Son nom est Sabine, de Sandrine Bonnaire.
Un joli docu sur la soeur autiste de l'actrice Sandrine Bonnaire. Ce n'est qu'une histoire parmi d'autres, mais des thèmes communs comme la prise en charge en milieu hospitalier (qui généralement n'arrange rien), sont abordés.
Le naufragé, de Guillaume Brac.
Premier court-métrage que j'arrive à voir de Brac, je suis contente !
Enfin, c'est plus un prologue de
Un monde sans femmes. Mais on retrouve totalement le style de Brac (un peu à la Rohmer: pas de figuration, etc).
L'inconnu du lac, d'Alain Guiraudie.
J'ai enfin pu le finir. J'ai beaucoup aimé et j'en ai même profité pour lire un peu le scénario.
Les plans, donc les décors. Puis le jeu est très intéressant.
J'ai vraiment eu l'impression d'un huis-clos, ou d'une mini société qui se forme autour de ce lac.
Tournée, de Mathieu Amalric.
Depuis le temps que je voulais le voir ! Très bon film. Les filles sont géniales et mention spéciale à la description de certains milieux artistiques (Zand est le portrait crachée de mon paternel, haha).
Actrices, de Valeria Bruni Tedeschi.
Gros bof. Beaucoup d'ennui, tout tourne autour d'elle. Dommage, car les autres acteurs sont géniaux (Lvosky, Garrel, Amalric...). On se demande simplement pourquoi elle a fait ce film, si ce n'est pour se mettre en avant. Encore plus dommage, parce que le thème reste intéressant (monter une pièce, travailler son personnage, etc).
The goodtimeskid, d'Azazel Jacobs.
Des jolies images (style pola), des musiques sympa. Mais j'aurais plus vu un court-metrage voire carrément un clip... C'est indie quoi.
Louise Michel, de Benoit Delépine et Gustave Kervern.
J'aime tellement les films comme ça:
Mammuth, C'est arrivé près de chez vous, La merditude des choses... L'humour noir, de très bons acteurs (et je ne savais même pas que Katerine jouait dedans !). Et Yolande Moreau.
