Bon j'ai lu l'article, j'ai lu tous vos commentaires mais il y a quelque chose qui n'a pas bien été soulevé (selon moi) -après je mets mon petit grain de sel comme toujours. C'est la question des étudiants dans tout ce bordel sans fin (selon moi).
Ce que je veux dire c'est qu'on se pause la question des 15/16-18 (ce qui est bien, après il faut trouver la/le bon spécialiste qui va pas comme moi te dire "ah non j'vais pas te donner de pilule" heureusement que j'ai été assez prudente parce que sinon bah, j'aurai eu des enfants et/ou contracté une MST, si je ne m'étais pas renseignée à l'époque -genre péné buccale : tu peux quand même te chopper des trucs si pas de préservatifs enfin bref).
Mais et les étudiants dans tout ça, ça va se passer comment ? Je pense que ce n'est un secret pour personne, les sécu étudiantes ça pue (notamment la LMDE), ils ne remboursent pas en temps et en heure, voir te rembourse pas du tout, prennent 100 ans à t'envoyer une carte vitale (et encore il faut qu'elle fonctionne, la mienne bug toujours). Nous n'avons pas forcément assez de frais pour se "payez le luxe" (ironie) d'aller chez un spécialiste déjà aujourd'hui alors si ils augmentent... (je parle en connaissance de cause, j'ai un problème de santé assez chiant qui me demande de consulter plusieurs fois des spécia/faire des examens/retourner chez le spécia par la suite) assez chiants et qui font un grave trou dans mon budget normalement destiné à mes études (livres/stages ailleurs auxquels je dois renoncer par manque d'argent). Et les notes sont souvent très salées si j'additionne le tout à la fin de l'année.
En soi, je ne tape pas sur la profession ni sur personne, mais sur le système. Je peux comprendre le fait d'augmenter les prix, et le fait que certain-es ne soient pas content (je viens moi-même d'une famille moyenne). Ce que je ne comprends pas en revanche c'est plutôt le fait que tout ne soit pas prit en compte pour tout le monde.
Ce que je veux dire, c'est qu'en tant qu'étudiant, on survit pour la plupart, on se balade sans carte de sécu, on a pas forcément des chéquiers et par ex dans mon cas : on prie pour que notre carte passe lorsqu'on va consulter (ce qui n'est pas normal, je pense que vous serez d'accord). Beaucoup d'entre nous font déjà l'impasse sur la santé et cela ne s'améliorera pas avec une augmentation des prix sauf si enfin on y remédie mais vu comment ça traîne, je pense que c'est pas demain que ce sera fait.
Du coup je pense que la raison n'est pas mauvaise, mais que dans le fond ça va empirer certaines situations sur la durée notamment chez les jeunes adultes (là je cible plus du coup les étudiants, mais aussi d'autres personnes, mais je parle avant tout d'une situation que je connais).
Après si je devais donner mon avis quand aux commentaires et à l'article en soi, je pense que c'est plutôt justifié, après mon seul soucis c'est que pour certains ce n'est pas justifié.
Le pourquoi de mon commentaire : les gynécos par exemple (ma grande passion parce que j'en ai jamais vraiment eu des biens). Comme je l'ai dis au dessus, je n'ai jamais, je dis bien JAMAIS eu de préventions ou d'explications sur tout (et pourtant j'en pose des questions croyez moi). Personne ne m'a expliqué pour les préservatifs, ni eu "d'éducation" quand à la protection sur sa globalité (juste le "protège toi avec un préservatif lors des rapports", oui mais en vrai c'est dès qu'il y a pénétration et ça je ne le savais pas par exemple c'est en m'informant moi-même et en lisant des livres à cet effet que j'ai su), et pas non plus de prescription pour la pilule (alors que j'avais demandé à plusieurs d'entre eux), sans explications du "pourquoi j'en ai pas". Autant dire que j'ai donc payé dans le vent, puisque je n'en ressortais pas plus avancée que je l'étais avant d'avoir consultée.
Et ce n'est pas là le seul spécialiste que je cible.
Désolée pour le pavé mais je tenais vraiment à m'exprimer !
Ce que je veux dire c'est qu'on se pause la question des 15/16-18 (ce qui est bien, après il faut trouver la/le bon spécialiste qui va pas comme moi te dire "ah non j'vais pas te donner de pilule" heureusement que j'ai été assez prudente parce que sinon bah, j'aurai eu des enfants et/ou contracté une MST, si je ne m'étais pas renseignée à l'époque -genre péné buccale : tu peux quand même te chopper des trucs si pas de préservatifs enfin bref).
Mais et les étudiants dans tout ça, ça va se passer comment ? Je pense que ce n'est un secret pour personne, les sécu étudiantes ça pue (notamment la LMDE), ils ne remboursent pas en temps et en heure, voir te rembourse pas du tout, prennent 100 ans à t'envoyer une carte vitale (et encore il faut qu'elle fonctionne, la mienne bug toujours). Nous n'avons pas forcément assez de frais pour se "payez le luxe" (ironie) d'aller chez un spécialiste déjà aujourd'hui alors si ils augmentent... (je parle en connaissance de cause, j'ai un problème de santé assez chiant qui me demande de consulter plusieurs fois des spécia/faire des examens/retourner chez le spécia par la suite) assez chiants et qui font un grave trou dans mon budget normalement destiné à mes études (livres/stages ailleurs auxquels je dois renoncer par manque d'argent). Et les notes sont souvent très salées si j'additionne le tout à la fin de l'année.
En soi, je ne tape pas sur la profession ni sur personne, mais sur le système. Je peux comprendre le fait d'augmenter les prix, et le fait que certain-es ne soient pas content (je viens moi-même d'une famille moyenne). Ce que je ne comprends pas en revanche c'est plutôt le fait que tout ne soit pas prit en compte pour tout le monde.
Ce que je veux dire, c'est qu'en tant qu'étudiant, on survit pour la plupart, on se balade sans carte de sécu, on a pas forcément des chéquiers et par ex dans mon cas : on prie pour que notre carte passe lorsqu'on va consulter (ce qui n'est pas normal, je pense que vous serez d'accord). Beaucoup d'entre nous font déjà l'impasse sur la santé et cela ne s'améliorera pas avec une augmentation des prix sauf si enfin on y remédie mais vu comment ça traîne, je pense que c'est pas demain que ce sera fait.
Du coup je pense que la raison n'est pas mauvaise, mais que dans le fond ça va empirer certaines situations sur la durée notamment chez les jeunes adultes (là je cible plus du coup les étudiants, mais aussi d'autres personnes, mais je parle avant tout d'une situation que je connais).
Après si je devais donner mon avis quand aux commentaires et à l'article en soi, je pense que c'est plutôt justifié, après mon seul soucis c'est que pour certains ce n'est pas justifié.
Le pourquoi de mon commentaire : les gynécos par exemple (ma grande passion parce que j'en ai jamais vraiment eu des biens). Comme je l'ai dis au dessus, je n'ai jamais, je dis bien JAMAIS eu de préventions ou d'explications sur tout (et pourtant j'en pose des questions croyez moi). Personne ne m'a expliqué pour les préservatifs, ni eu "d'éducation" quand à la protection sur sa globalité (juste le "protège toi avec un préservatif lors des rapports", oui mais en vrai c'est dès qu'il y a pénétration et ça je ne le savais pas par exemple c'est en m'informant moi-même et en lisant des livres à cet effet que j'ai su), et pas non plus de prescription pour la pilule (alors que j'avais demandé à plusieurs d'entre eux), sans explications du "pourquoi j'en ai pas". Autant dire que j'ai donc payé dans le vent, puisque je n'en ressortais pas plus avancée que je l'étais avant d'avoir consultée.
Et ce n'est pas là le seul spécialiste que je cible.
Désolée pour le pavé mais je tenais vraiment à m'exprimer !
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