@schizophrenia Je ne sais pas si je m'exprime mal ou si tu restes vraiment bloquée sur tes positions, mais je parle, encore et toujours, d'encourager l'IEF ou de la soutenir et non d'en faire une espèce de pratique marginale et inadaptée (de la part des "pro sco") ou alors de l'imposer à tous les enfants du monde (de la part de vils extrémistes ou de personnes qui se sont juste mal exprimées ). Les parents qui bossent 50h/semaine (bon déjà dommage pour le droit du travail et les 35h, mais eh, cey la vie, le système est pourri mais faut bien s'y conformer, après tout on est là pour engranger du profit et tant pis pour ceux qui se sont mis en danger pour acquérir des droits sociaux), et bah ils mettent leur enfant à l'école, on est tous d'accord. Mais ceux qui ont du temps (et des ressources, oui, mais again, qu'est-ce qu'on entend par ressources, et il y a aussi des familles pauvres au RSA ou autre qui font l'IEF, mais chut n'en parlons pas, parler des alternatives est juste une hérésie).
Je vous lis, profs ou pas, et vraiment vos positions me dépassent. Vous admettez tous.tes que le système est naze, que l'EN vous écrase de plus en plus, que les réformes ne vont pas dans le bon sens, et pourtant vous persistez à refuser d'admettre qu'il y a des alternatives.
Je suis désolée mais quand je vous lis, ça me conforte dans mon idée que je refuse de mettre mon enfant à l'école. Pas à cause des profs (comme d'autres, je suis convaincue que vous faites ce que vous pouvez avec les moyens qu'on vous donne ), mais à cause d'un système qui refuse de se remettre en cause quand bien même ses principaux rouages admettent qu'il y a des tas de problèmes et dysfonctionnements.
On parle d'enfants là. De personnes en pleine formation de leur personnalité. Leur faire essuyer les plâtres d'une politique de merde, sous prétexte qu'on ne peut rien y faire et qu'on est face à un rouleau compresseur, je suis désolée mais je ne peux pas. On parle de vie, de vies toutes neuves qui sont notre avenir et qui sont ceux et celles qui vont devoir gérer avec une planète moribonde dans un contexte social moribond. Et on cherche encore comme les "évaluer", comme savoir "qui est bon, qui est mauvais", qui vaut mieux que qui, lequel mérite de faire partie de l'élite. Je me sens tellement à côté du monde parfois.
Je vous lis, profs ou pas, et vraiment vos positions me dépassent. Vous admettez tous.tes que le système est naze, que l'EN vous écrase de plus en plus, que les réformes ne vont pas dans le bon sens, et pourtant vous persistez à refuser d'admettre qu'il y a des alternatives.
Je suis désolée mais quand je vous lis, ça me conforte dans mon idée que je refuse de mettre mon enfant à l'école. Pas à cause des profs (comme d'autres, je suis convaincue que vous faites ce que vous pouvez avec les moyens qu'on vous donne ), mais à cause d'un système qui refuse de se remettre en cause quand bien même ses principaux rouages admettent qu'il y a des tas de problèmes et dysfonctionnements.
On parle d'enfants là. De personnes en pleine formation de leur personnalité. Leur faire essuyer les plâtres d'une politique de merde, sous prétexte qu'on ne peut rien y faire et qu'on est face à un rouleau compresseur, je suis désolée mais je ne peux pas. On parle de vie, de vies toutes neuves qui sont notre avenir et qui sont ceux et celles qui vont devoir gérer avec une planète moribonde dans un contexte social moribond. Et on cherche encore comme les "évaluer", comme savoir "qui est bon, qui est mauvais", qui vaut mieux que qui, lequel mérite de faire partie de l'élite. Je me sens tellement à côté du monde parfois.