Pour avoir lu le livre a sa sortie :
Elle précise au début qu'elle utilise le terme "jeter" mais qu'il faut plutôt recycler/donner à des associations. Pour le "refiler", elle mentionne de ne pas le refiler aux potes ou à la famille. En gros si tu as un top blanc à donner, plutôt que de dire "hey j'ai un top blanc que je compte jeter, tu le veux ?", il vaut mieux demander "tu aurais besoin de quelque chose en fringue ?" et si la personne répond "oui un top blanc" c'est bon, sinon zoop bon débarras.
En 2016, j'ai déménagé de chez mes parents et j'ai fait le tri de mes fringues avec la méthode Kon Mari. J'avais beaucoup de Tshirt au départ je me suis dit que si j'en jetais une dizaine ça serait pas mal. Finalement j'en ai amené plus de 40 à l'association au bout de ma rue (oui j'ai une passion pour les tshirts). Certains passages du roman sont annotés pour la France, surtout pour le tri des papiers (les japonais ne doivent rien garder eux).
Le seul point où je n'ai pas réussi c'est les livres... J'ai dû en supprimer qu'un ou deux haha.
Pour le DIY, j'ai créé un espace presque rangé dans un coin de mon salon (avec des boîtes qui ferme pour éviter les attaques de mon chat). Cela rend bien sans prendre trop d'espace.
Je pense que je vais refaire un tri dans ma garde-robe la semaine prochaine du coup. Mais pour donner une idée, j'ai une boîte où je stocke les vêtements qui ne sont pas de saison. Avant j'avais 3 grosses boîtes, maintenant, j'en ai une. Si au changement de saison, ça ne rentre pas, je fais un tri jusqu'à ce que ça rentre.
Pour le côté féministe, le livre est rempli de la façon de penser japonaise. Donc oui, certaines phrases font grincer un peu. Mais je l'ai plus vécu comme une immersion dans une autre culture.