Mon chat est mort, j'ai pleuré, et c'est normal

[Membre supprimé 200470]

J'ai toujours voulu avoir un chat... J'en était gaga, je collectionnais les goodies, ma tapisserie chat, doudou chat je vivais chat ! ^^ J'ai même réussit a chopé un chat dehors est le ramener dehors qui a été vite foutu dehors par mon père... Bref je voulais un chat et mes parents non... Mais un jour mon grand frère qui était partie et revenu vivre chez nous... En cachant son chat.. Une fois découvert ce fameux chat prénommer "Maite" est devenue Mounette (surnom donné par mon père pour l’appeler) ...
J'était en joie ! Cette chatte c'était devenue ma vie presque... Je jouais avec, me laissait faire griffer, câliné... On a laisser cette chatte vivre sa vie comme un chat sauvage ... Toujours dehors la journée, dormir chez nous la nuit, elle nous ramener toujours des oiseaux et souris et jouais comme une folle devant nous alors qu'on poussait des petits cris d'horreur ^^ Elle nous a fait une centaines de chatons... Je sais certains diront que c'est pas croyable de ne pas castrer son chat... Elle nous a fait des porter jusqu’à l'âge de 14ans... Enfin sa dernière lui a failli être fatale... Je n'habitais plus a la maison... Mais chaque week end je la voyais et je voyais son changement plus flagrant que le reste de la famille. J'ai poussé mon père a l'emmener au véto... Bref avortement, stérilisation et verdict du véto "Bon elle a rien de spécial" ... Quelques semaines plus tard, elle mangeait peu, retour chez le véto... "On sens une boule mais on ne sait pas ce que c'est... Bah tant qu'elle mange sa ira " Elle mangeais... plus le temps passait plus elle maigrissait et plus sa boule grossissait... Elle dormais de plus en plus dans nos lits (ce qu'elle ne fesait jamais) et squattais dans le meuble télé...
Un jour, on la retrouver allongé dans l'herbe comme a son habitude. Mon frère qui nous l'avais laissé chez nous depuis qu'elle était malade (elle se fessait emmerder par un jeune chaton du colloc), et venue la voir, a vu que les fourmis grimpait sur elle, il la pris pour la déposé sur le canapé.. Il pleurait dans sa fourrure .. Moi qui en 21ans n'avait jamais vu mon frère pleuré... je ne réalisait pas... Il a finit par partir... Quand j'ai voulu caressé Mounette.. des convulsions a commencé, j'ai appelé mes parents... personnes ne savait comment réagir... Et la moi ... face a la réalité, me rendant compte qu'elle mourrait... Les larmes ont coulé seule, inconsolable dans les bras de mon copain, qui lui ne comprenait pas ... J'ai finit par supplier mon père pour qu'il l’emmène ce faire piquer chez le véto, arrivé la bas elle était dans le coma...

Beaucoup trouve que c'est idiot de pleurer pour notre bête et j'avoue que je trouve cela bête de pleurer pour un cochon dinde qui meurs au bout d'une semaine... Mais Mounette j'ai partager 12 ans de sa vie... Elle ma fait rire, attendrir...
Elle était la compagne d'infortune de mon frangin, lui qui se privait de manger pour lui donner de quoi manger a elle...
J'ai beaucoup pleurée et je ne suis pas prête a reprendre une bête...

 

[Shinigamylle]

Je fais un gros, gros groooooos gros gros câlin virtuel à la Madz qui nous a fait ce beau, triste et très touchant article.  J'ai pas pleuré à la lecture, mais presque, sauvée de justesse par les merveilleux gifs l'accompagnant (et je suis totalement amoureuse de l'avant dernier, je fais EXACTEMENT la même chose avec ma Patate, cette chatte adore les bisous )

J'ai toujours eu des chats, et j'en aurais toujours, je conçois pas ma vie sans eux, donc je ne peux que me sentir concernée, car j'en ai perdu quelques uns, beaucoup même car je viens de faire le compte du coup (morts de vieillesse, maladie, et le connard de chien de merde du connard de voisin), j'ai donc perdu 13 chats dans ma vie  J'ai toujours eu plusieurs chats en même temps, en fait chaque membre de la famille avait plus ou moins SON chat, qui s'attachait de lui-même à cette personne. Avant, mon père avait son vieux chat blanc Blanblanc, ma mère sa grosse Minette tabby moitié persanne, moi mon gros chat noir Cooky donné par un amis qui avait déménagé en appartement, ma sœur son chat gris Bandy (né à la maison), et ma petite sœur plus tard, Patate (oui, elle a un gros bidon, et qui est d'ailleurs aujourd'hui plutôt ma minette car elle squatte mon studio -et moi- absolument tout le temps, même si elle kiffe toujours autant ma petite soeur ) Bref, le vieux chat blanc de mon père, il est mort à 17 ans d'une pneumonie qu'on a remarqué trop tard, et c'est la première et seule fois que j'ai vu mon père pleurer, c'était terriblement triste de le voir comme ça (moi j'ai chialé comme une chiée pour tous les décès de mes chats). D'ailleurs depuis (ça a été son premier chat, donné par un copain), mon père a une sorte de tradition : il veut toujours avoir un chat tout blanc avec lui, il dit que comme ça il a sa conscience blanche. Donc quand il perd son chat blanc, on remue ciel et terre pour lui trouver un chaton boule de neige (à savoir, en aucun cas ça sert de remplacement, tous nos chats sont uniques, jamais l'un ne remplacera l'autre, juste qu'on ne pourra jamais se séparer de leur présence, ils sont l'esprit de la maison, une présence calme et apaisante, on les aimes Leur grand nombre n'a jamais été une sorte de collection, et on les as toujours tous stérilisés).

Bref, j'ai actuellement quatre chats : Steve, le magnifique angora blanc de 3 ans de mon père, une crème, même le véto est impressionné par son doux caractère (la quatrième conscience de mon père ), Patate, ma vieille minette grise et blanche de 10 ans (et qui pète grave la forme, toujours belle), le pelage le plus doux du monde, que j'ai élevée au biberon avec sa sœur et ses deux frères (qu'on a trouvés dans le jardin d'une amie, balancés par des connards de gens qui passaient par là alors qu'ils avaient pas encore les yeux bien ouverts....), Karbon, notre vigoureux et super intelligent chat noir qui a 2 ans, qui ouvre les portes à sa guise (et il a apprit tout seul !), et notre petite dernière, Abby, une grise tabby de 8 mois, qu'on a retrouvé perchée en haut de mon palmier (elle s'est faite courser par Karbon, en colère de la voir chez lui), on l'a récupérée, et ses propriétaires ne se sont jamais manifestés, malgré nos annonces dans la rue et chez le véto. C'est une petite teigne, elle a un caractère de chiotte mais est malgré super câline et affectueuse, le soir où on l'a descendue de notre palmier, je m'attendais à tenir une minette affolée et griffante et... Non, elle ronronnait comme une malade et faisait plein de câlins. Maintenant Karbon et elle sont les meilleurs amis du monde, ils jouent comme des fous furieux dans le jardin en courant à une vitesse pas possible

Bref, ENORME pavé de ma part (encore), pour montrer à quel point un chat, comme beaucoup d'autres animaux de compagnie, a vraiment sa place complète comme membre de la famille, c'est un frère, un enfant, un poto, et qui a je trouve parfois des manières et un caractère propre très rapproché de nous ! J'ai aussi eu une anguille de rivière en aquarium, elle était très attachate, j'ai pas pleuré à sa mort mais j'étais extrêmement triste. Bref, il est complètement normal pour un vrai humain bon et respectueux de la vie d'être aussi peiné voire détruit de la perte d'un animal que de la perte d'un ami ou membre de la famille. Quand quelqu'un me dit "Pff et alors c'est qu'un chat/chien/lapin/hamster" je leur rétorque sèchement avec sourire sadique "Et toi rien qu'un humain". J'ai du mal à comprendre pourquoi un humain serait il plus important ? Parce qu'il parle ? Lol.

 

[Ma Poule]

Quand j'ai lu cet article, il y a plusieurs jours, j'ai eu beaucoup de peine pour la Mad. J'ai regardé mon chat, je lui ai fait un gros calin, et j'ai continué à profiter de chaque instant passé ensemble.

   Ce matin, mon petit chat est mort.​

Spoiler

Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.

         Roule moins vite. Toi qui me lis. Même si ce n'est qu'un bled de campagne; même si la visibilité est claire, même si c'est encore tôt ou qu'il fait nuit. A 50 kilometres heure, on ne voit pas le bonheur d'une autre se précipiter sous ses roues.

 

[Beboupolka]

J'ai pleuré pour chacun des animaux que j'ai perdu !
Des chats, j'en ai toujours eu, depuis toute petite et "pleins" est un petit mot !
J'en ai eu 12 au maximum en même temps ( 5 chatons d'une portée & le reste des adultes/jeunes adultes )
J'ai eu deux chiens, deux rats, des cochons d'inde, un hamster.. Enfin, que d'animaux !
Pour en revenir aux chats, certains ont disparus, d'autres on été écrasés, d'autres sont tombés malades.. Et qu'ils aient été dans ma vie 1 semaine, 1 mois, 1 ans ou 10 ans, c'était pareil. Ils font partis de la famille, ce sont nos amis, ils sont là quand ça va et quand ça ne va pas.

Et j'ai connu comme toi, le fait de m'en vouloir parfois car j'aurais pu changer le cours des choses " si j'avais " .. Mais avec des si, on refait le monde. Mais il faut toujours garder en mémoire qu'ils sont toujours là, autour de nous, sauf qu'on ne les voit pas ! Et ils ne nous en veulent pas. Ils savent faire ce que l'être humain a parfois de la peine.. Aimer sans conditions.

Actuellement il m'en reste trois, un de 10 ans - owi mon bon vieux poto d'ma vie -, un de 4 ans et un de 2 ans ( mais le dernier, il est resté dans mon ancien quartier quand on a déménagé, tout essayé, il préfère être là-bas ) et mon dieu si j'en perd un d'eux, je vais en mettre du temps a m'en remettre ! Mais bon, de toute manière, ils m'ont promis ( oui oui, j'vous jure ) de battre le record de vieillesse.
Donc ils vont vivre 38 ans.
On a l'temps !

Débalage de vie :off: !
Papouilles, croquette et moustaches !

 

[BE_S]

Quand j'ai lu cet article, j'en ai eu les larmes aux yeux.
Pourquoi ? Déjà je suis assez émotive, c'est sur, mais surtout, pour avoir perdu deux chats je sais à quel point cela est dur.
Je trouve que cet article résume très justement comment s'installe la relation avec un chat.
Au début c'est un animal qui débarque dans notre vie, et puis au bout de quelques mois et ensuite quelques années, ce n'est plus un simple animal, non, c'est un compagnon, un ami, un membre de la famille.
Je pense que les gens qui n'ont pas de chat ne peuvent pas comprendre et jugent bien trop vite les gens qui considère leur animal de la sorte.
Avant j'avais honte et je me sentais ridicule de parler comme ça de mon chat. Et puis j'ai décidé qu'il n'y avait pas à se sentir honteuse, parce que c'est comme ça et que c'est même très beau de se dire qu'on peut cohabiter avec un animal de cette manière.
Alors non ça ne veut pas dire que je ne vis pas enfermée avec mon chat et une thermos de tisane, et oui j'ai des amis et j'ai une vie.
Mais mon chat sera toujours on "bébé" (oui, je l'appelle comme ça moi aussi), je sais ce qu'il aime manger ou pas, je l'entends arriver avec le bruit de ses pas sur la parquet, je connais par cœur son rythme de vie d'été et celui d'hiver, je sais quand il veut se faire porter ou au contraire qu'il veut être tranquille, quand je vais mal, je n'attends qu'une chose : qu'il vienne se blottir contre moi, ...
Alors oui, je sais que quand il me quittera (le plus tard possible j'espère), je pleurerai.
Les deux chats que j'ai perdu n'ont pas eu le chance de partager autant d'années avec moi que le chat que j'ai à l'heure actuelle, mais quand ils sont morts, j'ai pleuré, pendant des jours. Et puis petit à petit, on s'en remet, même si cela fait toujours un petit pincement au cœur quand on y repense.
Le pire dans ces moments-là, c'est l'incompréhension et même parfois la bêtise de certaines personnes.
Alors si un jour quelqu'un autour de vous perd son animal de compagnie, compatissez, ne jugez pas cette personne et soutenez-là, parce qu'il n'y a rien de débile dans cette tristesse. Après tout, animal ou pas, ça reste quand même un être de qui on a partagé la vie.

 

[QueenMab]

Cet article tombe à point nommé, s'il on peut dire....

Mon brave Gali est parti mercredi matin, après 20 ans d'une formidable amitié. Ca faisait déjà un mois qu'on se doutait qu'il n'en avait plus pour longtemps (problèmes de santé à répétition et de plus en plus graves), mais là, voilà, ça y est. Mes parents ont été absolument formidables, à s'occuper de lui jusqu'au bout (il vivait chez eux), et maintenant, il est enterré sur le terrain de la maison de famille.

Je crois que j'ai encore du mal à réaliser qu'il n'est plus là. Je vais bientôt retourner vivre chez mes parents, et là, je pense que de me retrouver dans la maison sans lui, ça va être vraiment dur. Pour le moment, tant que je ne pense pas à lui, je ne pleure pas (je vous laisse imaginer dans quel état je suis en écrivant ce com). Mais j'ai vraiment le sentiment d'une page qui se tourne, je l'ai reçu quand j'avais 5 ans, maintenant j'en ai 25, donc on peut dire que je l'ai eu avec moi toute ma vie...maintenant, va falloir apprendre à faire sans lui. D'ailleurs, au risque de passer pour ridicule, j'ai carrément décider de porter le deuil de mon chat (à l'ancienne, pendant 40 jours -faut au moins ça !), et de me faire tatouer quelque chose en rapport avec lui, un petit truc tout simple et dans un endroit peu visible, juste pour lui rendre hommage.

Donc R.I.P. Galipette, mars 1994 - 12 novembre 2014. A la prochaine, vieux frère.

 

[Gourmandizeuh]

Bonjour à toutes
Comme vous je suis une inconditionnelle des chats (petites boules de poils maléfiquement attachantes )
Mais aujourd'hui j'ai dû dire au revoir à mon chat.
En même temps 18 ans c'est plus que bien et autant dire que j'ai grandi avec elle, j'ai tout fait avec elle, elle a toujours été là dans toutes les situations. Elle était malade et je ne pouvais plus la voir comme ça, elle souffrait tellement... J'ai du prendre une décision. J'aurais préféré qu'elle parte d'elle-même mais non, c'est peut-être ça le plus douloureux dans cette histoire, c'est le fait que c'était "programmé".
Et aujourd'hui j'ai mal. Bien plus que je n'aurais jamais pu l'imaginer. Je dis au revoir à ma meilleure amie, au symbole de mon enfance car en plus de ça je pars de chez mes parents la semaine prochaine pour vivre comme une grande. Peu de gens peuvent comprendre la peine que l'on ressent dans ces moments là et moi-même je ne pensais pas que ça serait aussi difficile de la voir partir.
Grâce à vos contributions je me sens bien moins seule et ça soulage de ne pas se sentir seule dans ce cas.
Désolé pour le pavé... Mais ça libère un petit peu

 

[a3107crzec]

Pfiou, quand j'avais lu cet article la première fois ca m'avait fait mal mais je me disais que j'avais encore du temps devant moi avant de ressentir la même chose et puis, paf, hier matin, on a du faire piquer mon chat. Après presque 11 années ensemble c'était la fin et j'ai pleuré, énormément ! Quand le vétérinaire nous a annoncé qu'il avait le sida et que pour cela il ne pourrait pas guérir de son minuscule petit rhume ca a été le choc, toutes les larmes que je retenais sont tombées d'un coup et je n'ai pas pu arrêter de pleurer de la journée. Ma mère a pris la décision de le piquer directement, il ne mangeait plus, ne buvait plus, avait du mal à respirer. Il aurait pu rester chez le vétérinaire 2-3 jours pour le nourrir par sonde et le ré-hydrater et essayer de le guérir mais cela aurait été inutile, il aurait eu très peu de chance de s'en sortir alors au lieu de lui faire passer ses derniers jours chez le vétérinaire avec une sonde dans le nez, on a préféré qu'il parte en sachant qu'il avait vécu ses derniers jours avec nous à la maison. Enfin avec nous pas vraiment, je venais juste de rentrer chez moi, le soir avant, et quand je l'ai vu, j'ai dédramatisé, je pensais qu'il allait guérir, en fait j'en étais sur et donc le lendemain c'est confiante que suis allée chez le vétérinaire alors c'est sur que quand ca m'est tombé dessus, ca a été le choc. Heureusement j'ai pu lui dire au revoir, lui faire des câlins, jusqu'à la fin pratiquement.
J'ai beaucoup pleuré pendant l'injection et après, durant la journée, en repensant a tous ce que je ne pourrais plus faire avec lui ou juste à l'évocation de son nom.
Mon père l'a enterré dans notre jardin, et ca me fait mal de savoir qu'il est là sous terre, seul.
Cependant, aujourd'hui je n'ai pas pleuré, à chaque fois que je fais quelque chose d'ordinaire, je me sens mal, comme si je n'avais pas le droit de reprendre ma vie sans lui. On parle souvent de lui avec ma mère et je ne pleure pas, j'ai honte de me dire qu'il m'aura fallu seulement une journée pour ne plus pleurer pour lui, 11 ans ensemble et je n'ai que aussi peu à lui donner... Au fond je pense que le fait d'avoir été là avec lui quand on l'a fait piquer m'a aidé à accepter sa mort, j'ai eu mal au début et puis après c'était fait. Je sais qu'il est mort et que je ne le reverrais jamais et je l'accepte.
Ecrire ce billet m'a fait pleurer, finalement je n'ai pas autant tourné la page que je ne le pensais. Bref désolé pour ce roman et courage à toutes celles à qui cela arrivera, c'est normal de pleurer, n'écoutez personne d'autre disant le contraire.

 

[sarb]

J'ai eu les larmes aux yeux après avoir lu cette histoire... Mes chats font bien sûr partie de ma vie et je les considère comme des membres à part entière de ma famille. Pas grave si on se moque de moi, je tiens à eux. Les câlins, les caprices,les miaulements (et nos conversations), les crottes (et leur odeur particulièrement nauséabonde), les grattages de porte, je vais apprendre à tout aimer finalement... C'est quand on perd un être cher que l'on se rend compte que la vie est très courte...

 

[lilianea]

On vient de faire euthanasier mon chat, elle avait 17 ans. Je me sens triste et désemparée, j'ai encore du mal à réaliser. Mon appart paraît vide sans elle.
Elle était très malade, ses reins ne fonctionnaient plus, elle souffrait beaucoup. Je pense avoir pris la bonne décision, c'est une libération pour elle.

 

[Sohranna]

@Dreamcatcher Je suis vraiment désolée... Je compatis vraiment, je sais ce que tu peux vivre en ce moment. Courage à toi pour la suite, et comme le dit l'article, c'est normal d'en souffrir. Ça fait cliché mais il faut se donner le temps d'aller mieux.

 

[Hibouxx]

Mon chat est décédé il y a moins d'un mois. Depuis j'ai du mal à accepter sa perte. Mon premier réflexe quand je rentre chez moi c'est de le chercher, avant de me rappeler qu'il ne sera plus jamais là. Moi aussi j'essaye de me dire que ce n'était qu'un chat mais c'est faux, c'était MON chat. Mon pote, mon doudou, mon confident. Ca me rend triste et en même temps c'est dur d'en parler aux autres, qui ne comprennent pas.