Je viens aussi apporter ma pierre à l'édifice.
Personnellement, je n'aime pas vivre toute seule longtemps et j'ai besoin de me sentir aimée car je n'ai aucune confiance en moi. J'ai d'ailleurs une copine à moi dans ce deuxième cas et elle le dit clairement, elle aimerait avoir quelqu'un dans sa vie pour se sentir aimée (mais aimée d'une façon différente de l'amitié ou de l'amour familial).
Je vous avouerai que cela m'a fait un bien fou psychologiquement d'avoir quelqu'un dans ma vie, même si des fois, j'aimerai bien vivre toute seule une semaine ^^. Voilà, ça c'est mon avis personnel mais je respecte totalement le vôtre, il y en a pour tous les goûts et je trouve cela dommage de stigmatiser les personnes qui veulent vivre différemment.
Cependant, pendant ma période d'avant "mon premier copain sérieux", j'ai aussi ressenti cette pression sociale dont vous parlez et c'est très lourd à porter je trouve (surtout avec les remarques des amis, de la famille et l'omniprésence du couple dans la culture). En plus tous les rapports avec les personnes potentielles (alias personnes du genre qui m'intéresse, célibataires et attirantes) étaient biaisés car je les voyaient toujours dans l'optique d'une possibilité de couple, de drague etc. Et c'est vraiment malsain. Maintenant je n'ai plus ces rapports de perpétuelle drague avec les mecs et ça fait du bien !
Vos commentaires m'ont un peu ouvert les yeux (et oui moi aussi) sur les questions qu'on pose aux gens lors des retrouvailles type "alors les amours ?", "alors les études/le travail ?". Si les personnes ont fait le choix d'arrêter leurs études, de se remettre en question ou bien carrément si elles se sont faites virées, répondre n'est pas toujours évident, comme pour la question sur les amours, car il faut sans cesse se justifier si on sort du moule. Je n'ai pas encore de parade pour lancer la conversation en évitant les questions trop dirigées à part : "et sinon, à quoi tu occupe tes journées ?" ou "quoi de neuf ?"
Personnellement, je n'aime pas vivre toute seule longtemps et j'ai besoin de me sentir aimée car je n'ai aucune confiance en moi. J'ai d'ailleurs une copine à moi dans ce deuxième cas et elle le dit clairement, elle aimerait avoir quelqu'un dans sa vie pour se sentir aimée (mais aimée d'une façon différente de l'amitié ou de l'amour familial).
Je vous avouerai que cela m'a fait un bien fou psychologiquement d'avoir quelqu'un dans ma vie, même si des fois, j'aimerai bien vivre toute seule une semaine ^^. Voilà, ça c'est mon avis personnel mais je respecte totalement le vôtre, il y en a pour tous les goûts et je trouve cela dommage de stigmatiser les personnes qui veulent vivre différemment.
Cependant, pendant ma période d'avant "mon premier copain sérieux", j'ai aussi ressenti cette pression sociale dont vous parlez et c'est très lourd à porter je trouve (surtout avec les remarques des amis, de la famille et l'omniprésence du couple dans la culture). En plus tous les rapports avec les personnes potentielles (alias personnes du genre qui m'intéresse, célibataires et attirantes) étaient biaisés car je les voyaient toujours dans l'optique d'une possibilité de couple, de drague etc. Et c'est vraiment malsain. Maintenant je n'ai plus ces rapports de perpétuelle drague avec les mecs et ça fait du bien !
Vos commentaires m'ont un peu ouvert les yeux (et oui moi aussi) sur les questions qu'on pose aux gens lors des retrouvailles type "alors les amours ?", "alors les études/le travail ?". Si les personnes ont fait le choix d'arrêter leurs études, de se remettre en question ou bien carrément si elles se sont faites virées, répondre n'est pas toujours évident, comme pour la question sur les amours, car il faut sans cesse se justifier si on sort du moule. Je n'ai pas encore de parade pour lancer la conversation en évitant les questions trop dirigées à part : "et sinon, à quoi tu occupe tes journées ?" ou "quoi de neuf ?"