Le burn-out étudiant fait parler de lui

30 Décembre 2012
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C'est effrayant de voir que ce qu'on croit normal ne l'ait pas.

Le burn-out je sais pas. Mais oui -5kg à chaque session de partiels, des cernes toutes l'année parce que des journées de 7h + travail à la maison. Et la culpabilité d'aller te coucher alors que tu as encore du travail. Quand tu te mets à sécher les cours pour pouvoir travailler sur d'autres cours, parce que sinon t'as pa le temps.
C'était à la fac, et seul au monde au niveau encadrement, malgré une classe d'enfer.

Et la seule année ou j'ai travaillé tout l'été, donc pas de vacances, de vraies entre les cours. Le retour à la fac a été difficile. J'aboyais sur tout le monde, avait perdu toute motivation, et ne supportait plus la fac, les trajets en transports (2h/jour), et la pression que je me mettais moi-même.

J'ai réussi ma licence, j'en garde un super souvenir, mais c'tait pas coul des fois.
 
napoleon;4821173 a dit :
Je résumerais assez bien mon expérience en prépa avec les premières paroles de mon prof de philo: "Si vous ne déprimez pas, c'est que vous ne travaillez pas assez".

:top:

Je trouve ça irresponsable de la part des profs de dire des trucs comme ça, ça m'énerve vraiment :mur:

Je conçois que les études surtout en prépa occupent une place primordiale, d'ailleurs ça a un peu été toute ma vie cette année (à tel point que c'est devenu impossible de rester avec mon copain, pas seulement pour cette raison mais bref). Mais je n'ai jamais fait de nuits blanches même ça m'est arrivé 2-3 fois de me coucher après 2h du matin pour finir un travail, et jamais je n'ai cessé de manger... Ça ne m'a pas empêché de finir dans la tête de classe. Il faut arrêter de faire croire aux gens que plus tu as une mauvaise hygiène de vie, mieux tu t'en sors, c'est totalement faux!

Il y a une fille dans ma classe qui a passé l'année à faire des malaises parce qu'elle se couchait à 2h tous les soirs et qu'elle mangeait très peu, elle est très douée mais ses résultats n'ont cessé de baisser au cours de l'année. Elle s'était persuadée que la prépa ça se vivait comme ça et que être "à fond", ça voulait dire mettre en danger sa santé... N'importe quoi. Alors les profs et les reportages sur la prépa qui entretiennent cette idée fausse, je trouve ça incroyablement stupide et dangereux.
 
27 Décembre 2010
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Paris
gelle.co
C'est tellement pas nouveau ... il était temps qu'on mette ce phénomène en avant.
J'ai fait une énorme dépression pendant 2 ans à cause de la fac (études que je ne voulais pas faire, ville où je ne voulais pas être, famille à l'autre bout du globe ...). J'ai fait zona sur zona + donc ma splendide dépression (je me suis d'ailleurs voilée la face en me disant que j'étais juste nulle et que j'étais pas en dépression, je n'ai pas du de psy et qu'une fois un médecin). Sortie de là, je suis enfin la tête hors de l'eau mais toute cette période stressante et angoissante reste bien bien bien ancrée en moi, il m'arrive encore d'être mal dans un bus juste parce que ça me rappelle mes années de fac (j'avais développé une phobie scolaire à l'époque aha, super super).

Bref. Les psys ou infirmières, ou colocs sur le sujet dans les facultés ou grandes écoles ne sont pas assez présents, ou lorsqu'ils le sont, nous rejètent la faute dessus (ce qui amplifie le mal être, et c'est bien dommage).
 
25 Mars 2013
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J'ai fait un brun-out à 18ans en pleine 2ème première année de médecine. Jusqu'à présent j'avais toujours tout réussi, j'étais la première de ma famille à me lancer dans des études supérieures "de prestige" (-sic-), beaucoup me disaient "nan mais pour toi ça va aller !" Si on rajoute à ça l'éloignement de l'environnement familial et une coloc plus qu'irrespectueuse (genre je rentre à 3h du mat et je me fais du poisson pané avec la musique à fond) ... Bah ça a pété. Je rationnais tout parce qu'il fallait que "je travaille" ! Je ne regardais plus la Tv que par tranche de 20min lors de mes 2 repas que je prenais sans matière grasse, sucre ou quoi que ce soit. Parce que tu comprends, si j'échouais, fallait au moins que je sois mince et jolie ! Le sommeil était bien compartimenté quand je ne faisais pas de cauchemars ... Donc ouai, grosse pression, pleurs quotidiens, début d'anorexie mentale ... J'ai réussi à garder ça pour moi un bon moment avant que je ne craque au domicile familial. J'ai vu un médecin qui m'a dit "brun-out" et m'a orientée vers un psy avec traitement. Au final, j'ai eu mon année (plus que bien classée d'ailleurs), mais je ne m'en suis jamais vraiment remise en fait. Depuis j'ai régulièrement été sous anti-dépresseurs, benzo ... Je ne sais plus gérer la pression, ma mémoire et ma concentration ont été flinguées par des années de traitement et de dépressions ce qui m'a fait pas mal redoubler. Du coup quand on me parle de ma P1 et de mon super classement, ou tout simplement du fait d'être "en médecine" impossible d'être fière ou autre. Ça m'a coûté trop cher. Là c'est la première année oú ça va à peu près, mais je vais aussi rentrer en D4, soit l'année du concours national avec choix de spe et tout et tout ... Donc en plus de la pression, maintenant j'ai la phobie de l'investissement scolaire car dans ma tête il est direct associé au burn-out de la seule autre année de concours que j'ai vécue. Donc, ouai c'est pas mal qu'on attire l'attention sur le burn-out des étudiants ! Mais c'est tellement pervers et insidieux que c'est rarement l'étudiant qui se dira "tient, faut que j'aille chez le Doc : je crois que je fais un burn-out !" Non, à mon sens, faut ratisser bien large pour que les entourages d'étudiants soient sensibilisés, et sans discrimination car il n'y a pas de petites études. Et puis se soutenir les uns les autres. Un entourage soutenant est assez salutaire dans ces cas la. Faut pas chercher à comprendre, juste être là et rassurer la personne sur ses capacités, lui dire qu'elle n'est pas réduite à un numéro de classement, une mention, ou autre. C'est dur, je ne sais même pas si moi-même je l'ai compris, mais depuis mon burn-out on me le répète souvent alors ça doit bien m'aider un peu. Voilou pour mon mélo à moi les Mads ! Désolée pour le fleuve, mais ça fait du bien d'en parler et de faire comprendre que ça peut avoir de grosses conséquences sur une vie d'étudiant(e). Un burn-out ça laissera toujours une cicatrice, d'où l'intérêt de la sensibilisation et du dépistage.
 
22 Octobre 2012
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Toulouse
Ça ne m'étonne pas vraiment, voire même pas du tout en fait. Je connais tellement de personnes qui sont obligées de bosser à côté de leurs études. J'ai même une amie qui fait parfois plus de 50h par semaine, avec les cours et le taf cumulés. C'est pas normal.

Moi même, si j'avais pas mes parents pour me soutenir (financièrement et moralement) je pense que j'aurais pété les plombs depuis longtemps.

Quand à l'aspect santé, c'est triste mais je me reconnais. Je suis tout le temps malade (petite nature que je suis) et je ne vais ja-mais chez le médecin. D'ailleurs ça fait deux ans que j'ai pas vu de gynéco, je sais c'est mal :fear:


Par rapport aux préservatifs, je connais quelques personnes pour qui ça n'est pas un réflexe, mais je pense que c'est un autre problème. Etant jeunes, on connaît peu (ou pas) de personnes atteintes du sida, ou autres IST graves. On a l'impression que ça ne nous concerne pas (Enfin je dis nous, pour moi la capote c'est automatique). C'est triste à dire mais je trouve qu'après avoir quitté le collège, on n'est absolument plus sensibilisés à ces problèmes!
 
4 Avril 2014
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Je ne suis pas surprise de cet article.

Pour mon expérience, j'ai en effet pu profiter de mes années d'étude en faisant la fête de temps à autre, et me suis fait de nombreux amis, j'ai été aussi dans le domaine associatif un certain temps.

Cependant, c'est vrai que j'ai souvent mis ma santé en danger. Quand on a 200€ par mois pour manger, acheter ses bouquins de classe, faire sa lessive et prendre le train pour rentrer chez ses parents de temps à autre, on n'a pas envie de claquer plus de 20 balles chez le médecin et encore plus de sous dans des médicaments.
Y'a toujours les génies qui te disent "mais c'est remboursé" sans réaliser que des fois la sécu met des semaines à te rembourser, alors que ces 20€ t'en avais besoin maintenant pour t'acheter les pâtes pour le mois.

C'est le cas de beaucoup d'étudiants, on mange peu, on ne se soigne pas, on n'est pas toujours compris par les enseignants (quand certains te disent que si t'as pas de bourse t'as qu'à bosser c'est quand même triste) ...

Le problème des attributions de bourses est important. Je suis très heureuse que certains aient la chance d'avoir des parents aisés, c'est ce que j'aimerai offrir à mes enfants. Je suis heureuse que des personnes très défavorisées puissent faire des études grâce aux bourses de l'Etat.

Mais les classes moyennes sont oubliées, et souffrent énormément de la précarité étudiante.
Quand l'hygiène de vie est négligée, les études en souffrent aussi, et c'est le cercle vicieux.
 
25 Février 2011
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Hello les Madz!

C'est fou de voir autant de commentaires sur ce sujet et sur l'autre article sur le burn out.
Alors je suis loin d'être l'exemple, ma grande spécialité c'est de penser que je peux être un croisement entre "superwoman" et "little miss parfaite". Dans ma vie perso et pro, j'ai tendance à tout vouloir faire parfaitement, sans accroc, la possibilité d'un échec est inconcevable pour moi. Et devinez quoi ? Ça ne marche pas ! Tout contrôler, tout prévoir, c'est juste impossible, aussi difficile à accepter que cela puisse être. Et quand la frustration est trop forte... On craque.
Je crois que je tiens un tout petit bout de solution, mentionné par certaines d'entre vous : se foutre un peu la paix !
La pression est là, elle le sera toujours, aussi bien à l'école que dans la vie pro, donc ma petite, micro contribution : derrière les grosses voix qui nous résonnent dans la tête et qui énumèrent tous les scénarios catastrophes possible, il y a cette toute petite voix, si difficile à entendre, qui nous dit qu'au fond, est-ce que tout ça est vraiment important au point de s'en rendre malade ?

Acceptons-nous telles que nous sommes, parfaitement imparfaites !

Des bisous :hugs:
 
9 Mars 2014
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J'ai fait un burn-out à la moitié de l'année passée suivi de 6 mois de dépression à me sentir nulle, inutile, fainéante et geignarde.

Maintenant ça va beaucoup mieux, j'ai trouvé des études qui me plaisent, quoique stressantes et qui ne débouchent pas nécessairement sur l'emploi que je souhaite par la suite. Elles ne me laissent pas le temps de trouver un boulot pour les vacances et me crèvent trop pour en avoir un pendant l'année du coup, je me prive beaucoup et dépend de mon père.

Le médecin c'est seulement quand je suis en train de mourir et j'ai dû tirer un trait sur les visites de contrôle chez le gynéco/dermato/dentiste vu que même si une partie est remboursée, je ne peux pas me permettre d'attendre qu'on me la rembourse vu que je carbure avec 100 euros par mois en tout et pour tout :)

Il y a certains moments où j'ai très envie de faire comme la plupart de mes voisins d'auditoire et de rentrer chez mes parents en dépit de l'ambiance plus que détestable qui règne chez moi. En attendant, je ronge mon frein en rêvant de jours meilleurs.
 
24 Juillet 2013
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Je crois que le burn out peut toucher toutes les personnes pour qui les études sont importantes. Pour avoir passé un concours cette année je sais aussi, comme beaucoup d'entre vous, de quoi je parle.
Désacraliser les études serait en partie la solution mais encore faut-il pouvoir le faire car qui dit moins de pression dit aussi pour beaucoup de gens moins de résultats et donc redoublement...
En tous cas je conseille à toutes les madz étudiantes de s'accorder du temps pour elles. Vous serez plus efficaces lorsque que vous vous remettrez au travail. Le tout est de trouver son équilibre.
 
19 Juillet 2013
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J'ai fais un burn-out étudiant...voilà c'est dit...alors peut être qu'il n'y a pas que les cours qui ont joué, j'ai toujours eu très peu confiance en moi, j'ai passé une seconde catastrophique émotionnellement à cause d'emmerdes à l'internat (oui le bouc-émissaire c'était moi)..., j'ai changé de voie, j'ai été mieux un temps mais j'ai toujours eu des périodes de mou, des genres de temps de pause où une léthargie profonde m'a envahi mais j'ai toujours refusé de parler à qui que ce soit de mes problèmes : "c'est vrai quoi, y a pire que moi..je connais pas les drames familiaux, j'ai une vie plutôt aisée, j'ai des amis, j'ai pas de raison d'être mal.."
Alors cette année quand j'ai été acceptée en Mise a niveau en Arts, j'ai plutôt positivé..
Toute l'année a été ponctuée de phases bien/gros mal.
Pourtant je n'ai jamais fais de nuit blanche, les profs étaient plutôt cool sur les rendus, je me suis juste mise une pression énorme tout en culpabilisant chaque fois que je ne bossais pas...certains après-midi je suis parti de cours en prétextant être malade alors que je ne pouvais juste rien faire, je n'avais pas d'inspiration, pas d'envie, pas de projets...
Alors en fin d'année j'ai comme explosé...je ne suis pas venue en cours pendant 1 semaine, tout simplement parce que je ne pouvais plus dessiner..ça a été un échec pour moi : "je suis dans l'art, je dessine depuis 20 ans et je n'y arrive plus..", à chaque fois que je prenais un crayon, ma main devenait celle d'un enfant de 4 ans....
Finalement je n'ai rien rendu de mes dossiers, je suis resté chez moi et j'ai décidé d'aller voir quelqu'un, pas un psychologue parce que pour moi, c'est un peu comme le loto, on ne sait jamais sur qui on tombera.
J'ai préféré aller voir un magnétiseur qui exerçait aussi la sophrologie, et ça m'a beaucoup aidé...bien sur cette période n'est pas terminée, j'ai toujours beaucoup de mal a créer, a dessiner (chose que je n'ai pas fait depuis 2 mois et demi).
Alors je soutiens de tout coeur toutes les personnes qui en ont été victime, parce que même avec de l'argent et des études qui sont sensées nous plaire, on est jamais à l'abri de ça, et personne n'est forcément là pour le voir..
Je n'aurai qu'un conseil : même si c'est dur, même si on pense que c'est pas grave, qu'il y a pire, même si on a l'impression d'être un(e) total abruti (la liste est longue)...PARLEZ! il y aura toujours quelqu'un ici bas pour vous écouter...
 
Pour ma part, je n'avais pas réussi à mettre un nom sur ce que j'ai ressenti cette dernière année, et à la lecture de cet article, je comprend que j'ai bien fait un burn-out. Mes études (une licence d'histoire bilingue anglais) me plaisent énormément, on était un groupe très soudé. Je viens de terminer ma 2nde année et devait, pour valider ma licence, choisir une destination Erasmus au Royaume-Uni pour ma 3ème année. Nous sommes la première promo de cette formation, donc les gens ne nous ont pas fait confiance, et les histoires de partenariats furent complexes. J'ai reçu des refus de coordinateurs d'autres départements de la fac que le mien, assurant que même si ils avaient une place pour la Grande-Bretagne, il ne la donnerai jamais à une étudiante en Histoire. On nous avait promis un peu la lune au début de notre formation, et la désillusion fut très très forte. Ça m'a fait douter de mes capacités, ça s'est ressenti sur mes résultats, ma vision des choses. Moi qui suis de nature optimiste, je n'arrivais pas à en voir le bout, je me suis engueulé avec presque tous mes profs qui nous avait menti, je n'avais plus envie d'essayer, comprenant que je n'arriverais à rien. Au même moment j'ai subi un choc du côté de ma vie amoureuse qui m'a mis un réel coup. Pendant trois jours je n'ai pas parlé, à personne, je n'arrivais pas à parler sans éclater en sanglots. ça ne m'était jamais arrivé de ne plus arriver à m'exprimer.  La charge émotionnelle était lourde, je n'arrivais même plus à me confier à mes amis, pensant qu'ils ne comprendraient pas, parce qu'il ne le vivait pas. Je me suis fermée. Je passait mes nuits à pleurer, je ne dormais que 2 à 3h par jour. Je n'arrivais plus à travailler, sur rien, je me sentais inutile et dispensable et pensais que mon monde me percevait également comme ça. Je ne trouvait plus aucun intérêt à mes passions habituelles (la musique, le cinéma). J'ai mêmesongé à me scarifier de nouveau, sale habitude que j'avais abandonnée depuis le lycée, et qui jusqu'à cette année avait complètement disparue. ça a duré longtemps, j'en suis sortie entre mai et juin, parce que j'ai mis du temps à relativiser, surtout grâce à mes amis qui ont réussi à me faire reprendre confiance en moi et en mes capacités. J'ai depuis réussi à prendre le contrôle de ce qui m'arrivait, à ne pas laisser une déception me monter trop vite à la tête. En en parlant aujourd'hui avec mes camarades, je me rend compte que ce phénomène est assez répandu chez les étudiants, et c'est quelque chose de très douloureux à vivre, que je ne souhaite VRAIMENT à personne de vivre.
 
Hello

Je voudrais rebondir sur quelque chose qui a été évoqué dans plein de messages : on nous en demande trop.

Je pense pareil. Mais différement.

En fait, je pense qu'on nous en demande trop dans le supérieur parce qu'on nous en demande pas assez dans le secondaire. Et qu'au final il faut quand même arriver à en savoir autant au bout de la ligne...
 

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