Certaines réponses à cette article me donnent envie de hurler.
Comme lorsque cette amie chère à mon cœur et toujours heureuse dans ses histoires m'a dit un jour : "Mais enfin, tu n'avais qu'à te méfier."
Mais comment pouvez-vous dire ça ? Ne vous êtes vous jamais trompé sur le compte de personne ? N'avez-vous jamais été trahi(e)s ?
Qu'il y ai là-dedans du sexe ou non ne change rien. Ou plutôt, il ne fait qu'acidifier un peu plus le tout, faire fondre notre orgueil, mais cela reste une déception.
J'ai pleuré souvent sur cette lettre parce que c'est une catharsis formidable.
Vous nous dites que nous aurions du résister, ne pas croire que sexe et amitiés pouvaient cohabiter, et même que c'est cruel de le demander. Mais la plupart du temps nous n'avions rien demandé, ni nous ni personne !
Ces hommes qui étaient nos amis sont venus vers nous je le pense sans la moindre intention de nuire mais en nous cherchant, en nous prenant dans leur bras, chatouillant, embrassant les joues, le front, le nez. Puis la bouche. Où était la limite ?
Alors oui, si cela m'est arrivé vous pourrez peut être me dire que si c'était ma faute d'avoir cédé (mais s'ils en ont envie, pourquoi n'aurais-je pas le droit de l'avoir aussi ?) . Mais ce n'était pas qu'une illusion, ça marcherait, ils me le disait même pour certains : "mais on est amis hein ?".
Mais oui !
Et puis non.
Alors si ça s'est reproduit vous pourriez aussi me dire qu'une fois c'est compréhensible mais que l'on doit apprendre de ses erreurs et que si le scenario se répète c'est qu'on est vraiment tarte.
Mais vous ne le savez pas que chaque relation est unique ? Qu'aucune ne se ressemble ?
Peut-être que je fais aussi partie des idéalistes qui croient toujours à l'espoir. Je crois aussi que l'on attire toujours le même genre de personne.
Mais est-ce que vous pouvez vous figurer vous qui dites "pas de sexe avec de l'amitié" que parfois, cela arrive. Simplement.
Cela m'est arrivé tellement, tellement de fois. Et c'est un miracle, on ne m'a jamais accusée d'être facile. Je crois même que chaque homme a eu l'impression d'être "l'élu" tant la réputation de jeune fille sage me collait à la peau. Mais cela ne les as jamais empêché de me traiter sans aucun respect.
Ce que je veux dire c'est que je n'avais concrètement rien fait pour le mériter (quand bien même une fille facile "mériterait" un manque de respect, hum...) et qu'ils n'étaient pas foncièrement méchants non plus
(je garde pour la plupart une tendresse débordante et certains sont redevenus des amis). C'est la vie, les circonstances mais SURTOUT leur manque d'empathie qui les as poussé à cela.
Car oui je crois que ma seule faute est d'aimer les grandes gueules un peu égoïstes (mais vous savez, qui ont des millions d'autres qualités et talents (au cap's part exemple)).
Et n'avez vous jamais remarqué que le sexe rapprochait ? Quand bien même ce n'était qu'un pote, il y a surement eu des discussions avant ou après, des confessions. Il y a eu de la confiance de développée, de la complicité. Ça demande beaucoup de complicité je crois, faire des galipettes avec quelqu'un.
Alors ce n'est plus un pote.
Et on ne lui demande pas la fidélité, l'amour éternel, on exige pas l'amitié non plus.
L'amitié on la pleure, la perte de la spontanéité nous vrille l'estomac mais la seule chose que l'on réclame c'est le respect. Une explication lorsque l'on nous quitte, et rien plutôt qu'un bonjour nonchalant d'inconnus lorsque l'on se croise.
Vous n'en voudriez jamais une jeune fille de pleurer sur la perte d'un amour, je crois que l'on peut se dire qu'alors nous pleurons ici nos amours aussi. Des amours plus légers, des amours plus tendres et moins passionnés. Des amours un peu débiles parfois et qui ne tiennent à rien. Mais à qui l'on tient.
Je ne sais pas trop pourquoi j'ai écrit ce pavé qui est beaucoup trop décousu. Pas vraiment pour moi mais je n'aurais pas la prétention de dire pour les autres. Peut-être un peu par colère.
Parce que tout cela ce n'est pas qu'une question d'égo, de manque ou de trop plein.
C'est une question de déception lorsque l'on a le malheur de toujours s'attacher trop fort.
Parce que je ne peux pas vous en vouloir de ne pas avoir connu ce sentiment d'impuissance mais que je peux vouloir essayer de vous le faire comprendre.
"Trouve toi un mec" c'est terriblement méprisant.
Et inutile.
Moi il y a un homme que j'aime et qui m'aime, profondément, comme on ne m'a jamais aimé.
Cela m'empêche t-il de manquer de défaillir, lorsque je croise un de ces anciens amis ?
Lorsque les souvenirs affluent en pagailles, de ceux qui sont fait de parties de cache cache à la campagne et de bains de minuit ?
La réponse est absolument pas.Parce qu'il y a juste des milliers d'amours différents et certains peuvent vous aliéner.
Comme lorsque cette amie chère à mon cœur et toujours heureuse dans ses histoires m'a dit un jour : "Mais enfin, tu n'avais qu'à te méfier."
Mais comment pouvez-vous dire ça ? Ne vous êtes vous jamais trompé sur le compte de personne ? N'avez-vous jamais été trahi(e)s ?
Qu'il y ai là-dedans du sexe ou non ne change rien. Ou plutôt, il ne fait qu'acidifier un peu plus le tout, faire fondre notre orgueil, mais cela reste une déception.
J'ai pleuré souvent sur cette lettre parce que c'est une catharsis formidable.
Vous nous dites que nous aurions du résister, ne pas croire que sexe et amitiés pouvaient cohabiter, et même que c'est cruel de le demander. Mais la plupart du temps nous n'avions rien demandé, ni nous ni personne !
Ces hommes qui étaient nos amis sont venus vers nous je le pense sans la moindre intention de nuire mais en nous cherchant, en nous prenant dans leur bras, chatouillant, embrassant les joues, le front, le nez. Puis la bouche. Où était la limite ?
Alors oui, si cela m'est arrivé vous pourrez peut être me dire que si c'était ma faute d'avoir cédé (mais s'ils en ont envie, pourquoi n'aurais-je pas le droit de l'avoir aussi ?) . Mais ce n'était pas qu'une illusion, ça marcherait, ils me le disait même pour certains : "mais on est amis hein ?".
Mais oui !
Et puis non.
Alors si ça s'est reproduit vous pourriez aussi me dire qu'une fois c'est compréhensible mais que l'on doit apprendre de ses erreurs et que si le scenario se répète c'est qu'on est vraiment tarte.
Mais vous ne le savez pas que chaque relation est unique ? Qu'aucune ne se ressemble ?
Peut-être que je fais aussi partie des idéalistes qui croient toujours à l'espoir. Je crois aussi que l'on attire toujours le même genre de personne.
Mais est-ce que vous pouvez vous figurer vous qui dites "pas de sexe avec de l'amitié" que parfois, cela arrive. Simplement.
Cela m'est arrivé tellement, tellement de fois. Et c'est un miracle, on ne m'a jamais accusée d'être facile. Je crois même que chaque homme a eu l'impression d'être "l'élu" tant la réputation de jeune fille sage me collait à la peau. Mais cela ne les as jamais empêché de me traiter sans aucun respect.
Ce que je veux dire c'est que je n'avais concrètement rien fait pour le mériter (quand bien même une fille facile "mériterait" un manque de respect, hum...) et qu'ils n'étaient pas foncièrement méchants non plus
(je garde pour la plupart une tendresse débordante et certains sont redevenus des amis). C'est la vie, les circonstances mais SURTOUT leur manque d'empathie qui les as poussé à cela.
Car oui je crois que ma seule faute est d'aimer les grandes gueules un peu égoïstes (mais vous savez, qui ont des millions d'autres qualités et talents (au cap's part exemple)).
Et n'avez vous jamais remarqué que le sexe rapprochait ? Quand bien même ce n'était qu'un pote, il y a surement eu des discussions avant ou après, des confessions. Il y a eu de la confiance de développée, de la complicité. Ça demande beaucoup de complicité je crois, faire des galipettes avec quelqu'un.
Alors ce n'est plus un pote.
Et on ne lui demande pas la fidélité, l'amour éternel, on exige pas l'amitié non plus.
L'amitié on la pleure, la perte de la spontanéité nous vrille l'estomac mais la seule chose que l'on réclame c'est le respect. Une explication lorsque l'on nous quitte, et rien plutôt qu'un bonjour nonchalant d'inconnus lorsque l'on se croise.
Vous n'en voudriez jamais une jeune fille de pleurer sur la perte d'un amour, je crois que l'on peut se dire qu'alors nous pleurons ici nos amours aussi. Des amours plus légers, des amours plus tendres et moins passionnés. Des amours un peu débiles parfois et qui ne tiennent à rien. Mais à qui l'on tient.
Je ne sais pas trop pourquoi j'ai écrit ce pavé qui est beaucoup trop décousu. Pas vraiment pour moi mais je n'aurais pas la prétention de dire pour les autres. Peut-être un peu par colère.
Parce que tout cela ce n'est pas qu'une question d'égo, de manque ou de trop plein.
C'est une question de déception lorsque l'on a le malheur de toujours s'attacher trop fort.
Parce que je ne peux pas vous en vouloir de ne pas avoir connu ce sentiment d'impuissance mais que je peux vouloir essayer de vous le faire comprendre.
"Trouve toi un mec" c'est terriblement méprisant.
Et inutile.
Moi il y a un homme que j'aime et qui m'aime, profondément, comme on ne m'a jamais aimé.
Cela m'empêche t-il de manquer de défaillir, lorsque je croise un de ces anciens amis ?
Lorsque les souvenirs affluent en pagailles, de ceux qui sont fait de parties de cache cache à la campagne et de bains de minuit ?
La réponse est absolument pas.Parce qu'il y a juste des milliers d'amours différents et certains peuvent vous aliéner.