@deutsche-g, si l'angoisse que tu as c'est de n'avoir pas vu plutôt ce que tu aurais dû faire et que maintenant tu pourrais avoir un boulot avec le concours d'avocat, je te rassure tout de suite : c'est la crise 
J'ai une copine qui a un double diplôme droit-commerce + le concours d'avocat et en 8 mois, tout ce qu'elle a réussi à trouver comme poste c'est un temps partiel dans un petit cabinet. Et elle n'est pas la seule jeune avocate dans ce cas...
Donc faut faire ce qui nous branche parce que "rater sa vie" ça veut pas dire grand-chose et ça risque de nous arriver à toutes pendant une période de notre vie
Ceci dit, quelquefois, on croit savoir ce qui nous branche et en fait non mais comme tu es en train de le faire, on peut se rattraper plus tard!
@space-oddity, concrètement est-ce que tu connais vraiment le milieu médical? Parce que ton rêve d'être médecin, c'est beaucoup basé sur une supposition de ce que c'est que le job d'un médecin j'imagine, non? Si ça se trouve, tu te serais rendue compte que c'était pas pour toi.
Je pense que si tu fais infirmière (j'en ai beaucoup dans mon entourage) tu ne risqueras pas de te retrouver rongée par les remords face aux médecins. Ce sont des fonctions qui sont tellement exigeantes et tellement différentes malgré leurs connexions que la plupart des infirmières ne regrettent pas du tout de ne pas être médecins voire même ont le sentiment que le travail des médecins a quelque chose de surévalué.
Ptete qu'en te lançant vers le côté plus infirmier, tu verras les choses autrement!
A part ça, il y a des métiers porteurs liés au médical, comme technicien en radiologie etc.
En tout cas, sache que ce n'est jamais trop tard et qu'au fond ceux qui sont trop sûrs de leurs choix maintenant, qui ne l'ont jamais questionné depuis leur 16 ans, qui ont un parcours lisses et sans erreurs du lycée au premier emploi, sont bien souvent ceux qui seront pris de crises d'angoisses dans 10 ou 15 ans en se demandant s'ils auraient dû envisager d'autres hypothèses et s'ils ont fait le bon choix.
Et comme ils auront eu l'habitude d'un parcours linéaire, ils seront persuadés qu'ils ne peuvent plus revenir en arrière... Alors que ceux qui ont un peu tâtonné au début auront appris entretemps que la vie professionnelle est faite de hasards et de surprises.
C'est sain de se poser des questions et de changer de chemins quand on pense que celui-là n'est pas pour nous!
On ne réussit pas tout du premier coup mais si on n'abandonne pas espoir on finit par arriver à quelque chose de parfois inattendu mais intéressant.

J'ai une copine qui a un double diplôme droit-commerce + le concours d'avocat et en 8 mois, tout ce qu'elle a réussi à trouver comme poste c'est un temps partiel dans un petit cabinet. Et elle n'est pas la seule jeune avocate dans ce cas...
Donc faut faire ce qui nous branche parce que "rater sa vie" ça veut pas dire grand-chose et ça risque de nous arriver à toutes pendant une période de notre vie

Ceci dit, quelquefois, on croit savoir ce qui nous branche et en fait non mais comme tu es en train de le faire, on peut se rattraper plus tard!
@space-oddity, concrètement est-ce que tu connais vraiment le milieu médical? Parce que ton rêve d'être médecin, c'est beaucoup basé sur une supposition de ce que c'est que le job d'un médecin j'imagine, non? Si ça se trouve, tu te serais rendue compte que c'était pas pour toi.
Je pense que si tu fais infirmière (j'en ai beaucoup dans mon entourage) tu ne risqueras pas de te retrouver rongée par les remords face aux médecins. Ce sont des fonctions qui sont tellement exigeantes et tellement différentes malgré leurs connexions que la plupart des infirmières ne regrettent pas du tout de ne pas être médecins voire même ont le sentiment que le travail des médecins a quelque chose de surévalué.
Ptete qu'en te lançant vers le côté plus infirmier, tu verras les choses autrement!
A part ça, il y a des métiers porteurs liés au médical, comme technicien en radiologie etc.
En tout cas, sache que ce n'est jamais trop tard et qu'au fond ceux qui sont trop sûrs de leurs choix maintenant, qui ne l'ont jamais questionné depuis leur 16 ans, qui ont un parcours lisses et sans erreurs du lycée au premier emploi, sont bien souvent ceux qui seront pris de crises d'angoisses dans 10 ou 15 ans en se demandant s'ils auraient dû envisager d'autres hypothèses et s'ils ont fait le bon choix.
Et comme ils auront eu l'habitude d'un parcours linéaire, ils seront persuadés qu'ils ne peuvent plus revenir en arrière... Alors que ceux qui ont un peu tâtonné au début auront appris entretemps que la vie professionnelle est faite de hasards et de surprises.
C'est sain de se poser des questions et de changer de chemins quand on pense que celui-là n'est pas pour nous!
On ne réussit pas tout du premier coup mais si on n'abandonne pas espoir on finit par arriver à quelque chose de parfois inattendu mais intéressant.




