@MonNomDutilisateurProut
Déjà je suis de toutavec toi...
Pour ce qui est d'avoir la "force" de se battre je sais pas si ma petite histoire va t'inspirer mais personnellement je me suis engueulée avec un anesthésiste qui refusait de m'anesthésier pour que je puisse me faire ligaturer les trompes. Il a certes tout à fait le droit de refuser pour des raisons personnelles selon la loi française, mais comme ta pharmacienne ce qui m'a choquée (et GONFLÉE) a été sa façon d'être (totalement antipathique et hautain t'as vu je me permets de reprendre tes mots) et de me parler, allant jusqu'à me sortir "mais vous pouvez pas avoir le beurre et l'argent du beurre"
Je l'ai signalé au Conseil national de l'Ordre, et ça m'a vraiment gonflé, j'ai écrit plusieurs courriers pour RIEN car il m'a balancé tout ça dans son cabinet, donc c'est sa parole contre la mienne. Je pense que le Conseil de l'ordre a d'autres chats à fouetter donc ils n'ont pas donné suite, à part l'appeler pour lui demander sa version des faits. Qui différait de la mienne, comme c'est bizarre.
Donc tout ça a été très vain mais je me console en me disant que j'ai quand même du le faire bien chier pendant quelque temps, et j'espère que la prochaine fois qu'il s'apprêtera à sortir ce genre de conneries dégueulasses à une patiente il pensera bien à moi. Et qu'il se dira "'ah oui mais non attention c'est peut-être encore une emmerdeuse comme l'autre là, je vais garder mes petits commentaires par devers moi"
Fin bref. Sinon pour répondre à la question "comment réagir" dans le titre de l'article, une grande tarte dans la tronche du/de la pharmacien(ne) ça passe ou pas ...??? Faut pas cautionner la violence je sais mais des fois sérieux
Woaw, ça fait du bien de voir que je suis pas "la seule », même si, fondamentalement, c’est pas exactement le même cas de figure..
Effectivement, disons les choses, j’ai un petit peu la flemme d’envoyer 20000 courriers, de passer des coups de fils, ect... sachant que ça risque de « ne pas aboutir », d’un point de vue juridique/administratif
Tout ça pour une pov’ conne, vieille et ménopausée (sorry les ménopausées, je vous aime quand même fort
)Si à l’occasion, je repasse dans cette pharmacie, (qui est assez loin de chez moi) (genre 2h) (donc y’a un nombre de chance limité), je pense VRAIMENT rentrer voir si Madame vieille chnock est là, pour lui toucher deux mots. Certes, ça va pas changer le monde, mais ça fait du bien de gueuler, et peut-être qu’elle se remettra (un peu) en question.
A partir du moment où on connait ses droits, on peut les faire entendre, si seulement j’avais lu cet article plus tôt !! Maintenant, j’vais bien faire gaffe avant de rentrer dans une pharmacie !
Héhé, le coup de la grande tarte, JE CAUTIONNE, mais moi je suis plus du genre à gueuler très fort, pour mettre l’interlocuteur dans la ... face aux autres personnes présentes, du genre « MAIS MADAME, C’EST TOTALEMENT ILLÉGALE ÇA DITES DONC, JE POURRAIS PARLER À VOTRE PATRON, DITES ? »
Promis, si j’ai de nouveau un problème, (et que j’ouvre ma bouche fort), je balance un truc dans le genre : le patron, ça calme !
Il y a quelques années je soutenais le discours "ne banalisons pas l'avortement", comme si on avait un quota avant que ça ne devienne immoral. Et puis un jour j'ai eu le déclic et je me suis dis "ah mais si c'est pas grave pour un, c'est pas plus grave pour deux ou trois". On ne connaît jamais les raisons qui poussent certaines femmes à avoir recours à l'ivg ou à la pilule du lendemain de manière répétée. Parfois, c'est juste qu'elles n'ont pas de "chance" avec leur contraception, ou alors qu'elles ne supportent pas les hormones (le préservatif n'est pas si fiable qu'on ne le croit), ou alors c'est vraiment un défaut d'éducation. Et là et bien... Ce n'est pas en blâmant ces femmes qu'on va avancer. 
)
