@Laverne
Merci pour ton partage d'expérience!
Je ne sais pas d'où j'ai sorti le coefficient 12.
J'ai du m'emmeler les pinceaux entre les heures par semaine/le coefficient/la note que j'ai eue
Pour la notation, c'était donc mon prof de philo de terminale qui nous avait dit ça. Qu'il fallait à tout prix respecter la structure parce que selon la correction de la copie, c'était peut être les seuls points qu'on allait avoir. Qu'en passant d'un prof à un autre la même copie pouvait obtenir un 4 ou un 16, donc si vous soignez la présentation et la structure, vous pourrez au moins vous en sortir avec un 8. Que "Avoir 20 en philo c'est impossible, ne visez pas trop haut
".
Puis je pense que tu as mis le doigt sur ce qui m'embêtait avec la philo, à l'époque :
Voilà, on se creuse la tête à trouver une problématique pour ensuite raconter ce que des personnes bien avant nous ont pensé. Il ne s'agit pas de dire "Devant la question W, je crois que X , je vous le démontre, d'ailleurs Bidule l'avait déjà dit, et je vous fais part de mes conclusions". Non, il fallait dire: "Nous avons une question W; je crois que X, mais Bidule dit que Y, du coup en fait Z". Et à mes yeux c'était tellement vide de sens.
Pour le fameux sujet de 2009 je crois que mon plan c'était (en très gros) A - Oui parce qu'on peut faire des lapsus donc on se trahit B- Non parce qu'on est conscients et reflechis du coup tu peux mentir et nuancer ton langage selon les situations C- BAH UN PEU DES DEUX. (Oui, je me suis moi aussi demandé comment j'avais obtenu un 12
)
Du coup je trouve aussi que découvrir la philo en seconde pour s'en faire une idée est un très bon compromis. (pour la mettre ensuite en option)
Merci pour ton partage d'expérience!
Je ne sais pas d'où j'ai sorti le coefficient 12.
J'ai du m'emmeler les pinceaux entre les heures par semaine/le coefficient/la note que j'ai eue
Pour la notation, c'était donc mon prof de philo de terminale qui nous avait dit ça. Qu'il fallait à tout prix respecter la structure parce que selon la correction de la copie, c'était peut être les seuls points qu'on allait avoir. Qu'en passant d'un prof à un autre la même copie pouvait obtenir un 4 ou un 16, donc si vous soignez la présentation et la structure, vous pourrez au moins vous en sortir avec un 8. Que "Avoir 20 en philo c'est impossible, ne visez pas trop haut
". Puis je pense que tu as mis le doigt sur ce qui m'embêtait avec la philo, à l'époque :
Outre les sujets qui, avouons-le, étaient bien loin de me passioner...On ne demande pas aux élèves leur avis sur telle ou telle question, sinon quel intérêt ? on ne note pas leurs convictions. Ils ont le droit d'avoir un avis mais ils doivent le défendre par un raisonnement construit et progressif, montrer ce qui pose problème et essayer de le résoudre.
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Pour le fameux sujet de 2009 je crois que mon plan c'était (en très gros) A - Oui parce qu'on peut faire des lapsus donc on se trahit B- Non parce qu'on est conscients et reflechis du coup tu peux mentir et nuancer ton langage selon les situations C- BAH UN PEU DES DEUX. (Oui, je me suis moi aussi demandé comment j'avais obtenu un 12
) Du coup je trouve aussi que découvrir la philo en seconde pour s'en faire une idée est un très bon compromis. (pour la mettre ensuite en option)


mais moi ça me paraît intéressant. Est-ce que l'historien doit être détaché de son sujet pour bien le traiter, ou est-ce qu'au contraire il faut qu'il soit passionné par ce qu'il étudie pour mieux en rendre compte ? Est-ce qu'on peut être neutre et impartial vis-à-vis du passé ? Pareil le sujet sur le langage c'est intéressant de se demander si il y a une pensée "supérieure" que le langage traduit mal, et donc "trahit", ou si en fait je pense toujours grâce aux mots et par les mots (même si je me parle à moi même). Il n'y a pas qu'un plan et qu'une réponse possible à ces questions. Certes réfléchir sur l'histoire ou sur le langage ne te sera pas forcément utile directement dans ton quotidien, mais ce sont des sujets importants qui nous concerne tous.
(même si je sais que tu as raison...)