@schizophrenia
Il y a quelque chose qui peut t'amener à penser ce que tu dis? Ou c'est juste une peur irraisonnée?
edit: on a posté au meme moment
@Sloppy
J'essaie d'agir sur les causes qui font monter la depression. Et j'en parle à mon medecin assez vite. Elle commence à avoir l’habitude. Parfois elle me donne un anxiolitique, parfois un traitement un peu plus fort, parfois rien du tout.
Il y a presque 2 ans j'ai fait un debut de depression lié à un burn out. Je me suis mise en arret quand les symptomes ont commencé à devenir vraiment clairs, j'ai demissionné et trouvé un autre poste.
Et quand je sens que les angoisses sont trop fortes, que le climat emotionnel commence à mal tourner (comme en ce moment), j'en parle, j'exteriorise. Et je relativise, j'essaie de travailler sur moi. J'ai remarqué que j'avais tendance à beaucoup garder mes emotions, donc quand c'est trop fort j'ouvre les vannes, mais avant que la digue lache.
Depuis presque 2 ans (ça coincide avec mon histoire de boulot) je vois ma nutritionniste une fois par mois. C'est un peu un repere, comme j'ai tendance aussi à exterioriser avec la nourriture, ça me cadre. Elle ne me culpabilise jamais et meme si ça ne dure que 15 min, quand ça ne va pas je lache la pression. Donc c'est un peu comme si j'avais un suivi en plus.
Je ne sais pas si ça t'aide beaucoup car c'est un fonctionnement tres personnel. Mais je pense que le fait de se connaitre, de vouloir aller au devant de son probleme et de se sentir soutenue et ecoutée (meme avec 1 semaine de decalage et d'un point de vue objectif et constructif) ça aide beaucoup.
Il y a quelque chose qui peut t'amener à penser ce que tu dis? Ou c'est juste une peur irraisonnée?
edit: on a posté au meme moment

@Sloppy
J'essaie d'agir sur les causes qui font monter la depression. Et j'en parle à mon medecin assez vite. Elle commence à avoir l’habitude. Parfois elle me donne un anxiolitique, parfois un traitement un peu plus fort, parfois rien du tout.
Il y a presque 2 ans j'ai fait un debut de depression lié à un burn out. Je me suis mise en arret quand les symptomes ont commencé à devenir vraiment clairs, j'ai demissionné et trouvé un autre poste.
Et quand je sens que les angoisses sont trop fortes, que le climat emotionnel commence à mal tourner (comme en ce moment), j'en parle, j'exteriorise. Et je relativise, j'essaie de travailler sur moi. J'ai remarqué que j'avais tendance à beaucoup garder mes emotions, donc quand c'est trop fort j'ouvre les vannes, mais avant que la digue lache.
Depuis presque 2 ans (ça coincide avec mon histoire de boulot) je vois ma nutritionniste une fois par mois. C'est un peu un repere, comme j'ai tendance aussi à exterioriser avec la nourriture, ça me cadre. Elle ne me culpabilise jamais et meme si ça ne dure que 15 min, quand ça ne va pas je lache la pression. Donc c'est un peu comme si j'avais un suivi en plus.
Je ne sais pas si ça t'aide beaucoup car c'est un fonctionnement tres personnel. Mais je pense que le fait de se connaitre, de vouloir aller au devant de son probleme et de se sentir soutenue et ecoutée (meme avec 1 semaine de decalage et d'un point de vue objectif et constructif) ça aide beaucoup.
Dernière édition :
c'est pas facile de rationaliser dans cette situation là. Est ce que tu lui parles de ça? En mode, "je veux pas te blâmer, mais quand tu es avec d'autres femmes j'ai peur. "
(je plaisante hein, mais c'est ce que je me dis de mon mr).


Et il me dit qu'il me trouve jolie, qu'il aime bien mon gros bidon. J'ai pris du poid, il avait rien vu. J'en ai perdu, il etait content de me voir mieux dans ma peau, mais je le soupçonne de ne pas avoir vu plus que ça la difference. Le physique est important, mais il y a plein de gouts differents et souvent quand on aime on voit la personne différemment.