@Ghost wind
Il m'a dit que pour l'instant l'écart de coût était trop important et accompagné de la lourdeur des démarches à faire pour obtenir que ça devienne la nouvelle méthode de référence : montrer l'équivalence ou la supériorité en sensibilité et en spécificité du test par rapport à la méthode de référence en vigueur (ça a priori c'est pas un problème) mais dans le cas du SIDA on demande des marges d'erreur extrêmement petites (je ne sais pas combien mais il disait que c'était comme demander un test sensible et fiable à plus de 99,9% (c'est peut-être juste une expression orale, on discutait) et ça demande de faire des séries d'échantillons de plus de 10 000 unités (et donc coût de la mise en place, plus parfois difficulté d'obtenir les échantillons selon ce qu'on veut montrer en tant qu'industriel).
Après, la PCR peut entièrement s'automatiser et donc on peut envisager une rentabilisation sur de la main d'oeuvre.
Ensuite, il trouve que recherche et industrie sont trop déconnectées et que l'industrie a une trop mauvaise image. Par contre avec la pression des associations de patients, qui était perçue négativement au début par les chercheurs, ça peut bouger je pense.
Il m'a dit que pour l'instant l'écart de coût était trop important et accompagné de la lourdeur des démarches à faire pour obtenir que ça devienne la nouvelle méthode de référence : montrer l'équivalence ou la supériorité en sensibilité et en spécificité du test par rapport à la méthode de référence en vigueur (ça a priori c'est pas un problème) mais dans le cas du SIDA on demande des marges d'erreur extrêmement petites (je ne sais pas combien mais il disait que c'était comme demander un test sensible et fiable à plus de 99,9% (c'est peut-être juste une expression orale, on discutait) et ça demande de faire des séries d'échantillons de plus de 10 000 unités (et donc coût de la mise en place, plus parfois difficulté d'obtenir les échantillons selon ce qu'on veut montrer en tant qu'industriel).
Après, la PCR peut entièrement s'automatiser et donc on peut envisager une rentabilisation sur de la main d'oeuvre.
Ensuite, il trouve que recherche et industrie sont trop déconnectées et que l'industrie a une trop mauvaise image. Par contre avec la pression des associations de patients, qui était perçue négativement au début par les chercheurs, ça peut bouger je pense.