- "On préfèrera souvent recruter une personne qui a un excellent relationnel mais qu’il faut former, plutôt que celui qui sait faire mais
« ne sait pas s’intégrer ». Oui, c’est tout à fait subjectif, et c’est aussi la raison pour laquelle il y a tant de discrimination dans le monde professionnel…" -> c'est l'histoire de toute ma vie!
- je rappelle le recruteur après mon entretien, mais souvent il n'est pas dispo ou il ne sait pas encore la décision, donc je me retrouve souvent à le rappeler, et au bout de la 3ème j'abandonne car je trouve que ça devient foutage de gueule et je ne veux pas non plus paraître pour une harceleuse...
- je n'aime pas trop le piston, c'est comme l'histoire de recruter quelqu'un seulement pour son comportemental, c'est tellement subjectif... par contre je n'ai rien contre des infos, des contacts... mais après à moi de me faire des preuves...
Sinon la plus grande des erreurs dont je n'arrive pas à me débarrasser, c'est toujours être découragée en lisant la fiche de poste, d'être incompétente, et en plus d'être méga-réservée, ça aide pas le recruteur à se dire que je suis méga motivée...
Et j'ai tendance à prendre les recruteurs pour des cons depuis la fois où j'ai eu la scarlatine, les symptômes de fièvre et de migraine tombants pile le jour de l'entretien, j'étais tellement mal (et je ne savais pas ce que j'avais car je tombe extrêmement peu malade, manque de pot) que la recruteuse a pensé que j'étais pas du tout motivée. Quand elle m'a rappelée pour le dire, j'étais dans mon lit, avec les plaques éruptives sur mon corps, mais j'ai même pas osé dire ce que j'avais parce que c'était pas encore diagniostiqué et que même si tu lui sors l'excuse de la maladie, elle ne referait pas l'entretien. Pareil pour un recruteur qui a préféré se baser sur des non-dits, ça m'a mise en rage car tout ce qui a été contre moi, ce sont des choses qu'il a librement interprété...