@Jesilma Pour les hommes blancs on a des études sur divers sujets comme le milieux professionnel maintenant, peut-être que pour eux ça a tendance à se concentrer sur la séduction mais pour les autres non. Pour les hommes noires les études vont bien au-delà. Le stéréotype de l'homme noire (perçu comme grand, fort, bestial, etc) est étudié à l'échelle de la société pas uniquement dans le cadre de la séduction. Les asiatiques, ils sont perçu comme petit, peu viril, effémine, moche, nerd, intello, etc c'est aussi étudié à échelle de la société. Dans les deux cas, leurs places dans les rapports de séduction n'était pas le sujet principale, c'est venu par la force des choses. Par exemple, on sait que pendant des années, les industries masculines à forte activité de main d'oeuvre était interdites d'accès aux asiatiques et qu'ils étaient relégué à des travail dit de femmes (dans le but de les humiliés). On peut aussi parler de leurs absence de virilité perçue qui a en partie forger le mythe de la minorité modèle. L’émasculation, l’infantilisation, l'opposition entre la maturité de l'homme blanc et l’immaturité de l'homme asiatique, le prédateur de femme blanche, l'Asian Baby Boy et j'en passe. Maintenant, oui, dans le cas des hommes asiatiques leurs situation est étudié dans les rapports de séduction parce qu'ils sont effectivement victime de discrimination (No Asian Policy) tout comme les hommes noirs (pour d'autres raison). Les hommes asiatiques sont discriminé dans les rapports de séduction parce qu'ils sont perçu comme peu viril et moins désirable... j'vois pas vraiment ce que je peux dire de plus... j'veux dire, on a des études et des faits qui démontre ça, à partir de là qu'est-ce que tu veux que je te dise. Je dis ça sans animosité aucune, j'vois pas bien que mes posts sont peu approuvé mais je comprends pas vraiment ce qui ne va pas.
Après, je vis au Québec et chez nous il y a une importante communauté asiatique, peut-être que ça doit jouer. On est aussi frontalité avec les USA qui a aussi une importante communauté asiatiques et qui se retrouve avec les mêmes problèmes. Chez nous pendant des années, la question des hommes en particulier asiatiques a été occultés parce que ça foutait en l'air toute notre rhétorique féministe (et aussi par crainte que les masculinistes profitent de la brèche). On martelait que les femmes n'étaient pas aussi exigeante que les hommes, qu'elles avaient une vision de l'autre qui n'était pas aussi toxique que les hommes, qu'elles avaient le droit d'avoir des préférences personnelles, que la perception de la virilité était davantage le fruit des hommes que des femmes quand tout à coup, les hommes asiatiques débarquent dans l'histoire, j'vous raconte pas le malaise que ça a été. Puis la question a pénétrer l'espace public en partie grâce aux femmes asiatiques et aux afroféministes (elles y voyaient et y voient toujours une similitude avec la féminité de la femme noire et son rapport ambivalent aux hommes. Fortement discriminées mais paradoxalement fétichiser comme les hommes asiatiques depuis peu qui sont littéralement perçu comme des sous-hommes par certaines femmes et fétichiser par d'autres).
On a des hommes qui fétichisent les femmes asiatiques et qui parle de préférence personnelle. On a des femmes qui fétichisent les hommes asiatiques et parle de préférence personnelle. On a des femmes qui les discriminent (No Asian Policy) et parlent aussi de préférence personnelle. Et on nous explique encore et toujours que les femmes ont le droit d'avoir des préférences personnelles et bah écouter, d'accord on a le droit d'avoir des préférences personnelles. Moi, je m'arrête là. C'est toujours le même problème. On parle comme si la conversation concernait que les hommes blancs ou les incels ou je sais pas quoi. C'est fatiguant. Puis c'est malsain.
Après, je vis au Québec et chez nous il y a une importante communauté asiatique, peut-être que ça doit jouer. On est aussi frontalité avec les USA qui a aussi une importante communauté asiatiques et qui se retrouve avec les mêmes problèmes. Chez nous pendant des années, la question des hommes en particulier asiatiques a été occultés parce que ça foutait en l'air toute notre rhétorique féministe (et aussi par crainte que les masculinistes profitent de la brèche). On martelait que les femmes n'étaient pas aussi exigeante que les hommes, qu'elles avaient une vision de l'autre qui n'était pas aussi toxique que les hommes, qu'elles avaient le droit d'avoir des préférences personnelles, que la perception de la virilité était davantage le fruit des hommes que des femmes quand tout à coup, les hommes asiatiques débarquent dans l'histoire, j'vous raconte pas le malaise que ça a été. Puis la question a pénétrer l'espace public en partie grâce aux femmes asiatiques et aux afroféministes (elles y voyaient et y voient toujours une similitude avec la féminité de la femme noire et son rapport ambivalent aux hommes. Fortement discriminées mais paradoxalement fétichiser comme les hommes asiatiques depuis peu qui sont littéralement perçu comme des sous-hommes par certaines femmes et fétichiser par d'autres).
On a des hommes qui fétichisent les femmes asiatiques et qui parle de préférence personnelle. On a des femmes qui fétichisent les hommes asiatiques et parle de préférence personnelle. On a des femmes qui les discriminent (No Asian Policy) et parlent aussi de préférence personnelle. Et on nous explique encore et toujours que les femmes ont le droit d'avoir des préférences personnelles et bah écouter, d'accord on a le droit d'avoir des préférences personnelles. Moi, je m'arrête là. C'est toujours le même problème. On parle comme si la conversation concernait que les hommes blancs ou les incels ou je sais pas quoi. C'est fatiguant. Puis c'est malsain.
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