Se changer et changer sa vie !
- Initiateur de la discussion Leech
- Date de début
@Erha Merci de ta réponse j'ai beaucoup ris ! 
Et en plus de ça j'ai l'impression que nous avons les mêmes parents ! Je pense oui qu'ils ne veulent que notre bonheur et que forcément pour eux le bonheur passe par de grandes études mais ce n'est pas ce dont j'ai envie et en plus de ça je ne m'en sens pas capable, autant physiquement que mentalement. Je me souviens d'ailleurs que quand je suis rentrée au lycée j'avais dis "oui moi de toute façon je suis là pour passer mon bac et après j'arrête". C'est pas que je n'aimais pas l'école mais... je ne sais pas ! Déjà oui j'aurais peut être du faire un bac pro pour faire un métier manuel, je me rend compte aujourd'hui que c'était peut être une solution. Enfin bon ce qui est fait est fait. Mais je n'ai pas un très bon souvenir de mes années lycées : c'était des crises de larmes, du mal au ventre, la peur de ne pas avoir mon bac. Et heureusement je l'ai eu car je n'imagine même pas la réaction de mes parents ahahaha !!! 
Mais bon j'aurais aimé qu'ils m'écoutent un peu. Certes la fac c'était une expérience, peut être que je l'aurais regretté plus tard si je n'avais pas tenté, qui sait... Mais aujourd'hui je sens que j'ai fais le tour de la question. J'ai besoin d'apprendre un métier, de rentrer dans le concret. A la fac concrètement je suis des cours d'anglais sans trop savoir où ça me mène et c'est surtout ça qui est gênant : parce que si au final ça ne me plais pas ? Je fais comment ?? Bref tout ça pour dire que j'aimerai qu'ils comprennent que tout ce que j'écris là c'est vrai et que ce n'est pas un caprice. Enfin bon, peut être qu'avec le temps... Est ce que toi tes parents ont fini par accepter ton mode de vie ? J'aimerai bien savoir si ça ne te dérange pas ! 
Et en plus de ça j'ai l'impression que nous avons les mêmes parents ! Je pense oui qu'ils ne veulent que notre bonheur et que forcément pour eux le bonheur passe par de grandes études mais ce n'est pas ce dont j'ai envie et en plus de ça je ne m'en sens pas capable, autant physiquement que mentalement. Je me souviens d'ailleurs que quand je suis rentrée au lycée j'avais dis "oui moi de toute façon je suis là pour passer mon bac et après j'arrête". C'est pas que je n'aimais pas l'école mais... je ne sais pas ! Déjà oui j'aurais peut être du faire un bac pro pour faire un métier manuel, je me rend compte aujourd'hui que c'était peut être une solution. Enfin bon ce qui est fait est fait. Mais je n'ai pas un très bon souvenir de mes années lycées : c'était des crises de larmes, du mal au ventre, la peur de ne pas avoir mon bac. Et heureusement je l'ai eu car je n'imagine même pas la réaction de mes parents ahahaha !!! Mais bon j'aurais aimé qu'ils m'écoutent un peu. Certes la fac c'était une expérience, peut être que je l'aurais regretté plus tard si je n'avais pas tenté, qui sait... Mais aujourd'hui je sens que j'ai fais le tour de la question. J'ai besoin d'apprendre un métier, de rentrer dans le concret. A la fac concrètement je suis des cours d'anglais sans trop savoir où ça me mène et c'est surtout ça qui est gênant : parce que si au final ça ne me plais pas ? Je fais comment ?? Bref tout ça pour dire que j'aimerai qu'ils comprennent que tout ce que j'écris là c'est vrai et que ce n'est pas un caprice. Enfin bon, peut être qu'avec le temps... Est ce que toi tes parents ont fini par accepter ton mode de vie ? J'aimerai bien savoir si ça ne te dérange pas ! 
@Faolán Je suis trop contente de te voir poster ici! C'est super le message que tu as posté, il est très organisé et pourra te servir régulièrement comme point de repère! 
Je vois que tu es pleine de ressources et d'idées c'est super!
J'avoue que j'ai un peu de mal à comprendre où l'infirmier a voulu en venir avec cette histoire de ''banaliser''.
J'avoue que j'ai un peu de mal avec ce terme. Est-ce que ce serait pas plutôt prendre en compte là où on en est par rapport à ses angoisses, dédramatiser et prendre en compte qu'un ne peut pas tout comprendre d'un coup, qu'on ne maîtrise pas tout. Le fameux lâcher prise. 
Je trouve ça très juste ce que tu dis sur le fait de s'accepter mais en même temps de vouloir s'améliorer.
C'est super chouette toutes les idées d'objectifs concrets!
Et c'est une très bonne idée ces échelles que tu y as associé, ça te permettra de voir ton évolution. Après je vois que ce sont surtout des choses qui sont très coûteuses pour toi. La fatigue va de 5 à 10/10. Est-ce que tu pourrais trouver des trucs encore plus facile pour commencer?
Pour le bénévolat c'est sûr que ce n'est pas forcément évident parce qu'on peut être confronté à des situations tristes et injustes. Mais après, tout dépend de ce que tu fais. Il y a des formes de bénévolat où tu es très exposée et d'autres où c'est moins le cas. Je fais un peu de bénévolat en ce moment si tu veux on peut en parler en MP.
Sinon par rapport à ta liste d'objectifs, je prendrais en compte la notion de répétition. Faire tout ça de nombreuses fois et voir si les émotions négatives et la fatigue diminuent.
Tu pourrais peut-être détailler certains objectifs comme ''rencontrer du monde''. Je trouve ça pas mal aussi d'introduire une progressivité (comme ce que tu as fait pour ''aller dans mon ancienne ville d'étude'' avec sœur puis sans. Peut-être que tu pourrais rajouter des trucs qui t'aideraient (genre porter des lunettes, faire une pause toute les X minutes etc.) puis prévoir d'estomper ces aides.
Et peut-être fixer des objectifs temporels.
Si tu as un.e soignant.e pas stressant.e et avec qui tu accroches bien en ce moment, si tu le souhaites, tu pourrais lui montrer ta liste d'objectifs. Iels te coacherait et de donnerait d'autres idées. A un moment tu avais une infirmière qui venait à domicile, serait-ce possible de faire certaines tâches accompagnée d'un soignant?
Et c'est top d'avoir compris pourquoi tu n'arrives plus à ressentir d'émotions positives.
Tu sais moi je suis en arrêt maladie depuis plusieurs mois et ça va, je ne culpabilise pas trop voire pas du tout. 
Pour tes ruminations par rapport aux autres tu peux peut-être utiliser tes fiches où noter la situation, de donner X temps pour y réfléchir et une fois que c'est fait et que tu as tendance à y revenir, te dire que c'est bon tu as déjà pensé à tout ça, c'est noté, on passe à autre chose. Oui je sais, plus facile à dire qu'à mettre en application.
Bon cheminement!
C'est super le message que tu as posté, il est très organisé et pourra te servir régulièrement comme point de repère! Je vois que tu es pleine de ressources et d'idées c'est super!
J'avoue que j'ai un peu de mal à comprendre où l'infirmier a voulu en venir avec cette histoire de ''banaliser''.
J'avoue que j'ai un peu de mal avec ce terme. Est-ce que ce serait pas plutôt prendre en compte là où on en est par rapport à ses angoisses, dédramatiser et prendre en compte qu'un ne peut pas tout comprendre d'un coup, qu'on ne maîtrise pas tout. Le fameux lâcher prise. Je trouve ça très juste ce que tu dis sur le fait de s'accepter mais en même temps de vouloir s'améliorer.
C'est super chouette toutes les idées d'objectifs concrets!
Et c'est une très bonne idée ces échelles que tu y as associé, ça te permettra de voir ton évolution. Après je vois que ce sont surtout des choses qui sont très coûteuses pour toi. La fatigue va de 5 à 10/10. Est-ce que tu pourrais trouver des trucs encore plus facile pour commencer?Pour le bénévolat c'est sûr que ce n'est pas forcément évident parce qu'on peut être confronté à des situations tristes et injustes. Mais après, tout dépend de ce que tu fais. Il y a des formes de bénévolat où tu es très exposée et d'autres où c'est moins le cas. Je fais un peu de bénévolat en ce moment si tu veux on peut en parler en MP.
Sinon par rapport à ta liste d'objectifs, je prendrais en compte la notion de répétition. Faire tout ça de nombreuses fois et voir si les émotions négatives et la fatigue diminuent.
Tu pourrais peut-être détailler certains objectifs comme ''rencontrer du monde''. Je trouve ça pas mal aussi d'introduire une progressivité (comme ce que tu as fait pour ''aller dans mon ancienne ville d'étude'' avec sœur puis sans. Peut-être que tu pourrais rajouter des trucs qui t'aideraient (genre porter des lunettes, faire une pause toute les X minutes etc.) puis prévoir d'estomper ces aides.
Et peut-être fixer des objectifs temporels.
Si tu as un.e soignant.e pas stressant.e et avec qui tu accroches bien en ce moment, si tu le souhaites, tu pourrais lui montrer ta liste d'objectifs. Iels te coacherait et de donnerait d'autres idées. A un moment tu avais une infirmière qui venait à domicile, serait-ce possible de faire certaines tâches accompagnée d'un soignant?
Et c'est top d'avoir compris pourquoi tu n'arrives plus à ressentir d'émotions positives.
Tu sais moi je suis en arrêt maladie depuis plusieurs mois et ça va, je ne culpabilise pas trop voire pas du tout. Pour tes ruminations par rapport aux autres tu peux peut-être utiliser tes fiches où noter la situation, de donner X temps pour y réfléchir et une fois que c'est fait et que tu as tendance à y revenir, te dire que c'est bon tu as déjà pensé à tout ça, c'est noté, on passe à autre chose. Oui je sais, plus facile à dire qu'à mettre en application.
Bon cheminement!
@Paupau06
@Faolán
Je vous pose ça là également: https://soundcloud.com/tuaslepouvoir
C'est un podcast qui m'est assez salutaire ces temps-ci, et ça fait grave du bien d'écouter quelqu'un avoir un discours bienveillant et qui donne des vraies clés pour s'en sortir (un jour j'irai voir du côté de Change ma vie aussi )
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
@Faolán
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C'est un podcast qui m'est assez salutaire ces temps-ci, et ça fait grave du bien d'écouter quelqu'un avoir un discours bienveillant et qui donne des vraies clés pour s'en sortir
(un jour j'irai voir du côté de Change ma vie aussi )
Ça fait un moment que je n'ai pas écrit par ici ...
Ça va mieux. Beaucoup mieux.
J'ai lu Femmes qui courent avec les loups de Clarissa Pinkola Estès. Et ce livre est une révélation pour moi. Je me suis reconnue dans chaque phrase. Je vous le conseille à toutes, c'est un merveilleux outil d'introspection. Cette femme remplie d'une bienveillance qui fait énormément de bien. Et son approche de la psychologie à travers l'analyse de conte est très instinctuelle et poétique, et depuis que je l'ai commencé j'ai un tas de révélations qui sont venues "toutes seules" à moi. J'ai fait des rêves très intéressant notamment.
Pour celles que ça intéressent, l'idée qu'elle développe dans le livre est que chaque femme a en elle une Femme Sauvage, créative, instinctive et libre. Elle liste dans l'introduction les symptômes des femmes ayant perdu le lien avec leur Femme Sauvage et, personnellement, de nombreux symptômes sont les miens. Et par la suite, elle raconte des histoires et les analyses afin d'en tirer des leçons qui guident et guérissent l'âme. Alors, ça peut paraître très spirituel et mystique parfois, mais je trouve ça en réalité très poétique. Il faut savoir que cette femme est elle même psychanalyste, disciple de Jung (pas Freud donc), mais aussi conteuse et ethnologue.
L'une de ses grandes idées, qui me parle beaucoup personnellement, c'est que chaque femme est créative et que l'épanouissement se trouve dans cette créativité, qui a souvent été brimée soit par la femme elle même soit par la culture dans laquelle elle baigne soit par une personne précise de son entourage. Elle parle donc de retrouver sa créativité et de se détacher petit à petit de toutes les pensées qui bloquent, qui retiennent en arrière.
Elle parle aussi beaucoup de l'ennui dont souffre de nombreuses femmes.
Il y a des chapitres sur les relations amoureuses, sur le rapport au corps, sur l'intuition comme guide, sur le pardon et la colère, sur la créativité, sur le sentiment d'appartenance et sur le cheminement intime et initiatique de la psyché.
Pour moi, c'est réellement un livre à lire. Que l'on soit une femme ou non d'ailleurs. Ça aborde la notion de "féminité" avec une bienveillance incroyable. Et surtout ça pousse à grandir.
C'est en train de changer ma vie. Radicalement. Je l'ai lu une première fois d'une traite, et j'ai commencé une relecture annotée.
Du coup, j'essaie de me rapprocher de mon moi instinctuel et ça change doucement mon quotidien. Je continue à méditer et à faire du Yoga, tous les matins, avec une attention accrue à mon corps, mon souffle et mes émotions. J'écris beaucoup, sur moi, mes projets, ma vie, ça m'aide à y voir clair. Je lis toujours énormément, ça nourrit mes réflexions. J'essaie d'être attentive à mes rêves, à mes cycles. Je prends des risques avec une plus grande facilité. Je me mets au travail avec moins de pressions et plus de joie. Et mes projets personnels grandissent sans efforts.
Bon, clairement, j'ai encore beaucoup de chemin à faire. C'est toujours un peu dur de travailler, et j'ai des accès de stress souvent. Et parfois j'ai envie de rien faire. Et penser à mon ex est toujours douloureux. Et puis c'est toujours pas facile d'habiter chez mes parents. Mais il y a un tas de choses qui se décoincent, et c'est vraiment grâce à Clarissa Pinkola Estès.
Ça va mieux. Beaucoup mieux.
J'ai lu Femmes qui courent avec les loups de Clarissa Pinkola Estès. Et ce livre est une révélation pour moi. Je me suis reconnue dans chaque phrase. Je vous le conseille à toutes, c'est un merveilleux outil d'introspection. Cette femme remplie d'une bienveillance qui fait énormément de bien. Et son approche de la psychologie à travers l'analyse de conte est très instinctuelle et poétique, et depuis que je l'ai commencé j'ai un tas de révélations qui sont venues "toutes seules" à moi. J'ai fait des rêves très intéressant notamment.
Pour celles que ça intéressent, l'idée qu'elle développe dans le livre est que chaque femme a en elle une Femme Sauvage, créative, instinctive et libre. Elle liste dans l'introduction les symptômes des femmes ayant perdu le lien avec leur Femme Sauvage et, personnellement, de nombreux symptômes sont les miens. Et par la suite, elle raconte des histoires et les analyses afin d'en tirer des leçons qui guident et guérissent l'âme. Alors, ça peut paraître très spirituel et mystique parfois, mais je trouve ça en réalité très poétique. Il faut savoir que cette femme est elle même psychanalyste, disciple de Jung (pas Freud donc), mais aussi conteuse et ethnologue.
L'une de ses grandes idées, qui me parle beaucoup personnellement, c'est que chaque femme est créative et que l'épanouissement se trouve dans cette créativité, qui a souvent été brimée soit par la femme elle même soit par la culture dans laquelle elle baigne soit par une personne précise de son entourage. Elle parle donc de retrouver sa créativité et de se détacher petit à petit de toutes les pensées qui bloquent, qui retiennent en arrière.
Elle parle aussi beaucoup de l'ennui dont souffre de nombreuses femmes.
Il y a des chapitres sur les relations amoureuses, sur le rapport au corps, sur l'intuition comme guide, sur le pardon et la colère, sur la créativité, sur le sentiment d'appartenance et sur le cheminement intime et initiatique de la psyché.
Pour moi, c'est réellement un livre à lire. Que l'on soit une femme ou non d'ailleurs. Ça aborde la notion de "féminité" avec une bienveillance incroyable. Et surtout ça pousse à grandir.
C'est en train de changer ma vie. Radicalement. Je l'ai lu une première fois d'une traite, et j'ai commencé une relecture annotée.
Du coup, j'essaie de me rapprocher de mon moi instinctuel et ça change doucement mon quotidien. Je continue à méditer et à faire du Yoga, tous les matins, avec une attention accrue à mon corps, mon souffle et mes émotions. J'écris beaucoup, sur moi, mes projets, ma vie, ça m'aide à y voir clair. Je lis toujours énormément, ça nourrit mes réflexions. J'essaie d'être attentive à mes rêves, à mes cycles. Je prends des risques avec une plus grande facilité. Je me mets au travail avec moins de pressions et plus de joie. Et mes projets personnels grandissent sans efforts.
Bon, clairement, j'ai encore beaucoup de chemin à faire. C'est toujours un peu dur de travailler, et j'ai des accès de stress souvent. Et parfois j'ai envie de rien faire. Et penser à mon ex est toujours douloureux. Et puis c'est toujours pas facile d'habiter chez mes parents. Mais il y a un tas de choses qui se décoincent, et c'est vraiment grâce à Clarissa Pinkola Estès.
Dernière édition :
@Faolán
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Je ne savais pas trop où poser ça, alors je l'écris ici.
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@Lenehän C'est fou j'aaurais pu écrire mot pour mot la même chose . La permanente impression de jugement de laissée de côté. De regarder ma vie, de me regarder agir "comme si " . faire les sourires au bon moment, les réponses qu'il 'faut faire" .. Aller bien sagement chez le psy, parce qu'abandonner serait trop simple. Que l'on a pas vraiment le choix au fond de se lever à moins de se suicider sauf que non. L'impression que lorsque 2 personnes au taf parlent c'est en mal de moi, l'impression tout le temps d'avoir des fausses interprétations sur ce que les gens disent ./ pensent / considèrent, être comme une automate, qui fait bien les choses mais sans convictions ni joie profondes, et qui alterne grands élans d'emotions et déprimes sans raisons ... bref . On va bien finir par trouver ce qu'il faut ... 
Hello tout le monde! 
@Lenehän Je suis aussi dans une période comme tu décris.
Bonne soirée à tout.e.s! 
@Lenehän Je suis aussi dans une période comme tu décris.
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Bonne soirée à tout.e.s!
@marie2306 @Noctali Effectivement il y a des similarités ! Courage à vous 
@L'océan de la vie Merci beaucoup pour ton message, il est très juste je pense. Tu as raison je déduis un peu vite que ce qui s'est passé l'année dernière ne me touche plus. Il faudrait peut-être que j'y réfléchisse. (par contre je crois que l'expression "exil familial" est un peu exagérée de ma part, je n'ai pas pensé en l'écrivant, je voulais juste dire que j'étais loin de ma famille car j'étais sur un autre continent pendant une année, du coup je suis revenue dans mon pays près de ma famille, normalement ça devrait aller pour ça !). Merci encore.
@L'océan de la vie Merci beaucoup pour ton message, il est très juste je pense. Tu as raison je déduis un peu vite que ce qui s'est passé l'année dernière ne me touche plus. Il faudrait peut-être que j'y réfléchisse. (par contre je crois que l'expression "exil familial" est un peu exagérée de ma part, je n'ai pas pensé en l'écrivant, je voulais juste dire que j'étais loin de ma famille car j'étais sur un autre continent pendant une année, du coup je suis revenue dans mon pays près de ma famille, normalement ça devrait aller pour ça !). Merci encore.
@Lenehän Je t'en prie. 
Pour les mots utilisés, ils ne décrivaient peut-être pas la réalité au sens factuel du terme mais il est possible que tu l'es ressenti de cette manière et donc que tu l'ai traité émotionnellement ainsi. Mon kinésiologue me disait qu'il faut considéré que notre inconscient a l'âge de 5 ans, avec tous les bouleversements émotionnels que ça implique, la non-compréhension de l'ironie, l'importance d'être protégé.e, l'absence de blocage pour ressentir les émotions (ce que les adultes devraient éviter, à mon avis) et donc potentiellement des émotions si fortes qu'elles semblent disproportionnées, etc. Donc si on imagine une année entière, sur un autre continent, même si c'était un choix conscient, il n'empêche que "l'exil familial" était ressenti quelque part.
@Tardigrade
Pour les mots utilisés, ils ne décrivaient peut-être pas la réalité au sens factuel du terme mais il est possible que tu l'es ressenti de cette manière et donc que tu l'ai traité émotionnellement ainsi. Mon kinésiologue me disait qu'il faut considéré que notre inconscient a l'âge de 5 ans, avec tous les bouleversements émotionnels que ça implique, la non-compréhension de l'ironie, l'importance d'être protégé.e, l'absence de blocage pour ressentir les émotions (ce que les adultes devraient éviter, à mon avis) et donc potentiellement des émotions si fortes qu'elles semblent disproportionnées, etc. Donc si on imagine une année entière, sur un autre continent, même si c'était un choix conscient, il n'empêche que "l'exil familial" était ressenti quelque part.
@Tardigrade
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