@Ethelle avec tout ça je ne suis plus certaine, est-ce toi qui a mentionné un livre sympa sur les légendes arthuriennes ? Si oui pourrais-je avoir les références exactes stp ? Ca m'intéresse !
Oui c'est bien moi ! C'est donc en toute simplicité "La légende du roi arthur"

LA maison d'édition c'est Quelle Histoire, une pépite ! (
@Nettle avait donc raison

)
@Charentaise quand Poupoule nous ('fin, m'a) fait la résistance pour la sieste e plein sevrage, ça a été chaud. Ici ça nous a beaucoup aidé de donner un biberon en soutien, en transition. Elle tétait pour s'endormir à la sieste ? Elle a eu un bib de remplacement (LM, végétal, vache, LA ... elle a tout eu

). Ca n'a pas été miraculeux mais ça a aidé
@bibouille22 la vraie question c'est : mais pourquoi des pyjamas ?

(#teamtoutnus)
@Pompoen quel prénom magnifique

Tout mon soutien pour cet accouchement compliqué, une petite rasade de bisous, et bonne découverte ensemble !
@Margottine elle t'en fait voir de toutes les couleurs ... Courage. Sinon petite astuce qui pourrait peut-être t'aider, quand Poupoule a eu sa période manger la pâte à modeler, on est passé à la pâte à sel. Mon mec était moins crispé qu'elle en mange et ça a désamorcé.
@Destiel Mok´ d'après ma mère, j'ai toujours dit que je voudrais au moins un enfant, et jeune (je l'ai eu à 25 ans moins 2 semaines et je trouvais ça "tard" haha)(alors que ma mère nous a eu à 33 et 37 ans, que j'étais en études et tout, 'fin rien de tardif là dedans

). Au final quand je prend du recul, je suis "attirée" par le care (mes choix de métiers quand j'étais petite ? Fée, maîtresse, doctoresse ... Je suis assistante sociale au final

) et je materne beaucoup mes ami-e-s, je suis pas mal tournée vers autrui, quelque soit l'âge. D'un point de vue rationnel, la parentalité me stimule au quotidien même si c'est épuisant et qu'il y a des jours où je me dis que j'aurais du me stimuler autrement

Subjectivement ... ça m'a toujours été une évidence. Evidemment il y a la pression sociale (surtout que j'ai grandi en polynésie, où la place de l'enfant, de la famille, est très importante, j'ai baignée dans cette atmosphère et je sais que ça a laissé beaucoup d'empreintes)(mais paradoxalement je suis pas très "famille")(ça fait beaucoup de parenthèse non ?) mais réellement je n'aurais pas vu ma vie sans enfant, c'est complètement incongru quand j'y pense. C'était tellement une évidence que je n'ai jamais vu Poupoule comme un frein quelconque (le réel gros changement dans notre vie c'est qu'on ne va plus au ciné à deux). Je trouve ma vie actuelle bien plus équilibrée et riche depuis qu'elle est là, avec les difficultés et les joies que cela comporte. S'il y a des jours difficiles, je ne regrette pas une seule seconde d'être devenue parent.
D'ailleurs nous avons failli nous séparer avec mon compagnon à cause de ça. Il était child free convaincu, l'est toujours un peu en somme car il refuse toute idée d'avoir un autre enfant (ce que j'accepte, j'ai fais mon deuil d'un autre enfant, ça a été dur mais maintenant ça va). Lui a clairement accepté de sauter le pas pour moi (et, soyons honnêtes, ne pas me perdre car si au bout de sa réflexion il était resté sûr de sa position, j'aurais mis fin à notre relation. Ca fait ultimatum dit comme ça mais c'était plutôt dans l'idée que je l'aime et que je ne souhaitais pas le forcer à avoir une vie qu'il regretterait et dont Poupoule aurait subit les conséquences de ce regret), mais au final la rencontre in-utero avec Poupoule a déclenché beaucoup de choses chez lui (mais il ne disait jamais qu'on allait accueillir un enfant, il disait qu'on allait accueillir Poupoule, c'était l'évidence pour lui et ça faisait toute la différence à son niveau. Alors que pour ma part je n'accueillais pas Poupoule comme lui l'entendait, j'accueillais une enfant, qui allait s'appeler Poupoule). Au final ma temporalité d'étudiante lui a permis de mûrir ce choix qu'il a fait ( = accepter de faire un enfant) puisque lorsque Poupoule est née, ça faisait 8 ans que nous étions ensemble.