Je continue le HS mais tant pis : je ne suis pas hyper d'accord avec toi Lelaina, je ne pense pas que la VO soit toujours mieux et je l'ai dit dès mon premier message à propos de Wayne's world. Pour moi, c'est juste différent. Souvent effectivement, la VO est bien meilleure (et heureusement), mais il arrive que les traductions surpassent l'original, tout simplement parce que les nuances de la langue utilisée par le traducteur porte mieux l'oeuvre, comme c'est le cas pour Poe et Baudelaire. Mais l'exercice est trop difficile pour que ce genre d'exemples soit fréquent, il faut un sacré talent pour ça (Baudelaire et les Nuls sont des références dans leurs domaine).
Chaque langue porte une culture, une histoire, une ambiance, certains mots sont uniques et intraduisibles, et en plus de tout ça, chaque style d'écriture et rythme propre à un auteur renforcent la difficulté de la traduction, et 'c'est pour ça à mon avis que les traductions, même les plus fidèles, changent le texte... En mieux ou en moins bien.
Pour répondre à PommeCherry, oui, toutes les critiques (et pas seulement Poe) s'accordent à dire que les traductions de Baudelaire sont plus poétiques, parce qu'il est l'un des homme qui sait le mieux manier la langue française, et qu'il a pu mettre ce talent à contribution pour renforcer le texte original et ses nuances. Il n'empêche pas qu'il se soit lui-même posé des limites en constatant que certains textes étaient soient trop beaux en VO pour être traduits sans qu'ils ne perdent de leurs charmes.
Chaque langue porte une culture, une histoire, une ambiance, certains mots sont uniques et intraduisibles, et en plus de tout ça, chaque style d'écriture et rythme propre à un auteur renforcent la difficulté de la traduction, et 'c'est pour ça à mon avis que les traductions, même les plus fidèles, changent le texte... En mieux ou en moins bien.
Pour répondre à PommeCherry, oui, toutes les critiques (et pas seulement Poe) s'accordent à dire que les traductions de Baudelaire sont plus poétiques, parce qu'il est l'un des homme qui sait le mieux manier la langue française, et qu'il a pu mettre ce talent à contribution pour renforcer le texte original et ses nuances. Il n'empêche pas qu'il se soit lui-même posé des limites en constatant que certains textes étaient soient trop beaux en VO pour être traduits sans qu'ils ne perdent de leurs charmes.