J'ai été une "Sam" plutôt, l'article m'a fait me voir moi, mais dans la situation inverse. ^_^
Je partage du coup "l'autre vision" de mon point de vue et vécue
J'étais l'in-engageable, celle qui ne voulait ni aimer et ne savait pas vraiment comment s'y prendre, j'avais des copains parce que "je me sentais bien avec eux et puis pourquoi pas, hein ? Je suis seule alors roule, ma poule!" et je suivais. Les opportunités, les sorties, les rencontres, je ne proposais rien parce que je ne voulais pas quelque chose de plus. Je n'avais pas forcément beaucoup d'engagement, aux "Je t'aime" il y avait de timide "moi-aussi" et mon cerveau mettait toute les conditions pour que le coeur suivent (Ca ne durera pas, il est cool, j'aime bien rire avec lui, il est intelligent, pas trop prise de tête, il va jamais demander plus que je ne peux l'offrir, il sait que je peux pas...etc ) . Puis à chaque fois, la même discussion qui retombe et la même vérité "Je peux pas continuer, sérieux..." Parce que l'autre s'emballe, veut plus, t'attrape complètement quitte à marcher un peu sur ce que tu penses, voudrais être et souhaiterais. Si tu commences à mettre des freins, c'est la panique, la crise, les larmes et les grands mots (oui-oui), ça fait peur, alors tu tranches dans le tas, tu choisis les phrases pour rompre, tu plis bagage.
J'ai été plein de fois une "Sam", je pensais que mes copains qui m'ont connu se doutait que je m'engagerais pas, que ça irait pas très loin, que c'était "histoire de", pour profiter de l'autre sans attendre des caisses derrière. Ben non. Il ne voyait pas tout les petits signes qui montraient mes limites et je ne me voyais pas les donner à l'oral (parce que je vais blesser, encore, quelqu'un, parce que j'aime bien l'autre, mais pas comme lui ? Et comment il va le comprendre ? Bah ça le comprend pas. Alors parle-pas, évite de faire souffrir...Etc)
Et y a eut mon compagnon depuis 3 ans, qui m'a apprivoisée, m'a laissée mon rythme, mon temps à moi aussi. Il avait le petit truc qui fallait (je pense, tout de même
) et la patience avec.
Je comprends que ce soit difficile ce genre de situation et non, si l'autre traîne la patte: ne continuez pas.
Parlez en, essayez de lui tirer "les vers du nez" ou au moins de lui donner l'occasion d'en parler sainement (même si ça picote) comme Mymy à fait (et gros big up pour le courage!) n'attendez pas des changements miraculeux, n'idéalisez pas la personne, ça m'a stressée et m'a retranchée encore plus derrière mes barrières, précipitant la fin de la relation parce que ce n'était "pas moi" qu'ils aimaient, mais l'idée de la relation avec moi, l'idée qu'ils avaient de la personne.
Soyez courageuse, toute mes pensées à toute celle coincée dans ce type de relation
. (et aux autres Sam, de vaincre la peur de blesser l'autre, la solitude et tout ça pour poser les bases directement et s'y tenir, ne pas plier parce que l'autre veut plus, désespère de plus et que vous l'aimez bien. Vous allez le blesser, encore plus et le balloter inutilement. )
Je partage du coup "l'autre vision" de mon point de vue et vécue
J'étais l'in-engageable, celle qui ne voulait ni aimer et ne savait pas vraiment comment s'y prendre, j'avais des copains parce que "je me sentais bien avec eux et puis pourquoi pas, hein ? Je suis seule alors roule, ma poule!" et je suivais. Les opportunités, les sorties, les rencontres, je ne proposais rien parce que je ne voulais pas quelque chose de plus. Je n'avais pas forcément beaucoup d'engagement, aux "Je t'aime" il y avait de timide "moi-aussi" et mon cerveau mettait toute les conditions pour que le coeur suivent (Ca ne durera pas, il est cool, j'aime bien rire avec lui, il est intelligent, pas trop prise de tête, il va jamais demander plus que je ne peux l'offrir, il sait que je peux pas...etc ) . Puis à chaque fois, la même discussion qui retombe et la même vérité "Je peux pas continuer, sérieux..." Parce que l'autre s'emballe, veut plus, t'attrape complètement quitte à marcher un peu sur ce que tu penses, voudrais être et souhaiterais. Si tu commences à mettre des freins, c'est la panique, la crise, les larmes et les grands mots (oui-oui), ça fait peur, alors tu tranches dans le tas, tu choisis les phrases pour rompre, tu plis bagage. J'ai été plein de fois une "Sam", je pensais que mes copains qui m'ont connu se doutait que je m'engagerais pas, que ça irait pas très loin, que c'était "histoire de", pour profiter de l'autre sans attendre des caisses derrière. Ben non. Il ne voyait pas tout les petits signes qui montraient mes limites et je ne me voyais pas les donner à l'oral (parce que je vais blesser, encore, quelqu'un, parce que j'aime bien l'autre, mais pas comme lui ? Et comment il va le comprendre ? Bah ça le comprend pas. Alors parle-pas, évite de faire souffrir...Etc
) Et y a eut mon compagnon depuis 3 ans, qui m'a apprivoisée, m'a laissée mon rythme, mon temps à moi aussi. Il avait le petit truc qui fallait (je pense, tout de même
) et la patience avec. Je comprends que ce soit difficile ce genre de situation et non, si l'autre traîne la patte: ne continuez pas.
Parlez en, essayez de lui tirer "les vers du nez" ou au moins de lui donner l'occasion d'en parler sainement (même si ça picote) comme Mymy à fait (et gros big up pour le courage!) n'attendez pas des changements miraculeux, n'idéalisez pas la personne, ça m'a stressée et m'a retranchée encore plus derrière mes barrières, précipitant la fin de la relation parce que ce n'était "pas moi" qu'ils aimaient, mais l'idée de la relation avec moi, l'idée qu'ils avaient de la personne. Soyez courageuse, toute mes pensées à toute celle coincée dans ce type de relation
. (et aux autres Sam, de vaincre la peur de blesser l'autre, la solitude et tout ça pour poser les bases directement et s'y tenir, ne pas plier parce que l'autre veut plus, désespère de plus et que vous l'aimez bien. Vous allez le blesser, encore plus et le balloter inutilement. )
)
(Ok je sors 
)
