OUI OUI OUI OUI OuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiAlors je propose juste un câlin général sur Madmoizelle, comme ça on se tient chaud et en plus ça fait du bien

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Viens dire coucou sur le topicOUI OUI OUI OUI Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii![]()
Bon déjà,
Ensuite, je suis tombée sur cet article en lisant celui sur la St Valentin et j'ai eu envie de répondre parce qu'en ce moment je me bats pour faire comprendre aux gens que non, pleurer ce n'est pas grave, qu'on ne pleure pas tous uniquement quand on vit un deuil ou une expérience traumatique et surtout, surtout:
Pleurer est mon moyen d'expression. Je pleure quand je suis triste, énervée, fatiguée, joyeuse...c'est ma manière à moi de communiquer mon ressenti. Quand quelque chose me touche, de manière positive ou négative, j'ai indéniablement la gorge nouée et en fonction de mon niveau de fatigue du moment, les larmes peuvent sortir après.
Il m'arrive aussi de pleurer en m'imaginant des choses (des scénarios tout ça...) .
Mon copain a un peu du mal à comprendre dans le sens où pour lui si je me mets à pleurer quand on discute d'un truc qui me touche c'est parce que je suis vexée genre " on peut rien te dire ça finit toujours en larmes"
Mais en fait non, et j'arrive pas à lui faire comprendre que c'est mon mode de fonctionnement (même si aujourd'hui il est plus ouvert à ça: il me laisse un temps pour pleurer et après on discute). Lui quand qqch le touche il devient muet, moi je me mets à pleurer (oui c'est chaud pour nous d'avoir une discussion en fait).
Au début y'avait un peu du rabaissement genre "allez tu vas encore pleurer" (ce qui le faisait encore plus pleurer genre "mais euh" " et allez tu vas encore chialer" ===>
mais c'est pas ma foooooote
Maintenant il comprend un peu mieux mais il y a encore des fois où ça le gave
C'est dur de faire comprendre aux gens que non, on n'est pas des faibles parce qu'on "chiale" ( d'ailleurs je déteste ce mot).![]()
Pareil j'ai les larmes qui monte quand je m'énerve vraiment et du coup je perds toute crédibilité.Oh merci pour cet article
Je me suis reconnue dans certains points que tu as mentionnés. Et surtout, ce qui ne m'a pas aidée, c'est que mes parents ont aussi (eu?) beaucoup de peine à la gérer. Encore récemment, il y a un an, ils m'ont dit qu'il fallait vraiment que je m'améliore. Et en général, quand ça arrive ce genre de remarques, c'est quand on se dispute ou qu'on a une conversation où nos points de vue divergent. Et comme je déteste m'énerver, je me mets à parler en sanglotant et en hoquetant (c'est terrible, quand je suis fâchée, j'ai toujours l'impression d'avoir 5 ans. Mais j'y peux rien!). Sauf que cette fois-là, moi j'avais enfin appris à l'accepter. Alors je leur ai dit que j'étais comme ça, je peux rien n'y faire et que ça passe les crises de larmes. Et que moi je l'acceptais. Je sais pas s'ils ont vraiment compris mais en tout cas, j'ai l'impression qu'ils ne savaient pas trop quoi me répondre après cela.
Bref, en général, on peut voir que je me suis disputée violemment parce que j'ai pleuré. Je vous raconte pas l'engueulade mythique qu'on a eue dans notre groupe de filles, dans un train en plus, en vacances... plus cliché tu mourrais
Bon par contre, c'était dur à gérer pour mes profs aussi, notamment les cours privés type piano, où on te critique beaucoup. Même si je savais très bien que j'avais besoin de feedbacks, ça ne voulait pas dire que je les supportais physiquement. Du coup des fois les gens pensent qu'on ne peut pas te critiquer. Mais c'est pas ça, c'est juste physiologique! Bon maintenant ça va mieux parce que les feedbacks que je reçois en général, c'est dans un travail de groupe, où chacun donne son avis, du coup, c'est pas "moi je reçois tout dans la gueule" et je me sens du coup mieux valorisée.