Le point soutenu (de ce que j'ai compris de l'article), c'est que la fin de la série ne provoque pas la dépression mais qu'elle peut la révéler chez certains. Ce serait un indicateur si le petit chagrin dure, si on ne veut pas quitter la fiction etc...
Ben non :/ à moins qu'on parle pas du même article
"Quand on s’implique dans une grande histoire — que ce soit un livre, un film ou une émission de télévision — on se perd dans la fantaisie, la romance, le drame et l’action.
Avec le temps, nous pouvons développer une relation intime avec ces personnages en les suivant dans leurs exploits, en partageant des blagues et en écoutant leurs processus de pensée et leur développement émotionnel.
Plus encore, nous projetons des parties de notre personnalité sur ces personnages bien-aimés, nous commençons à nous identifier à eux et nous partageons leurs épreuves et leurs triomphes.
En suivant leur histoire, nous vivons dans un monde idéalisé, plein d’émerveillement, de danger et de mystère.
Ainsi, lorsque nous terminons les histoires, nous devons dire au revoir à ces gens que nous avons appris à aimer, et apparemment mettre fin à des relations profondément chères, ce qui est très semblable au deuil d’un ami proche.
D’une certaine façon, on a l’impression d’accepter que notre aventure, à nous aussi, doit s’arrêter."
Ca parle pas de gens chez qui ça révèle une dépression (est ce que ça existe déjà), là c'est chez les gens lambda et c'est édulcoré "d'une certaine façon on a l'impression" -> c'est vachement vague mdr, un dépressif a pas l'impression d'un peu, d'une certaine façon, comment dirais je, d'avoir envie de mourir, entre guillemets ...
Et surtout le cadre de l'article c'est un gars qui était triste d'avoir fini Naruto, et voilà, il s'en est remis.
@Cococinulle @Philippine M dans ce cas il faut éditer l'article