Le topic des parents et futurs parents
- Initiateur de la discussion Hawley
- Date de début
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Membre supprimé 202485
Guest
@Aleynia 
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Il y a quelques temps je vous narrais ma joie d'avoir vu mes angoisses disparaître pendant la grossesse et ne pas revenir après l'accouchement. J'étais détendue.
Bon bah ça n'a pas duré longtemps. 5 mois après l'accouchement mes angoisses sont revenus comme avant. Je stresse pour plein de choses (mais jamais pour mon fils) et surtout pour l'argent (sans aucune raison rationnelle puisque je stresse autant qu'on soit à découvert et qu'on ait des économies). Ca me bouffe.
Samedi j'ai à nouveau rdv avec mon médecin pour faire le point sur mes angoisses liées à la situation merdique au boulot (j'ai été arrêté toute la semaine à cause de ça). J'hésite à lui en parler. Je ne sais pas comment faire pour me libérer de ce stress permanent.
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@LeeAnna_ j'ai lu tes messages sur tes difficultés avec ton enfant et j'ai eu l'impression de me lire peu de temps après l'accouchement. J'ai failli arrêter l'allaitement à cause de ça, je ne supportais plus d'avoir mon enfant collé au sein tout le temps. Tu essayes de sortir 20mn seule le soir ? (je sortais promener mon chien tous les soirs seule pendant que le mari gérais le monstre). Ca m'a beaucoup aidé. Et puis le temps, ça fini par passer.
Et sur le fait de se plaindre alors qu'on a un enfant "facile" je n'ai personnellement aucun scrupule.
Mon fils pleure peu (mais il râle pas mal dès qu'on arrête de s'occuper de lui), dort la majorité des nuits de 21h à 8h sans réveil, fait souvent la sieste et je profite régulièrement de jours seule afin de récupérer et de me retrouver. Ca ne m'empêche pas de me plaindre quand j'ai passé une nuit pourrie ( ce matin il s'est réveillé à 5h30!), ou d'être fatiguée.
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Il y a quelques temps je vous narrais ma joie d'avoir vu mes angoisses disparaître pendant la grossesse et ne pas revenir après l'accouchement. J'étais détendue.
Bon bah ça n'a pas duré longtemps. 5 mois après l'accouchement mes angoisses sont revenus comme avant. Je stresse pour plein de choses (mais jamais pour mon fils) et surtout pour l'argent (sans aucune raison rationnelle puisque je stresse autant qu'on soit à découvert et qu'on ait des économies). Ca me bouffe.
Samedi j'ai à nouveau rdv avec mon médecin pour faire le point sur mes angoisses liées à la situation merdique au boulot (j'ai été arrêté toute la semaine à cause de ça). J'hésite à lui en parler. Je ne sais pas comment faire pour me libérer de ce stress permanent.
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@LeeAnna_ j'ai lu tes messages sur tes difficultés avec ton enfant et j'ai eu l'impression de me lire peu de temps après l'accouchement. J'ai failli arrêter l'allaitement à cause de ça, je ne supportais plus d'avoir mon enfant collé au sein tout le temps. Tu essayes de sortir 20mn seule le soir ? (je sortais promener mon chien tous les soirs seule pendant que le mari gérais le monstre). Ca m'a beaucoup aidé. Et puis le temps, ça fini par passer.
Et sur le fait de se plaindre alors qu'on a un enfant "facile" je n'ai personnellement aucun scrupule.
Mon fils pleure peu (mais il râle pas mal dès qu'on arrête de s'occuper de lui), dort la majorité des nuits de 21h à 8h sans réveil, fait souvent la sieste et je profite régulièrement de jours seule afin de récupérer et de me retrouver. Ca ne m'empêche pas de me plaindre quand j'ai passé une nuit pourrie ( ce matin il s'est réveillé à 5h30!), ou d'être fatiguée.
@Aleynia Bon courage et plein de pensées pour vous, je n'ai sûrement pas les mots qu'il faut, mais je vous souhaite le plus de douceur possible durant cette période difficile. N'hésite pas à venir nous parler ici dès que cela te fait du bien 
@Illicit Et les autres sur le sujet du sacrifice de sa vie d'avant... Merci à vous !
Jusque là je n'avais encore jamais lu ce genre de choses et je me sentais tellement coupable de ressentir ça... Moi aussi bien que j'adore mon fils je regrette de ne pas avoir davantage profité de ma vie d'avant. Je suis passée directement d'étudiante à travailleuse indépendante, puis à maman, mes premières "vacances" après la fac étant mon congé mat... Puis retour au taf quand mon loulou a eu 3 semaines. Je vais sortir un truc bateau mais vraiment, on est pas préparés à ça, nous les futurs et jeunes parents... On sait que ça va être dur, fatiguant etc. on nous le dit tout ça, mais c'est impossible de mesurer à quel point.
Moi qui voulais avoir 2-3 enfants, je peux vous dire que mon désir de maternité s'est sérieusement calmé !
Et je vous raconte pas le briefing avec un éventuel futur compagnon qui voudrait des enfants avec moi
Bon courage et plein de pensées pour vous, je n'ai sûrement pas les mots qu'il faut, mais je vous souhaite le plus de douceur possible durant cette période difficile. N'hésite pas à venir nous parler ici dès que cela te fait du bien @Illicit Et les autres sur le sujet du sacrifice de sa vie d'avant... Merci à vous !
Jusque là je n'avais encore jamais lu ce genre de choses et je me sentais tellement coupable de ressentir ça... Moi aussi bien que j'adore mon fils je regrette de ne pas avoir davantage profité de ma vie d'avant. Je suis passée directement d'étudiante à travailleuse indépendante, puis à maman, mes premières "vacances" après la fac étant mon congé mat... Puis retour au taf quand mon loulou a eu 3 semaines. Je vais sortir un truc bateau mais vraiment, on est pas préparés à ça, nous les futurs et jeunes parents... On sait que ça va être dur, fatiguant etc. on nous le dit tout ça, mais c'est impossible de mesurer à quel point.Moi qui voulais avoir 2-3 enfants, je peux vous dire que mon désir de maternité s'est sérieusement calmé !
Et je vous raconte pas le briefing avec un éventuel futur compagnon qui voudrait des enfants avec moi
J'ai eu rendez-vous avec l'anesthésiste tout à l'heure, j'avais un peu peur de me faire "taper sur les doigts" avec mes pathologies et tous les traitements que je prends mais non tout est bon !
Que tout le monde se rassure, je pense que ma fille a bouffé la réserve mondiale de chiantos. 
@Aleynia tu es tellement forte et courageuse, je ne sais pas si tu t'en rend compte... c'est dur et injuste ce qui vous arrive, j'ai beaucoup de respect pour toi quI réussit à prendre les choses les unes après les autres, une étape à la fois, un jour à la fois... Bravo ! Et je t'envoie toute la tendresse et le soutien dont je suis capable !
