Bon j’ai terminé ce manga (j’ai lu aussi le livre).
Il contient les idées majeures du livre, le dessin est sympa avec une pincée d’humour classique de manga et un soupçon d’ambiance shojo niai et moi et mon petit cœur en chocolat fondu on a trouvé ça cool.
Si on en possède aucun des deux, je conseillerais le manga.
En lisant le livre j’étais impressionnée par le nombre de sacs qu’elle jette lors de ses tris (ou alors c’est des mini-sacs).
En désencombrant chez moi je ne m’étais séparée que de 5 sacs poubelles 30 L (dont deux de textile mis dans le point de collecte)
Lors de mon déménagement on s’est séparer de l'équivalent de moins de 10 sacs.
Bon j’ai pas un appartement
parisien japonais de 30 m², et à part les quelque mois qui ont suivi la naissance de mon fils, j’ai toujours bénéficié d’une chambre
d’amis à bordel ce qui n’aide pas pour tendre vers le minimalisme.
Depuis il reste 2 sacs en souffrance de livres à donner. Les livres c’est un de mes point noir, j’ai beaucoup de mal à m’en séparer, si je pouvais je dormirais dans une bibliothèque
(et mon chéri ne m’aidera pas parce qu’il est pareil, voir pire).
Pourtant il y a en a certains que je ne relirai plus jamais comme ce guide touristique de l’Aquitaine 2007 acheté d’occasion et qui était déjà périmé en 2011.
L’autre gros sujet c’est les loisirs créatifs (en particulier tous le matos de cosplay et les anciens costumes et accessoires), pour l’instant, j’ai des des jeux de boîtes en plastique transparentes qui permettent de voir ce qu’il y a dedans. Ça prend la moitié d’une (grande) étagère (un peu plus si on compte la place prise par la machine à coudre et la surjeteuse).
J’ai aussi un lot de quelques boîtes pour les projets en cours (comme ça je ne suis pas obligées de tout sortir à chaque fois).
Pour mes grandes pièces de tissus, je les range dans ma valise.
On a prévu à terme de réaliser un espace de travail ou je pourrais tout mettre. Mais c’est vrai que d’avoir pour l’instant une pièce en rab ne nous incite pas à nous presser pour le faire.
Mon dernier instant Marie Kondo c’est lorsque j’ai voulu jeter une roue à aubes fabriquée par mon chéri avec les cuillères fournies dans les aliments pour bébés.
Et en la prenant en main je me suis rappelé les éclats de rire de notre fils à la fontaine, lorsqu’ils ont jouer avec. Et finalement cet objet me rappelle énormément d'aspects qui font que je suis amoureuse de mon conjoint (sa générosité, sa créativité,...) et maintenant c’est moi qui ne peux plus m’en séparer.