Bonjour,
Je suis actuellement en échange Erasmus. Je vis donc, dans mon nouveau pays d’accueil depuis un peu plus de deux mois.
Quand je lis cet article je ne pense pas que les problèmes viennent du programme Erasmus, mais de l’idée dans laquelle se sont enfermé ces filles.
Tu n’aimes pas les colocations en France? Ne t’engage pas là dedans à l’étranger. Tu es introverti et timide? Ne t’attend pas à devenir la reine de la sociabilité. C’est logique tout cela.
Je vis en colocation, nous sommes 5, d’origines et cultures complétement différentes. Les débuts ont été plus ou moins faciles, puis on a décidé de mettre les choses à plat, lors d’une soirée. On a eu l’occasion de discuter : moi, plutôt maniaque, leur ai demandé de faire des efforts (ras le bol de faire la vaisselle pour tout le monde), en contre partie, ils m’ont demandé d’être plus discrète en rentrant le dimanche matin à 5h, légèrement éméché. L’une a été prié d’arrêter de faire tourner des machines à laver au milieu de la nuit, un autre de baisser le son de la musique russe (atroce) qu’il écoute, etc. Mais tout ça c’est passé dans les rires, chacun ce moquant gentillement des habitudes des autres. Au final on aura passé une bonne soirée, et assuré une meilleure cohabitation. Mais dans une colocation, il est primordial de comprendre le mot “effort”, que ce soit en France ou à l’étranger.
Pour ce qui est des liens, je ne me sens pas obligé de nouer des liens “pour la vie” avec les autres Erasmus. Le seul sentiment que j’ai, est celui de vitesse. On se lie plus rapidement, parce qu’on sait que notre temps est limité ici. Que nous passerons 5 ou 10 mois ensemble, pour, très certainement, ne plus se revoir.
Et c’est là que ça coince avec les locaux. Nous sommes pris dans notre tourbillon, on veut faire vite et bien dans le temps limité, alors qu’eux ne sont pas pressés du tout.
C’était mon objectif en venant ici – me faire des amis locaux (je savais que je n’aurais pas de mal avec les autres Erasmus). Verdict : et bien j’y arrive! Il faut juste plus de temps qu’avec les Erasmus. (Mais je suis peut-être tombé dans un pays où les gens sont particulièrement gentils et accueillants)
Je n’ai jamais penser que mon année Erasmus ne serait que fête et alcool (bien que cette aspect là ne me déplait absolument pas). Sortir de sa zone de confort n’est pas aisé, et c’est à ça qu’il faut se préparer. Mais tout est dans les efforts (bien que je conçoive qu’il puisse exister des expériences horribles, malgré une bonne volonté au départ).
Je suis actuellement en échange Erasmus. Je vis donc, dans mon nouveau pays d’accueil depuis un peu plus de deux mois.
Quand je lis cet article je ne pense pas que les problèmes viennent du programme Erasmus, mais de l’idée dans laquelle se sont enfermé ces filles.
Tu n’aimes pas les colocations en France? Ne t’engage pas là dedans à l’étranger. Tu es introverti et timide? Ne t’attend pas à devenir la reine de la sociabilité. C’est logique tout cela.
Je vis en colocation, nous sommes 5, d’origines et cultures complétement différentes. Les débuts ont été plus ou moins faciles, puis on a décidé de mettre les choses à plat, lors d’une soirée. On a eu l’occasion de discuter : moi, plutôt maniaque, leur ai demandé de faire des efforts (ras le bol de faire la vaisselle pour tout le monde), en contre partie, ils m’ont demandé d’être plus discrète en rentrant le dimanche matin à 5h, légèrement éméché. L’une a été prié d’arrêter de faire tourner des machines à laver au milieu de la nuit, un autre de baisser le son de la musique russe (atroce) qu’il écoute, etc. Mais tout ça c’est passé dans les rires, chacun ce moquant gentillement des habitudes des autres. Au final on aura passé une bonne soirée, et assuré une meilleure cohabitation. Mais dans une colocation, il est primordial de comprendre le mot “effort”, que ce soit en France ou à l’étranger.
Pour ce qui est des liens, je ne me sens pas obligé de nouer des liens “pour la vie” avec les autres Erasmus. Le seul sentiment que j’ai, est celui de vitesse. On se lie plus rapidement, parce qu’on sait que notre temps est limité ici. Que nous passerons 5 ou 10 mois ensemble, pour, très certainement, ne plus se revoir.
Et c’est là que ça coince avec les locaux. Nous sommes pris dans notre tourbillon, on veut faire vite et bien dans le temps limité, alors qu’eux ne sont pas pressés du tout.
C’était mon objectif en venant ici – me faire des amis locaux (je savais que je n’aurais pas de mal avec les autres Erasmus). Verdict : et bien j’y arrive! Il faut juste plus de temps qu’avec les Erasmus. (Mais je suis peut-être tombé dans un pays où les gens sont particulièrement gentils et accueillants)
Je n’ai jamais penser que mon année Erasmus ne serait que fête et alcool (bien que cette aspect là ne me déplait absolument pas). Sortir de sa zone de confort n’est pas aisé, et c’est à ça qu’il faut se préparer. Mais tout est dans les efforts (bien que je conçoive qu’il puisse exister des expériences horribles, malgré une bonne volonté au départ).