Moi ce qui m'intrigue, c'est que j'ai l'impression qu'en France, on donnerait plus de desserts qu'en Belgique (? à vérifier ^^)
Je lis souvent qu'aux repas du midi et du soir, il y a souvent un laitage + un fruit en plus.
Ici, c'est plutôt réservé aux en-cas où alors au petit-déj et goûter (où il y a donc, du sucré) mais pas aux repas principaux (ou on se contente de féculent-protéines-légumes).
Par contre, ma fille aime vraiment manger mais 4 repas, c'est le minimum pour la caler aha
Félicitations
@lilydouce et
@Tammie , et
@Paindepice (superbe prénom !)
@Pinceau_ : Ca m'embête pas du tout non plus. Tout ce que je peux dire c'est que tu n'as pas l'air heureuse. Et qu'à mon avis, le temps ne changera rien à la situation (si ce n'est plus d'aigreur de ton côté ?)
Je crois que tu "sais" déjà ce qui s'impose

Dans l'absolu je trouve très dur de priver un enfant de son père, mais après tout, il aura les cartes en main, à lui de se sortir les doigts du cul pour elle !
@engoluob : Je n'avais pas vu qu'elle se forçait à faire un bébé pour sauver son couple. Je ne sais pas si elle réalise dans quoi elle s'embarque. Comme si c'était si simple, le pondre et le refourguer au père.. pauvre gosse au milieu de ça. Franchement, ce gosse à venir ne mérite pas ça
Par contre je crois que je pose des règles, des cadres & des interdits. Perso, je trouve ça nécessaire, et je crois vraiment qu'un enfant en a besoin.
Là, ma fille est en phase de "non" (elle dit non à TOUT

) et si je joue avec certains outils (offrir des choix, respecter certains non qui sont juste l'expression de choix, de préférences etc) bah y a du non négociable. Si je dis : on va au bain avec papa, et qu'elle dit non, bah je lui réponds que c'était pas une question et que c'est moi et papa qui décidons. Pareil, si elle veut manger un bout de gâteau avant le souper, bah c'est non. L'heure du coucher est fixe (à 30minutes près, on est pas non plus rigides à ce point

), celle des siestes aussi. En rue (si risque de voitures) on donne la main. Si c'est non, c'est dans la poussette ou on rentre.
J'explique, toujours, mais je ne marchande pas, elle est l'enfant, je suis (on est) le parent, et je suis là pour la guider et lui offrir un cadre et des règles, un environnement routinier et stable le plus possible.
Et si elle pique une colère, exprime sa frustration, c'est très bien, la preuve qu'elle pousse comme il faut, je lui offre mon écoute et un câlin, mais si elle les refuse, je lui dis "très bien, tu reviendras me voir quand tu seras calmée" ert je vaque à mes occupations, ou je lui dis (si on est en rue) "je vois que tu es en colère, mais tu peux aussi l'être en avançant, alors hop, en route, ohh regarde, un bébé chat" et hop, ça passe.
Mais je ne crie pas (et ça m'énerve qu'on me le reproche, je crie pas avec mon mari pourquoi je crierais sur elle ? je ne veux pas baser mon autorité sur la peur), je refuse de lui dire des choses dures (genre "tu es sale", non c'est "ce que tu fais n'es pas très propre, regarde tes maisn, viens, on va les laver..) et je ne me permets pas de mouvement d'humeur ou autre.
J'essaie d'être la plus cohérente possible même si parfois, je m'y perds un peu ^^
La photo, du coup :
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(elle est parfois encore un peu brusque, je dois tempérer son amour aha)