K
Kafkanorexia
Guest
Oslo August 31, de Joachim Trier.
Je voulais le voir depuis longtemps et je regrette de ne pas avoir bougé mes fesses jusqu'au cinéma. Je ne savais pas qu'il s'inspirait du livre Le feu follet. Du coup, la trame narrative me laissait au départ perplexe. Mais petit à petit, en suivant le personnage, on prend un réel plaisir à vouloir connaître la fin (tout en la connaissant déjà).
Les plans ne sont pas extraordinaires, mais certains procédés comme la voix-off et les silences, puis les travelling quand on suit le personnage en ville sont très bien faits et choisis.
Puis la bande son.
Der letzte Mann, de Friedrich Murnau.
J'ai honte de ne voir ce film que maintenant... Je crois que le forum des images le passait pour le cycle sur Berlin..
Je pense que je préfère Nosferatu, mais le film reste quand même très bien fait.
Emil Jannings joue très bien et je pense qu'il en est pour beaucoup dans le succès du film.
Le gamin au vélo, des frères Dardenne.
J'ai un peu de mal avec le travail des frères Dardenne. Je ne suis pas sûre de voir leur dernier (coucou Marion ). Il y a beaucoup de longueurs, je trouve. Des retours en arrière, etc. Mais Cécile de France.
Dallas Buyers Club, de Jean-Marc Vallée.
Je ne comptais pas le voir mais par hasard, un soir, on l'a regardé.
Je l'ai trouvé super long pour ce qu'il raconte, finalement. Certes, l'histoire est intéressante mais il y a plein de plans voire de séquences trop long(ues).
Sinon, je n'ai rien à dire concernant le jeu des acteurs.
5 broken cameras, de Guy Davidi et Emad Burnat.
Un gros coup de coeur. J'ai beaucoup appris (enfin surtout vu) sur le conflit en Palestine (comment s'organise les personnes qui protestent contre la colonisation des terres fertiles, la répression par l'armée israélienne, etc).
Mais le film pose aussi la question du cinéma: le pouvoir de filmer, se sentir protégé par la caméra.
Et oui, j'ai pleuré. Par rapport au conflit, mais aussi par rapport à la situation du personnages principal (l'évolution dans le temps avec les anniversaires de son fils, les caméras cassées, etc).
Je voulais le voir depuis longtemps et je regrette de ne pas avoir bougé mes fesses jusqu'au cinéma. Je ne savais pas qu'il s'inspirait du livre Le feu follet. Du coup, la trame narrative me laissait au départ perplexe. Mais petit à petit, en suivant le personnage, on prend un réel plaisir à vouloir connaître la fin (tout en la connaissant déjà).
Les plans ne sont pas extraordinaires, mais certains procédés comme la voix-off et les silences, puis les travelling quand on suit le personnage en ville sont très bien faits et choisis.
Puis la bande son.
Der letzte Mann, de Friedrich Murnau.
J'ai honte de ne voir ce film que maintenant... Je crois que le forum des images le passait pour le cycle sur Berlin..
Je pense que je préfère Nosferatu, mais le film reste quand même très bien fait.
Emil Jannings joue très bien et je pense qu'il en est pour beaucoup dans le succès du film.
Le gamin au vélo, des frères Dardenne.
J'ai un peu de mal avec le travail des frères Dardenne. Je ne suis pas sûre de voir leur dernier (coucou Marion ). Il y a beaucoup de longueurs, je trouve. Des retours en arrière, etc. Mais Cécile de France.
Dallas Buyers Club, de Jean-Marc Vallée.
Je ne comptais pas le voir mais par hasard, un soir, on l'a regardé.
Je l'ai trouvé super long pour ce qu'il raconte, finalement. Certes, l'histoire est intéressante mais il y a plein de plans voire de séquences trop long(ues).
Sinon, je n'ai rien à dire concernant le jeu des acteurs.
5 broken cameras, de Guy Davidi et Emad Burnat.
Un gros coup de coeur. J'ai beaucoup appris (enfin surtout vu) sur le conflit en Palestine (comment s'organise les personnes qui protestent contre la colonisation des terres fertiles, la répression par l'armée israélienne, etc).
Mais le film pose aussi la question du cinéma: le pouvoir de filmer, se sentir protégé par la caméra.
Et oui, j'ai pleuré. Par rapport au conflit, mais aussi par rapport à la situation du personnages principal (l'évolution dans le temps avec les anniversaires de son fils, les caméras cassées, etc).