« Souffre-douleurs, ils se manifestent », un plaidoyer contre le harcèlement scolaire

14 Septembre 2014
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Bazeilles, Troyes, Reims
Ah oui je ne dis pas du tout qu'il faut arrêter la prévention ! Mais dans le cas d'un enfant qui se fait harceler, c'est trop tard pour la prévention il faut régler le problème, pas le prévenir.
J'ai pas compris ta deuxième phrase par contre, désolée...
Pour la deuxième phrase, je me demande si la technique de cette dame fonctionne durablement pour des enfants ayant des repères sociaux... "différents" pour ne pas dire "déviants". Pour parler de mon expérience, j'ai vécu avec une mère maniaco-dépressive, qui nous a émotionnellement manipulés mes frères et moi, pour qu'on prenne sa défense en toute occasion, que nous restions avec elle au lieu d'être sous la garde de notre père, et qui niveau compagnons, se choisissait plutôt de gros connards violents (sauf mon père, de ce côté là j'ai eu du bol). J'ai toujours été introvertie. Et j'ai été éduquée de façon à être une gentille fille qui dit oui à tout. Se défendre, protester, c'était prendre un risque énorme vis à vis de ma mère. C'était même une forme de trahison. Du coup, j'étais très inhibée. Au point, dans certains cas, de ne pas vouloir parler parce que je savais que j'allais pleurer et que je ne voulais pas le faire devant les adultes, parce que c'était une "faiblesse" aux yeux des autres. J'ai grandi selon des codes sociaux qui n'avaient pas grand chose à voir avec ceux de la plupart des enfants de mon age. Du coup, j'étais en effet une victime désignée, raison pour laquelle j'ai toujours fini par me faire harceler au collège. Une réplique bien sentie, aurait peut-être fonctionné sur le moment, mais rien ne garanti que cela aurait été durable à cause du fait que j'étais solitaire, et que même des élèves que je ne connaissais pas, on fini par m'agresser.
Par ailleurs, sur la vidéo, je ne suis pas forcément tout à fait d'accord avec ce que dit cette femme, sur les conséquences qu'engendrent l'intervention d'un adulte. ça ne devrait en tout cas pas signifier que la personne qui se fait harceler, ne sait pas se débrouiller socialement. Au contraire, on devrait faire comprendre au harceleur que c'est sa conduite à lui, qui est inadaptée, d'où l'intervention de l'adulte. J'ajouterai que dans le cas du harceleur, si celui-ci cherche tant à attirer l'attention, c'est qu'il ne va peut-être pas si bien que ça, et qu'il faudrait justement le prendre en charge pour comprendre d'où vient son comportement. J'ai l'impression qu'une partie de nos rapports sociaux se fondent perpétuellement sur de la démonstration de force, qu'elle soit physique ou verbale. En gros, pour ne pas avoir de problème, il faut gagner, il faut se montrer supérieur. C'est quelque chose qui personnellement me gêne profondément, pour la simple et bonne raison que je suis contre le principe d'une hiérarchie sociale, quelle qu'elle soit.
Quoiqu'il en soit, je pense qu'aider les personnes harcelée à reprendre confiance en elles, comme cela a été dit précédemment, est une chose absolument nécessaire, et dans tous les cas, cela nécessite quand même l'intervention des adultes. Il faut simplement essayer de trouver quel genre d'acte porte le plus ses fruits sur le long terme.
 
14 Juin 2013
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Bon je l'ai vu, il est en effet vachement poignant, les témoignages sont touchants et font mal au bide. Il est clairement nécessaire de parler de ce sujet qui touche tant d'enfants et face auquel les parents/enseignants se sentent souvent aussi impuissants que les victimes.

Deux choses m'ont embêtée. La première, c'est que, comme je m'y attendais, pas une fois on a essayé de dire à l'enfant qu'on pouvait l'aider à faire arrêter le harcèlement. Les adultes sont toujours intervenus à sa place, plutôt qu'avec lui.
La seconde c'est qu'ils ont gardé des témoignages extrêmes et à la fin du film (je sais pas si d'autres l'ont ressenti comme ça) j'avais l'impression que si t'arrivais pas au stade où tu pensais au suicide et où tu te scarifiais c'était pas vraiment du harcèlement. Je me doute que c'était pas le but, qu'ils ont mis les plus violents pour faire réagir les gens et dire que c'était un sujet sérieux, mais entre les parents de Marion et Matteo, le gamin qui a tenté de s'immoler, celles qui a pris des aspirines et qui se scarifiaient, la petite qui se scarifiait aussi, je trouve qu'on oublie les autres, ceux qui l'exprimaient différemment, de façon moins violente. Mais c'est parfaitement subjectif j'imagine.
 
14 Juin 2013
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Oups, double post :ninja:

@dyspeptique Je commence à me former à la thérapie brève, et je pense que si tu avais consulté, il aurait fallu voir quel problème tu voulais régler. Si c'était le harcèlement elle serait parti là-dessus, si, comme tu as l'air de le penser, le harcèlement était une conséquence d'un problème à la maison le travail aurait été là-dessus. Après je débute donc si ça se trouve elle aurait pas fait comme ça, mais moi ça me semble cohérent. Après je peux pas développer ici du pourquoi du comment fonctionne le modèle de palo alto donc ça doit paraître un peu étrange XD
Elle ne dit pas que ça "signifie" qu'il est incompétent, mais que c'est comme ça que c'est reçu par l'enfant. Et je suis d'accord que l'idéal serait que les harceleurs prennent conscience du mal qu'ils font, mais c'est pas le cas. Des heures de colle, des réprimandes, ce n'est rien comparé à une humiliation par ton bouc-émissaire habituel devant tes courtisans. Et ce qui est génial avec ses flèches, c'est qu'elles ne fonctionnent qu'en réponse, en défense, jamais en attaque.
Je suis d'accord avec toi sur le principe, mais aujourd'hui, le monde est tel qu'il est et il faut faire ces règles pour le changer. On peut pas gérer le truc comme si la société était déjà idéale, parce que ça marche pas ici et maintenant (pour l'instant).
 
9 Février 2015
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Gallifrey
J'ai vécu dans un petit village qui faisait maternelle - primaire - collège. J'en ai bavé plus de sept ans. Insultée, frappée, et ma mère qui me hurlait dessus à chaque fois que je rentrais de l'école, c'était la joie.
J'ai pleuré comme une grosse madeleine patate mutante là. Adieu.
 
12 Juin 2013
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Wow... le reportage qui fait remonter de sales souvenirs. Tristement "beau" reportage tout de même.

Je suis vraiment très partagée sur le sujet. Ancienne harcelée (collège/lycée), je suis à la fois contente qu'on en parle autant en ce moment, que ça sorte de l'ombre (déjà parce que ça me permet de mettre un mot sur cette souffrance, et aussi pour que ça ouvre les yeux sur ce sujet), et en même temps, véritablement dubitative... Est-ce qu'on peut vraiment faire quelque chose qui aura des conséquences sur le harcèlement, qui permettra d'y mettre fin? Je n'y crois pas.

Tous ces bons sentiments sont bien sympathiques, mais je ne peux m'empêcher de les ressentir aussi comme une énorme hypocrisie. Soyons honnête, qui n'a JAMAIS au grand jamais, insulté quelqu'un de plus faible/différent/antipathique, ne s'est jamais moqué, n'a jamais ri d'une personne à ses dépend? On l'a tous fait. TOUS. On le voit bien dans le reportage, même le fait d'être soi-même harcelé ne vaccine pas contre ce comportement violent. Voire le provoque, même. Avouons-le, on est parfois bien trop content que ce ne soit pas/plus nous, la victime de ces coups, de ces brimades: on entre dans le clan, on se sent "comme les autres", on remonte notre estime et espère changer ce que les autres pensent de nous. On entre dans le schéma où la violence permet de se défouler, on nous l'a fait et tout le monde trouvait ça normal alors pourquoi ne pas le faire nous-même (même si c'est inconscient).

Pour l'avoir remarqué, les harceleurs pensent pour la plupart "juste rigoler", c'est des blagues, pas méchant. Et si on se met à rire aussi, c'est qu'on trouve ça drôle et que l'on accepte après tout, non? Puis c'est tellement drôle de faire rire tous les camarades en se moquant d'un autre. Souvent ça part de remarques presque anodines, et tout prend des proportions énormes que les harceleurs n'imaginent même pas. Qui n'a pas ris en se rappelant "Oh et celui-là qui était gros! Et tu te rappelles de ce qu'on avait fait à celle-là? Et lui, et elle...". Le problème c'est que c'est toujours moins drôle de l'autre côté. Mais que cela ne se remarque jamais. Il m'est arrivé d'être ajoutée en amie sur facebook par des anciennes harceleuse me disant combien j'avais changé, que j'étais jolie "toi qui étais si..". Et de me parler comme si de rien n'était. Et dans des cas comme ça on est partagé entre la joie immense d'être enfin considéré, et la haine face à l'ignorance, le déni total de ce qu'ils ont pu nous faire subir. C'est cela qui est vicieux: tant qu'on n'a pas été dans la peau d'un harcelé, on ne se rend pas compte de l'impact que nos mots, que nos rires ou que notre indifférence peuvent avoir, même les plus anodins, qui s'ajoutent sans qu'on ne le sache à l'accumulation de tout le reste. Et quand on les remet en face de certaines remarques passées, c'est des "Quoi, moi j'ai dis ça?", "Haha ah oui on était con, on rigolait bien avec ça", "Oh c'était pour rigoler!", etc. Jamais d'excuses ou de remise en question, toujours de la banalisation.

Ce qui m'a aussi étonné dans mon parcours c'est que, contrairement à ce que l'on croit, ce n'est pas toujours les "clichés" (gros-lunette-petit...) qui se retrouvent souffre-douleur. J'ai souvent été moquée pour des raisons alors que les meilleures amies ou même les harceleuses en questions étaient pires que moi ("planche à pain" alors que deux autres n'avaient pas besoin de porter de brassière, "toute petite" alors qu'une faisant une tête de moins que moi, "moche" par une fille qui avait une hyperpilosité et de l'acné, etc.) ! C'est aussi ce qui rend "le dépistage" difficile, et la honte encore plus grande. On se sent plus bas que terre, on n'est rien, soit trop, soit pas assez. Aujourd'hui j'ai 21ans mais je n'en ai toujours pas parlé. J'ai esquissé des bribes par-ci, par-là, &à l'heure actuelle où le sujet est dans toutes les bouches, c'est très difficile d'entendre des gens en parler et surtout en parler n'importe comment: déni ou hypocrisie.
Encore aujourd'hui ça me bouffe la vie, véritablement: boulimie, crise de panique, tocs, phobies sociales, angoisses, mutilation, stresse intense et somatique...

Courage à vous tous :hugs:et j'espère sincèrement que je me trompe et qu'on peut combattre cela.
 
30 Juin 2014
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C'est un sujet qui me tient vraiment à coeur et qui me concerne particulièrement, car j'ai été victime de ce harcèlement scolaire.
Et pas plus tard qu'hier, j'ai constaté que j'en souffre encore, après une dispute avec mon homme, qui n'avait pourtant rien à voir avec le harcèlement, car je suis devenue dépressive et la moindre critique me pousse aux pires pensées, à ce qu'on m'a fait croire à l'école. Que j'étais stupide, moche, que je ferai mieux de crever, que personne ne m'aime et que personne ne m'aimera jamais, que traîner avec moi c'est une honte absolue.
Le harcèlement m'a rendue depressive, presque suicidaire. Et mes parents ? Quand je leur disais, ils s'en foutaient et c'était à la limite de la honte, leur fille ne sait pas se défendre et se fait marcher dessus comme une merde, elle est pas fière d'elle, elle a "pas de couilles". En même temps, se rebeller contre une bande de putes racailles populaires qui embirgadent tout les autres, c'était pas la chose la plus évidente à faire. Entre les promesses du genre "je t'attends à la sortie tu vas voir" et les rumeurs, les coups bas et les crachats... Bien sûr, tout les autres suivaient pour essayer d'être copains avec les populaires de l'école, pour sortir leur épingle du jeu, en dépit de mon sort et ma santé mentale.

BREF, j'avais besoin de déballer un peu, désolée.
 
28 Février 2014
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Meaux
lavacheninja.wordpress.com
Ce qui m'interpelle le plus depuis qu'on parle enfin du harcèlement scolaire, c'est pourquoi on n'en parle que maintenant ? Je trouve ça très bien et très important qu'on en parle, que les gens prennent conscience de ce qui peut se passer dans l'enceinte d'une école et même après l'école, quand le harcèlement se prolonge sur Internet par exemple, mais ça existe depuis si longtemps. En fait, je pense que j'aurais aimé qu'on en parle quand moi, j'en ai été victime. Ça me paraît un peu égoiste, mais si j'avais pu me tourner vers quelqu'un, ça aurait pu m'éviter tellement de mauvais moments.
J'étais la cible facile à l'entrée au collège. Moche, grosse, première de la classe, et dépressive. Les premiers mois de 6ème se sont à peu près bien passés, puis mon groupe d'amies m'a fait une crasse et ayant mauvais caractère, je les ai toutes envoyées chier. Donc je me suis retrouvée seule. J'ai voulu aller vers les filles de ma classe, et ça, ce fut la plus mauvaise idée de toute ma vie. Elles me rappelaient sans cesse que j'étais moche, grosse, que j'étais qu'une "sale petite intello". J'étais toujours mise à l'écart. Je devais faire leurs devoirs sous peine d'être insultée et humiliée devant tout le monde si je ne le faisais pas. Elles étaient vraiment méchantes, et leurs amis masculins s'en donnaient également à coeur joie. Ça a duré trois ans et je n'ai jamais osé me regarder dans un miroir pendant 6 ou 7 ans en présence d'autres personnes à cause d'elles. Parce que je n'avais pas besoin de me regarder, d'essayer de me faire belle vu que j'étais moche et grosse. En 3ème, j'ai eu de la chance. Une fille de ma classe n'aimant pas me voir triste est venue me parler et m'a peu à peu arrachée à leurs griffes. Certains diront que j'aurais pu les envoyer chier ces filles mais j'avais tellement peur de me retrouver complètement isolée à l'époque que je ne pouvais pas. Après ça, un groupe de garçons de ma classe s'est intéressé à moi. Je n'étais pas belle non plus à leurs yeux, je le savais, ils me l'avaient dit cash et c'était mieux comme ça. Ils me trouvaient juste génial et j'ai vécu quelques années d'amitié géniales avec eux, vraiment et je les en remercie. (Bon, la suite n'est pas un conte de fée, le quatuor que l'on formait à exploser quand je suis devenue jolie, pour faire court).
Donc voilà, ça m'a fait du bien d'en parler là parce que c'est quelque chose que ma famille ignore et que très peu de personnes connaissent me concernant. C'est une période que j'essaye d'oublier. Et si des personnes souffrant actuellement d'harcèlement scolaire passent par ici, j'aimerai leur dire que ça ne durera pas toute leur vie, qu'ils doivent en parler, demander à changer d'école s'il le faut, de ne pas avoir peur de parler, ou de hausser le ton. Personne n'a le droit de vous faire subir quoi que ce soit, ne gâchez pas votre vie pour une bande de crétin-e-s.
 
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Réactions : dyspeptique et NatZlt
30 Juin 2014
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Je pensais aussi que ça me passerai mais comme dit dans mon message plus haut, à la moindre dispute ou critique, tout me revient en tête, je recommence à penser du mal de moi même, comme au collège où on me faisait comprendre que je valais rien et que se sera toujours le cas ! Que je serai toujours inférieure à tout le monde ! Ces idées restent dans un coin de ma tête et c'est impossible de les oublier, alors oui le harcèlent s'arrête au bout d'un moment (très long des fois) mais on en ressort très diminué, il n'y a pas de bonne chose à retenir de cette période pour ma part...
Heureusement pour moi, y avait internet et ses forums !! Ça m'a sauve la vie d'avoir des gens avec qui discuter de passions communes, et surtout j'avais la musique !! Qu'est ce que je serai devenue sans ça...
 
17 Mai 2012
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Inverness
Au R-U, on a régulièrement (les profs) des mises à jour sur les élèves... Tel élève n'aime pas celui là, celui-ci rend la vie difficile à celle-ci, celui-ci est amoureux d'un tel... Et on essaqye d'appaiser les choses, en déplaçant les gamins en classe... Et si on est au courant de certains antécédants de harcélement, on peut plus facilement surveiller les jeunes. Si A harcèle B et que je vois A aller dans la direction de B, je vais rester dans le coin et observer de loin ce qui se passe et itnervenir si besoin est... La communication entre tous les profs, les services d'aide aux élèves et les parents est constant. Jusque là, je trouve que le système s'en sort mieux qu'en France.
 
27 Juin 2014
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Nantes
J'ai pas vu le reportage, et je le regarderais pas (manque de temps et d'envie). Mais lire les vôtres (et encore en diagonal, j'ai une boule au ventre j'aimerais éviter les remontées acides avant le repas) me renvoient à mes rêves et cauchemars de mes années primaires. On parle énormément de pensées suicidaires. Mais les idées de mort sont aussi dangereuses et des signes de dépression (ouai dépressive de mes 4 ans (enfin on pense, c'est pas sûr, mais ça expliquerait énormément de choses) à mes 20 ans grosso modo...).

Bref pour ma part, j'ai pas tellement eu l'envie de me suicider que l'idée de foutre une bombe dans mon école... ouaip... de mes 8 à 10 ans... autant vous dire que la seule chose qui m'a arrêtée était que je savais pas comment faire (et pas internet à l'époque)... mais de 8 à 10 ans... je rêvais d'accomplir ce projet. Et tout le monde y passait : la directrice et les profs, les élèves... parce qu'au final, ce n'est qu'en CM2 où les instits des deux classes ont essayé de me préserver au mieux qu'ils l'ont pu (sans le soutien de la direction, ils ont eu un sacré courage).

J'ai cru que ma mère allait tuer la directrice aussi en fait. Je pouvais rester dans le collège attaché à l'école primaire mais ma mère m'a entendue et a décidé de me changer. Elle savait que ça n'allait pas mais seulement depuis quelques mois (grâce aux instits de Cm2). La directrice, le dernier jour d'école, lui sort "vous avez bien fait de la changer, ça fait 3 ans que ça dure).

Comme dit ma mère, si elle avait eu des mitraillettes à la place des yeux, elle serait mort.

Bref... ouai une bombe, et encore aujourd'hui ça me renvoie à cette envie (sauf que j'ai pris 15 ans dans les dents et que j'ai autre chose à faire que d'aller défoncer à coup de bombe la gueule d'une 100aine d'adulte aujourd'hui :cretin:)

Bon ça s'est pas fini à mon entrée en 6e. Mais c'était différent, j'avais un soutien du corps enseignant ET des poings et des pieds armés (la seule année où ça n'a pas suffi, on m'a changé de classe pour me mettre dans celle du prof qui était mon meilleur allié).

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Une chose en conclusion... je crois qu'il faudra pas toucher un cheveu de mes mômes si j'en ai. Et bon sang, je plains ces mêmes mômes si eux-mêmes sont coupables de harcèlement.
 
  • Big up !
Réactions : Globek et NatZlt

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