Bonjour à vous toutes (ou tous hein, pas de distinctions entre genres hihi).
En toute honnêteté - et croyez moi je vais la faire en version courte - Est-il vraiment intelligent et respectueux de dire que les filles qui n'aiment pas les filles ont directement un soucis quelconque qu'il faudrait limite soigner? (Ou est-il vraiment besoin de les traiter de la sorte? C'est leur vie, leur perception de leur environnement ou de leurs relations sociales, qui es-tu toi Pr. Bobby Freckles pour leur dire que leur perception est mauvaise/faussée/d'une saloperie malpropre? Parce que cet article m'a franchement donné cette impression.
Ma réponse perso: Non, ce n'est pas trés intelligent de cataloguer les gens sous prétexte qu'une étude....Oui oui, les études scientifiques se contredisent entre elles sur bon nombre de sujets, alors pourquoi accorder plus d'importance à cet article là? Pourquoi penser que ces jeunes femmes qui (toujours selon Pr. Bobby Freckles) ont visiblement un manque de confiance en soi -comme on peut TOUS en avoir à des degrés différents- ne méritent pas plus de soutient que celles qui subissent....Aller admettons, le Slut shaming?
Cet article rabaisse légèrement les attentes que j'ai de Mademoiselle.
Mais bon, reprenons des phrases mythiques comme: "Et maintenant dont elles perçoivent les centres d’intérêts des autres femelles" Le terme Femelle me semble trèssss approprié -notez ici un peu d'ironie hein- pour parler de femmes, dans un article qui parle de femmes qui n'apprécient pas la compagnie des autres femmes....Et en plus on se prend des réflexions dans la gueule, comme quoi on serait "pénibles", parce que oui je fais partie de ces filles casse-noisettes qui s'entendent très peu avec les autres femmes et pourtant j'arrive à avoir 2 ou 3 potes filles avec lesquelles ça passe...Mais enfin hein, ne sortons pas de la généralité de l'article, au cas où, par le simple fait de ne pas vouloir être vulgaire, je pourrais en venir à contrarier l'auteure de l'article...
En tant que femme qui a toujours eu des "soucis" pour m'entendre avec d'autres femmes je peux dire que.....Bah oui, un garçon manqué peut se sentir plus proche de ses amis masculins que de ses amies au féminin, comme les hétéros ne traînent pas qu'avec le sexe opposé, les lesbiennes ne traînent pas que entre filles et les mecs gays ne passent pas toute leur vie chez confo à chercher de quoi meubler leur sublime intérieur. Et si le fait d'être "un garçon manqué" avec ou sans sentiment de menace d'une sorte quelconque, pouvait s'apparenter à un sentiment proche de la transsexualité? Et donc qui dénote d'un mal être profond qu'on ne peut pas changer en modifiant juste le physique par exemple?
Sais-tu combien de personnes ont subit des violences, viols etc qui les ont poussés à changer leur vision du monde? Parce que j'estime que si ma vision des choses peut être faussée, ça en reste la faute à un système mal foutu qui cherche à créer le mal être et qui le réussit bien (Et je ne vais pas m'acharner sur l'explication de l'hyper-sexualisation au quotidien qui peut parfaitement pousser à ce sentiment de "danger", ni à parler de mannequins, d'actrices X et j'en passe. L'amour et l'attirance ne sont plus ce qu'ils étaient).
Tout ça pour dire que cet article est rédigé de façon à susciter une réaction plus ou moins négative envers des personnes qui peuvent avoir elles-aussi besoin d'un soutient pour comprendre les enjeux sociaux/sentimentaux du rejet de l'autre...Un article sous un point de vue neutre et non agressif aurait été beaucoup mieux accueilli je pense.
A bon entendeur, et si vous n'aimez pas les filles en étant une fille: bordel, on est dans un pays où vous pouvez être qui vous souhaitez être...Et si quelqu'un ne vous plait pas, aucune norme ne devrait vous empêcher de vous sentir libre d'exprimer votre point de vue.
En toute honnêteté - et croyez moi je vais la faire en version courte - Est-il vraiment intelligent et respectueux de dire que les filles qui n'aiment pas les filles ont directement un soucis quelconque qu'il faudrait limite soigner? (Ou est-il vraiment besoin de les traiter de la sorte? C'est leur vie, leur perception de leur environnement ou de leurs relations sociales, qui es-tu toi Pr. Bobby Freckles pour leur dire que leur perception est mauvaise/faussée/d'une saloperie malpropre? Parce que cet article m'a franchement donné cette impression.
Ma réponse perso: Non, ce n'est pas trés intelligent de cataloguer les gens sous prétexte qu'une étude....Oui oui, les études scientifiques se contredisent entre elles sur bon nombre de sujets, alors pourquoi accorder plus d'importance à cet article là? Pourquoi penser que ces jeunes femmes qui (toujours selon Pr. Bobby Freckles) ont visiblement un manque de confiance en soi -comme on peut TOUS en avoir à des degrés différents- ne méritent pas plus de soutient que celles qui subissent....Aller admettons, le Slut shaming?
Cet article rabaisse légèrement les attentes que j'ai de Mademoiselle.
Mais bon, reprenons des phrases mythiques comme: "Et maintenant dont elles perçoivent les centres d’intérêts des autres femelles" Le terme Femelle me semble trèssss approprié -notez ici un peu d'ironie hein- pour parler de femmes, dans un article qui parle de femmes qui n'apprécient pas la compagnie des autres femmes....Et en plus on se prend des réflexions dans la gueule, comme quoi on serait "pénibles", parce que oui je fais partie de ces filles casse-noisettes qui s'entendent très peu avec les autres femmes et pourtant j'arrive à avoir 2 ou 3 potes filles avec lesquelles ça passe...Mais enfin hein, ne sortons pas de la généralité de l'article, au cas où, par le simple fait de ne pas vouloir être vulgaire, je pourrais en venir à contrarier l'auteure de l'article...
En tant que femme qui a toujours eu des "soucis" pour m'entendre avec d'autres femmes je peux dire que.....Bah oui, un garçon manqué peut se sentir plus proche de ses amis masculins que de ses amies au féminin, comme les hétéros ne traînent pas qu'avec le sexe opposé, les lesbiennes ne traînent pas que entre filles et les mecs gays ne passent pas toute leur vie chez confo à chercher de quoi meubler leur sublime intérieur. Et si le fait d'être "un garçon manqué" avec ou sans sentiment de menace d'une sorte quelconque, pouvait s'apparenter à un sentiment proche de la transsexualité? Et donc qui dénote d'un mal être profond qu'on ne peut pas changer en modifiant juste le physique par exemple?
Sais-tu combien de personnes ont subit des violences, viols etc qui les ont poussés à changer leur vision du monde? Parce que j'estime que si ma vision des choses peut être faussée, ça en reste la faute à un système mal foutu qui cherche à créer le mal être et qui le réussit bien (Et je ne vais pas m'acharner sur l'explication de l'hyper-sexualisation au quotidien qui peut parfaitement pousser à ce sentiment de "danger", ni à parler de mannequins, d'actrices X et j'en passe. L'amour et l'attirance ne sont plus ce qu'ils étaient).
Tout ça pour dire que cet article est rédigé de façon à susciter une réaction plus ou moins négative envers des personnes qui peuvent avoir elles-aussi besoin d'un soutient pour comprendre les enjeux sociaux/sentimentaux du rejet de l'autre...Un article sous un point de vue neutre et non agressif aurait été beaucoup mieux accueilli je pense.
A bon entendeur, et si vous n'aimez pas les filles en étant une fille: bordel, on est dans un pays où vous pouvez être qui vous souhaitez être...Et si quelqu'un ne vous plait pas, aucune norme ne devrait vous empêcher de vous sentir libre d'exprimer votre point de vue.