis devenue aux yeux des fumeurs une grosse chieuse, au point où j'en ai perdu des amis et où je me fais même engueuler par des membres de ma propre famille (comme ma tante à qui j'ai demandé de ne pas fumer à table, en terrasse, au restaurant et qui m'a répondu sèchement qu'on n'avait pas encore été servis (?!)).
De même mon oncle et son épouse fument allègrement chez eux, ils n'ont même pas arrêté durant les deux grossesses de ma tante, leur maison empeste le tabac et je suis énervée rien qu'à l'idée de devoir aller chez eux.
Tout ça pour dire que moi aussi ça me casse profondément les ovaires de me re-re-re-laver les cheveux, de faire je ne sais combien de lessives pour faire partir l'odeur de mes écharpes et autres vêtements (surtout quand ils sont tout propres), de supporter l'irritation du nez, des poumons, des bronches...
J'ai arrêté de fumer parce que je ne voulais plus faire de mal à mon organisme alors je ne supporte plus que les fumeurs m'imposent leur choix qui a des conséquences délétères sur MA santé.
Donc, en effet, il n'y a pas de débat pour moi. À partir du moment où fumer a de telles conséquences (connues) sur la santé du fumeur et de son entourage, c'est aux fumeurs de prendre leurs responsabilités et de s'exiler le temps de leur pause clope.
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