Le riz au curry japonais!
Je l'ai découvert dans ma famille d'accueil pendant une année d'échange au lycée, et c'est le meilleur plat que j'ai jamais mangé. Il y a plein de manières de le préparer, alors ce n'était jamais ennuyeux même si ça a plutôt une réputation de plat très simple. Big up pour le curry au tonkatsu (porc pané) parce que vive le gras. Ma mère d'accueil n'aimait pas beaucoup la viande mais mettait du potimarron dedans, c'était exceptionnel.
Quand je suis rentrée en France pour faire ma terminale, il était encore impossible d'en trouver dans les épiceries asiatiques du coin. Pendant ma première année à la fac (2012-2013), c'était faisable à un prix prohibitif. Et puis, petit à petit, ça s'est démocratisé et maintenant toutes les épiceries asiatiques de ma ville en vendent, parfois à des prix tout à fait bon marché! Du coup, j'ai converti toute ma famille, mes amis et mon chéri. Maintenant c'est le plat "on-reçoit-mais-comme-j'avais-pas-prévu-ce-sera-curry-parce-que-j'en-ai-toujours-dans-le-placard", ou encore quand "bon-sang-j'ai-la-flemme-mais-pas-des-pâtes-pitié", "c'est-la-fin-du-mois-du-riz-des-carottes-du-curry", "besoin-de-réconfort-viens-on-mange-un-curry"... Y'a toujours une bonne raison d'en préparer et comme mon copain adore aussi, personne pour me contredire!
A présent, j'attends que la même chose se produise pour le melon pan. Pendant ce temps je prie la déesse de la levure pour que ma pâte à pain lève enfin, et dès que je suis à Paris je file à la boulangerie Aki, seule boulangerie que je connaisse qui en vende. Parce que de la pâte à cookie sur une brioche, j'suis désolée mais voilà, t'peux pas faire mieux et j'comprends pas que les français n'importent pas le concept. Voire qu'ils l'aient pas créé eux-même.
Je l'ai découvert dans ma famille d'accueil pendant une année d'échange au lycée, et c'est le meilleur plat que j'ai jamais mangé. Il y a plein de manières de le préparer, alors ce n'était jamais ennuyeux même si ça a plutôt une réputation de plat très simple. Big up pour le curry au tonkatsu (porc pané) parce que vive le gras. Ma mère d'accueil n'aimait pas beaucoup la viande mais mettait du potimarron dedans, c'était exceptionnel.Quand je suis rentrée en France pour faire ma terminale, il était encore impossible d'en trouver dans les épiceries asiatiques du coin. Pendant ma première année à la fac (2012-2013), c'était faisable à un prix prohibitif. Et puis, petit à petit, ça s'est démocratisé et maintenant toutes les épiceries asiatiques de ma ville en vendent, parfois à des prix tout à fait bon marché! Du coup, j'ai converti toute ma famille, mes amis et mon chéri. Maintenant c'est le plat "on-reçoit-mais-comme-j'avais-pas-prévu-ce-sera-curry-parce-que-j'en-ai-toujours-dans-le-placard", ou encore quand "bon-sang-j'ai-la-flemme-mais-pas-des-pâtes-pitié", "c'est-la-fin-du-mois-du-riz-des-carottes-du-curry", "besoin-de-réconfort-viens-on-mange-un-curry"... Y'a toujours une bonne raison d'en préparer et comme mon copain adore aussi, personne pour me contredire!

A présent, j'attends que la même chose se produise pour le melon pan. Pendant ce temps je prie la déesse de la levure pour que ma pâte à pain lève enfin, et dès que je suis à Paris je file à la boulangerie Aki, seule boulangerie que je connaisse qui en vende. Parce que de la pâte à cookie sur une brioche, j'suis désolée mais voilà, t'peux pas faire mieux et j'comprends pas que les français n'importent pas le concept. Voire qu'ils l'aient pas créé eux-même.
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attention ! les copeaux doivent être faits avec un couteau et pas une râpe sinon ça perd tout son charme x) et être servies avec un grand verre de lait froid ^^ les tartines de gratiné de ma grand-mère, déjà copiées, jamais égalées
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. C'était un délicieux fondant au chocolat comme je les aime complètement enrobé de crème chantilly, j'ai dû en manger deux , trois fois dans ma vie, mais ce gateau m'a sacrément marqué
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Moi j'aimais bien être malade, du coup



Mes deux origines
), éplucher les patates avec maman, et attendre longtemps, longtemps qu'il cuise, sentir l'odeur se répandre dans l'appartement, se battre avec ma soeur pour finir les patates
Donc ensuite l'hiver dès qu'on allait chez elle on lui réclamait. Parfois même elle en faisait et en apportait chez mes parents