Le dernier film que vous avez vu à la maison

[Sylvestrum]

J'ai vu Phantom sur Netflix, une film de sous-marin avec Ed Harris. J'ai pas aimé, tout s'enchaine vite dans tous les sens, on n'a aucune indications sur le temps qui passe (c'est souvent le cas dans les films de sous-marins, mais ici encore plus), les personnages étaient fades et c'était sans aucune surprise. A un moment il y a un mec qui meurt, mais qui a le temps de sortir une phrase spirituelle pleine de sens et de profondeur tellement déjà vu

Revu Inglourious Basterd, en VO cette fois, et l'accent de Brad Pitt m'a fait mourir de rire

Et Le parrain I et II

 

[vercoquin]

Je ne me rappelle plus exactement des films vus dernièrement, mise à part du docu Petite fille, et j'aime toujours autant le travail de ce réalisateur !

Sinon, plus récemment:

Vénus et Fleur, d'Emmanuel Mouret
Je n'ai pas vu son dernier, qui ne me donnait vraiment pas envie. Je crois que je le préfère vraiment dans ses débuts. Et ça tombe bien, car c'est un de ses premiers ! Une jolie fable d'été sur l'amitié entre femmes et l'amour. J'ai toujours trouvé à Mouret quelque chose en plus, que Rohmer n'avait pas dans sa mise en scène d'intrigues à la Marivaux.

Peppermint candy, de Lee Chang-dong

J'aime beaucoup ce réal, mais je ne connaissais pas du tout l'existence de ce film. Belle surprise.

et Silvia Prieto, de Martin Rejtman

Je ne connais pas assez le cinéma argentin, mais Rejtman fait vraiment partie de mes réal préféré.e.s, tout continent confondu !
Les gants magiques reste mon film préféré de lui. Mais c'est toujours un peu les mêmes motifs qui reviennent (la vingtaine-trentaine, l'amour, l'identité, l'amitié, la spiritualité, la "haute" société argentine, etc.) et toujours aussi feel-good. Je recommande vraiment. Ses films datent un peu maintenant (en terme de grain), mais sur le fond, c'est vraiment en avance (la question du sexisme, notamment).

Nimic, de Yorgos Lanthimos

Autant j'ai aimé ses longs, mais ce court m'a laissée totalement neutre. Voire, il m'a un peu énervée. J'en retire rien.

 

[boucle-dorée]

Hello ! je viens de regarder Love actually, rien de très original mais c'est pour moi un film culte !

 

[pikalovescoke]

J'ai regardé pour la première fois le très classique Home Alone (Maman j'ai raté l'avion) Sympa à regarder, je suppose encore mieux avec des enfants Je vais regarder le 2 ce soir

Je peux pas vivre un Noel sans voir les deux (tu verras, le deux est encore mieux !)

 

[Claire-de-plume]

Le retour de Mary Poppins , j'ai eu l'impression de revenir dans mon enfance

 

[pikalovescoke]

@pikalovescoke Tu savais qu'il y avait un 3 et un 4 ?
Et oui, j'ai trouvé le 2 un peu plus dynamique aussi !

Je savais qu'il y avait un 3 (que j'aime pas) mais je savais pas qu'il y avait un 4.

Oui et puis le 2 se passe à New York, les décors claquent ^^ J

 

[Melancia]

Ce n'est pas un film de cinéma mais un téléfilm qui date de 2004, qu'on trouve facilement en libre (avec plein de sous-titres dont espagnol...donc pour pratiquer mais je m'égare) sur un site d'hébergement de vidéos, films etc...Le silence de la mer, avec Michel Galabru (ce n'est pas drôle comme téléfilm), Thomas Jouannet et Julie Delarme.
C'est tiré de la nouvelle de Vercors Le silence de la mer.
Jeanne vit seule dans une grande maison avec son grand-père, quand les Allemands arrivent dans son village de bord de mer (ce n'est pas une station balnéaire), la maison est réquisitionnée pour héberger le Capitaine Von Ebrennac. Le capitaine se montre très poli, bien élevé et discret. Il parle un parfait français et est francophile.Tous les soirs, il vient faire la conversation à Jeanne et son grand-père...pour rien car les 2 occupants de la maison ont décidé de pratiquer leur résistance en refusant catégoriquement de lui adresser la parole. Mais Von Ebrennac ne se décourage pas. Dans le même temps, la vie continue dans la village, la situation s'aggrave, la résistance s'organise. Et Jeanne et Von Ebrennac se leint d'une façon irréelle, étrange mais amoureuse....
C'est un très beau téléfilm, bien joué. C'est surtout tiré d'une très histoire de Vercors, grand écrivain français, résistant qui à travers le silence de la mer voulait démontrer l'amour sincère mais contrarié et s'exprimant dans une violence féroce, orgueilleuse et dévastatrice entre la France et l'Allemagne.

 

[queen of sloth]

Seul sur Mars . J’ai bien aimé , il se démarque un peu des autres films situés dans l’espace qui finissent mal .

 

[Eivlys]

2 films totalement différents :

J'irai mourir dans les Caprates de A. De Maximy, film inspiré de son émission j'irai dormir chez vous. Petit film sans prétention mais pas mal foutu. Bon j'avoue j'aime bien j'irai dormir chez vous du coup j'ai kiffé le film.

Mourir à Madrid (encore du mourir...décidément...effet corona') de Frédéric Rossif : du lourd, du mega lourd...un documentaire d'histoire de 1964 sur la guerre civile espagnole (1936-1939). Si vous aimez l'histoire contemporaine et le documentaire historique n'hésitez pas. C'est un chef d'oeuvre (d'ailleurs il est classé comme tel). Mention spéciale pour la très belle musique de M.Jarre (il me semble). En libre sur Yo....

 

[vercoquin]

Ham on rye, de Tyler Taormina (2019)

Je n'ai pas trop compris tout l'engouement autour de ce film. C'était très joli et agréable. Mais ça aurait pu juste être un court. Beaucoup trop long pour ce que ça raconte/montre.

Fais-moi plaisir, d'Emmanuel Mouret (2009)

Entre ARTE et MUBI qui en remettent pas mal, ça fait toujours plaisir ! Pas mon préféré, mais je reste assez sensible à son univers.

Pushing hands, d'Ang Lee (1991)

Toujours aussi fan de son cinéma (surtout ses débuts). J'aime énormément sa mise en en scène, autant que les thèmes principaux abordés (l'héritage, la famille, les origines, l'immigration...). Puis Sihung Lung.

 

[queen of sloth]

Due Date . Un Road movie pas terrible , j’ai eu l’impression de revoir Dumb and Dumber .

Girl Asleep. en voyant ce court métrage je n’ai pu m’empêcher de penser à l’esthétique des films de Wes Anderson . C’est un très beau comte sur le passage de l’enfance à l’adolescence.

 

[vercoquin]

For the time being, de Salka Tizinia

Grosse découverte et je crois, premier film. J'ai vraiment adoré: les plans, le montage, les échelles et le cadre (surtout le hors-champ et le montage son). J'avais un peu peur du format "salut on fait de la pellicule juste pour la forme hihi", mais tout tient super bien (le rythme 33) et installe un mystère agréable, du début à la fin !

Les mauvais garçons, d'Elie Girard

Victoire prix de la Presse du festival de Clermont, si je ne me trompe pas ? Télérama vibz en tout cas, mdr !
Pas trop accroché. J'ai essayé de mettre de côté le combo voix-off + surtitrage temporel, parce que ça reste un court et que c'est compliqué de s'étendre autant dans le temps. Mais, bof. Rien à dire sur le thème mais j'ai trouvé ça trop propre. Heureuse quand même de retrouver Aurélien Gabrielli, qui était génial en mec largué (littéral et métaphorique) dans le Saint-Jacques Gay-Lussac de Louis Séguin !