Au début j'ai cru que je serais cataloguée FQNPLAF par l'article, mais non, ouf. Je ne m'engueule jamais avec les autres filles, ni avec les autres mecs d'ailleurs. Toutes les filles qui ont essayé de me faire des coups de pute ont lamentablement échoué (mwahaha). J'ai rien contre les filles (la dominante masculine dans mes groupes d'amis vient du fait que j'ai surtout évolué dans des milieux eux-même à forte dominante masculine, c'est une question de proportionnalité). Et, mon dieu, c'est le jour où il y aura des tensions sexuelles entre moi et mes amis que je commencerai sérieusement à m'inquiéter. Enfin, j'ai l'impression de ne jamais avoir rencontré de FQNPLAF telles que décrites exhaustivement. Des filles qui marchent à l'exclusivité, sont agressives avec les autres filles et veulent se constituer un harem de chevaliers servants, oui, mais c'était pas trop le genre "tire mon doigt" quoi. Des filles à fond dans le trip "je rote, je parle de cul et je jouais à Transformers", oui, mais c'était plutôt le genre Robert jusqu'au bout des ongles. Des filles que je décrirais comme normales, qui jouent à Resident Evil, tiennent la vodka et font la queue aux ventes privées, j'en connais déjà plus.
Sinon le seul truc qui me gêne dans cet article (drôle) (et que je ne prends pas au sérieux), c'est qu'en disant que les FQNPLAF adoptent ce comportement pour garder une sensation d'exclusivité et par peur de rentrer en concurrence avec d'autres filles, ça perpétue encore plus le stéréotype féminin qu'on les accuse pourtant d'entretenir. En gros, je suis d'accord avec le dernier paragraphe de nessie. (l'avant-dernier, pas celui où elle fait des bisous, quoique celui-là est très bien aussi).