@Frankie. Ce que je comprends à la lecture de ce passage et des commentaires, c'est que cette réflexion doit être faite en amont du procès : on enquête, et si on a les preuves du viol, on passe en crime, et si on ne peut pas prouver l'absence de non-consentement, ce n'est pas la peine de passer en Assises et on classe en délit.
Mais effectivement, ce serait mieux si on pouvait poursuivre pour viol, et en cas de preuves "non suffisantes" (pour le jury), on repasserait en atteinte sexuelle.
Pour ton dernier point je reste mitigée, parce que je ne connais pas bien le droit français. Cependant, il me semble que le problème c'est que dans un monde idéal, dès qu'il y a crime, il y a condamnation. Or, la majorité du peuple n'est pas encore suffisamment sensibilisée à ces problèmes pour prendre toujours la bonne décision. C'est peut-être en cela que plus serait irréaliste. Dans quelques années, pourquoi pas, mais aujourd'hui il est peut-être trop tôt.
Du coup je retiens surtout que le problème, c'est la longueur des procès au Assises, et que si c'était un peu plus rapide et un peu plus fiable, ça vaudrait quand même plus le coup, alors que là, la loi laisse à la victime le choix d'avoir une justice adéquate, ou alors une justice plus laxative, mais aussi plus rapide et peut-être moins traumatisante.
Mais effectivement, ce serait mieux si on pouvait poursuivre pour viol, et en cas de preuves "non suffisantes" (pour le jury), on repasserait en atteinte sexuelle.
Pour ton dernier point je reste mitigée, parce que je ne connais pas bien le droit français. Cependant, il me semble que le problème c'est que dans un monde idéal, dès qu'il y a crime, il y a condamnation. Or, la majorité du peuple n'est pas encore suffisamment sensibilisée à ces problèmes pour prendre toujours la bonne décision. C'est peut-être en cela que plus serait irréaliste. Dans quelques années, pourquoi pas, mais aujourd'hui il est peut-être trop tôt.
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.