Excellent article!
Personellement, je suis une femme comme celle des années 20-30, c'est à dire une bonne épouse qui reste chez elle en tant que femme au foyer, qui fait les tâches ménagères et qui est plus que ravie de chouchouter son homme en lui apportant ses pantoufles, en lui mijotant de bons repas, en lui donnant toujours du linge propre et repassé de frais. J'espère bien être une de ces femmes que l'on considèrera comme digne et qui fera beaucoup d'enfants qu'elle chérira tout autant que son mari.
MAIS!!! Il est clair que je refuse tout net que mon homme me donne des ordres, du style "Fais ça pour dîner!" "Lave ma chemise blanche!" "Apporte mes pantoufles", en gros, si je fais toutes les choses citées plus haut, il faut que ça vienne de MOI, mon homme n'est que le "bénéficiaire" de ce que je VEUX BIEN faire pour lui.
Et c'est là toute la nuance.
Donc, si on considère les choses sous cet angle, je suis féministe et je le revendique haut et fort. Si un jour je n'ai pas envie de faire à bouffer, je ne me dirai JAMAIS "il faut que je le fasse sinon l'homme va râler", si, dans ces cas là, le mâle trouve à redire, il va se faire cuire un oeuf, point.
Ma volonté d'être la parfaite femme au foyer vient uniquement de moi et mon besoin de prendre soin de ceux que j'aime, mais en aucun cas de la moralité judéo-chrétienne ou de tout ce que ma grand-mère, épouse soumise, m'a toujours répété.
J'ai besoin de chérir mon entourage, donc je le fais, point barre. Et comme dit dans l'article, ce n'est pas pour autant que je me laisserai marcher sur les pieds, taper dessus, ou qu'on m'obligera à avorter ou garder un bébé.
Par ailleurs, si je prends soin de mon homme, lui doit prendre soin de moi, sinon je me casse. C'est l'égalité. Je ne pourrais plus chérir un mec qui me méprise.
Bref, je ne sais pas trop comment expliquer ma façon d'être féministe, mais je le suis à ma façon.
Personellement, je suis une femme comme celle des années 20-30, c'est à dire une bonne épouse qui reste chez elle en tant que femme au foyer, qui fait les tâches ménagères et qui est plus que ravie de chouchouter son homme en lui apportant ses pantoufles, en lui mijotant de bons repas, en lui donnant toujours du linge propre et repassé de frais. J'espère bien être une de ces femmes que l'on considèrera comme digne et qui fera beaucoup d'enfants qu'elle chérira tout autant que son mari.
MAIS!!! Il est clair que je refuse tout net que mon homme me donne des ordres, du style "Fais ça pour dîner!" "Lave ma chemise blanche!" "Apporte mes pantoufles", en gros, si je fais toutes les choses citées plus haut, il faut que ça vienne de MOI, mon homme n'est que le "bénéficiaire" de ce que je VEUX BIEN faire pour lui.
Et c'est là toute la nuance.
Donc, si on considère les choses sous cet angle, je suis féministe et je le revendique haut et fort. Si un jour je n'ai pas envie de faire à bouffer, je ne me dirai JAMAIS "il faut que je le fasse sinon l'homme va râler", si, dans ces cas là, le mâle trouve à redire, il va se faire cuire un oeuf, point.
Ma volonté d'être la parfaite femme au foyer vient uniquement de moi et mon besoin de prendre soin de ceux que j'aime, mais en aucun cas de la moralité judéo-chrétienne ou de tout ce que ma grand-mère, épouse soumise, m'a toujours répété.
J'ai besoin de chérir mon entourage, donc je le fais, point barre. Et comme dit dans l'article, ce n'est pas pour autant que je me laisserai marcher sur les pieds, taper dessus, ou qu'on m'obligera à avorter ou garder un bébé.
Par ailleurs, si je prends soin de mon homme, lui doit prendre soin de moi, sinon je me casse. C'est l'égalité. Je ne pourrais plus chérir un mec qui me méprise.
Bref, je ne sais pas trop comment expliquer ma façon d'être féministe, mais je le suis à ma façon.