Sympa de parler du burn-out !
J'étais en M1 psychologie de l'enfant en 2013 / 2014 à paris. Un travail à mi temps, les études et un stage, des heures interminables de transport. Bref, je suis arrivée à la médecine de la fac en novembre - 1ère année où je m'étais dis que si quelque chose clochait j'allais les voir - j'explique : incapacité à dormir plus de 2/3 heures souvent découpées dans la nuit, manque de magnésium et de fer ... Il me demande mon emploi du temps, comment je l'organise, comment je jongle. Et là il me dit : "Vous êtes très proche du burn-out mademoiselle".
J'y retourne en Janvier, il me demande comment je vais "Je crois que c'est bon, j'y suis dans le burn-out". En effet mes carences ont augmenter, en même temps quand on a la flem de se faire à manger, et que financièrement c'est juste - mes CHER études parisiennes ! - il n'y a pas eu de surprise. J'ai les yeux cernée, ma nervosité et palpable, j'ai de la tension en étant allongée. Bref le dawa complet.
Alors du coup :
- j'ai quitté mon stage, qui était trop éloignée de mon lieux d'étude/habitation,
- j'ai réinvestit comme j'ai pu dans mon alimentation
- j'ai pris des compléments alimentaires et un petit traitement pour le sommeil sur une semaine.
J'ai vraiment sortit la tête hors de l'eau quand j'ai réalisé que j'avais, à peu près, se rythme là depuis le début de mes études. J'ai réalisé que je me bouffais la santé à faire ça et j'ai décrété que j'arrêté à la fin de l'année.
Après une année royalement saboté, j'ai pris la décision de prendre soin de bibi. Ne sachant pas quoi faire, et n'aimant pas perdre mon temps, je suis partie en tant que fille au-pair à Londres. Ben, ça fait du bien d'avoir du temps, d'apprendre une nouvelle langue et culture
Des fois il est préférable de faire un break plutôt que continuer sur un chemin pseudo défini à l'avance, car "c'est celui qu'il faut prendre". Non, il n'y a pas de chemin prendre, il y a juste celui que l'on choisi d'emprunter.
PS : Si vous prenez une année ou redoublait et entendait un "ah mais tu vas perdre une année" à force je me suis mise à penser "si toi tu as une date limite de validité, perso je ne le ressens pas comme ça" Pensez y !
J'étais en M1 psychologie de l'enfant en 2013 / 2014 à paris. Un travail à mi temps, les études et un stage, des heures interminables de transport. Bref, je suis arrivée à la médecine de la fac en novembre - 1ère année où je m'étais dis que si quelque chose clochait j'allais les voir - j'explique : incapacité à dormir plus de 2/3 heures souvent découpées dans la nuit, manque de magnésium et de fer ... Il me demande mon emploi du temps, comment je l'organise, comment je jongle. Et là il me dit : "Vous êtes très proche du burn-out mademoiselle".
J'y retourne en Janvier, il me demande comment je vais "Je crois que c'est bon, j'y suis dans le burn-out". En effet mes carences ont augmenter, en même temps quand on a la flem de se faire à manger, et que financièrement c'est juste - mes CHER études parisiennes ! - il n'y a pas eu de surprise. J'ai les yeux cernée, ma nervosité et palpable, j'ai de la tension en étant allongée. Bref le dawa complet.
Alors du coup :
- j'ai quitté mon stage, qui était trop éloignée de mon lieux d'étude/habitation,
- j'ai réinvestit comme j'ai pu dans mon alimentation
- j'ai pris des compléments alimentaires et un petit traitement pour le sommeil sur une semaine.
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
J'ai vraiment sortit la tête hors de l'eau quand j'ai réalisé que j'avais, à peu près, se rythme là depuis le début de mes études. J'ai réalisé que je me bouffais la santé à faire ça et j'ai décrété que j'arrêté à la fin de l'année.
Après une année royalement saboté, j'ai pris la décision de prendre soin de bibi. Ne sachant pas quoi faire, et n'aimant pas perdre mon temps, je suis partie en tant que fille au-pair à Londres. Ben, ça fait du bien d'avoir du temps, d'apprendre une nouvelle langue et culture
Des fois il est préférable de faire un break plutôt que continuer sur un chemin pseudo défini à l'avance, car "c'est celui qu'il faut prendre". Non, il n'y a pas de chemin prendre, il y a juste celui que l'on choisi d'emprunter.
PS : Si vous prenez une année ou redoublait et entendait un "ah mais tu vas perdre une année" à force je me suis mise à penser "si toi tu as une date limite de validité, perso je ne le ressens pas comme ça" Pensez y !