Au coeur de la nuit (VO: Dead of Night), un film d'horreur à sketches de 1945. Le personnage principal est un architecte appelé pour rénover une grande maison de campagne. Arrivé dans la maison, il y fait la connaissance des invités présents et a une sensation de déjà-vu. Au fur et à mesure qu'il prédit des détails qui se produiront, il est persuadé qu'une horreur va se produire. L'un des invités est un psychiatre qui exprime son scepticisme vis-à-vis du surnaturel alors chaque invité se met à raconter une histoire surnaturelle qui le.a concerne de près ou de loin.
Très belle découverte !
La semaine dernière :
Dead End (2003). Un film d'horreur qui rappelle vaguement le mythe de la dame blanche, sur une famille qui se rend chez leurs proches pour le réveillon de Noël, quand le père décide de prendre un raccourci en passant par une petite route qui semble n'en plus finir. Évidemment, la soirée vire au cauchemar assez rapidement quand ils s'arrêtent pour prendre une femme apparemment en état de choc et son bébé.
L'ambiance est délicieusement angoissante et les tensions entre les personnages donnent lieu à des dialogues presque humouristiques, de sorte que le film ne se prend pas trop au sérieux. Le twist final est également pas mal, j'ai vraiment aimé ce film !
J'ai perdu mon corps (2019). L'histoire d'une main qui part à la recherche du corps dont elle a été "séparée", avec en parallèle l'histoire du personnage jusqu'à son accident.
J'ai surtout apprécié l'esthétique du film, mais à part ça l'histoire est un peu niaise (mais disons que ça se prête bien au format des films d'animation).