Topic des amoureuses et des "en couple"
- Initiateur de la discussion Yana
- Date de début
- Statut
Tipa.Ness;2930252 a dit :
Ooooh vous m'avez l'air en crise, je préconiserai un week end en amoureux dans un lieu loin de tous pour essayer de vous retrouver... :S
J'adore mon copain mais en ce moment il me pompe l'air, on est en vacances et il a quand même les couilles de venir chez moi pour : baiser, bouffer, dormir. Après, il déjeune, prend sa douche, et se casse faire autre chose en me laissant toute seule vers 14h et se pointe pour le même rituel vers 20h. Donc si il a trouvé un hôtel c'est cool pour lui mais moi ça me fait chier, je vais prendre des distances, il part pendant une semaine, tant mieux, ça va me faire des vraies vacances, parce que je sais pas ce qui se passe en ce moment mais il m'agace beaucoup trop.
Tipa.Ness
J'arrive un peu tard, mais comme je te comprends ! Le mien est un peu exaspéré de me voir geeker dans mon coin "alors qu'on se voit déjà pas souvent". Mais je sais pas, une heure c'est pas la mort....
Il propose des activités lui ?
Hier il m'a mise mal à l'aise au téléphone. A vrai dire, c'est la première fois que je suis aussi mal à l'aise de parler avec un mec comme ça. Il s'est encore mis à poser des questions, à reprendre celles de la dernière fois auxquelles j'avais pas répondues, et à en sortir d'autres plus osées. J'aime pas quand il me force comme ça, je me sens vraiment mal, et lui veut pas comprendre. Plus ça va, plus je le prends comme du harcèlement, et plus je me braque. Et plus je me braque, plus il va forcer. Je lâche rien, mais punaise, hier soir dans mon lit j'ai pensé à le larguer, parce que ça faisait trop.
Et je me sens trop conne de pas réussir à le rembarrer cash, à chaque fois je me dégonfle et je suis pas du tout convaincante dans mon refus de parler. Au final il revient toujours à la charge.
Je sais qu'il a très peur de me perdre, mais je sais pas trop comment lui faire comprendre que c'est la meilleure façon de me faire partir...
J'arrive un peu tard, mais comme je te comprends ! Le mien est un peu exaspéré de me voir geeker dans mon coin "alors qu'on se voit déjà pas souvent". Mais je sais pas, une heure c'est pas la mort....
Il propose des activités lui ?
Hier il m'a mise mal à l'aise au téléphone. A vrai dire, c'est la première fois que je suis aussi mal à l'aise de parler avec un mec comme ça. Il s'est encore mis à poser des questions, à reprendre celles de la dernière fois auxquelles j'avais pas répondues, et à en sortir d'autres plus osées. J'aime pas quand il me force comme ça, je me sens vraiment mal, et lui veut pas comprendre. Plus ça va, plus je le prends comme du harcèlement, et plus je me braque. Et plus je me braque, plus il va forcer. Je lâche rien, mais punaise, hier soir dans mon lit j'ai pensé à le larguer, parce que ça faisait trop.
Et je me sens trop conne de pas réussir à le rembarrer cash, à chaque fois je me dégonfle et je suis pas du tout convaincante dans mon refus de parler. Au final il revient toujours à la charge.
Je sais qu'il a très peur de me perdre, mais je sais pas trop comment lui faire comprendre que c'est la meilleure façon de me faire partir...
Tipa.Ness
Oh merci, je me sens moins seule d'un coup
J'ai pas envie de faire la sans coeur, mais j'ai l'impression que vous avez fait le tour de votre relation, tu as vraiment envie de rester avec lui ?... Ou alors, comme l'a dit une mad, vous pourriez vous faire un petit voyage tous les 2, histoire de mettre les choses à plat et de vous retrouver
.
Hier, il m'a carrément demandé "tu aimes quoi dans le sexe ?". Ca tombait comme un cheveu sur la soupe, j'ai trouvé ça complètement déplacé, et même avec le gros blanc que j'ai laissé il a pas lâché l'affaire. Et quand je lui ai demandé pourquoi il voulait savoir, il m'a répondu en gros qu'il voulait me faire plaisir, et que lui aussi avait envie de me parler de ce qu'il aimait (ou pas) que je lui fasse (ou pas). Et là l'idée d'être jugée m'est arrivée en pleine face, ça m'a assommée au point de pas savoir quoi répondre. Evidemment, après j'ai fait comme si de rien était, mais je m'en veux de pas savoir réagir comme il faut à chaque fois
.
Comme autre question qui revient tout le temps, c'est si on va se voir souvent quand on sera dans la même ville. Punaise, ça c'est pas gênant, c'est carrément gonflant. Parce que c'est évident qu'on va se voir.
Oh merci, je me sens moins seule d'un coup
J'ai pas envie de faire la sans coeur, mais j'ai l'impression que vous avez fait le tour de votre relation, tu as vraiment envie de rester avec lui ?... Ou alors, comme l'a dit une mad, vous pourriez vous faire un petit voyage tous les 2, histoire de mettre les choses à plat et de vous retrouver
.Hier, il m'a carrément demandé "tu aimes quoi dans le sexe ?". Ca tombait comme un cheveu sur la soupe, j'ai trouvé ça complètement déplacé, et même avec le gros blanc que j'ai laissé il a pas lâché l'affaire. Et quand je lui ai demandé pourquoi il voulait savoir, il m'a répondu en gros qu'il voulait me faire plaisir, et que lui aussi avait envie de me parler de ce qu'il aimait (ou pas) que je lui fasse (ou pas). Et là l'idée d'être jugée m'est arrivée en pleine face, ça m'a assommée au point de pas savoir quoi répondre. Evidemment, après j'ai fait comme si de rien était, mais je m'en veux de pas savoir réagir comme il faut à chaque fois
. Comme autre question qui revient tout le temps, c'est si on va se voir souvent quand on sera dans la même ville. Punaise, ça c'est pas gênant, c'est carrément gonflant. Parce que c'est évident qu'on va se voir.
Avec mon copain, on a failli rompre la semaine dernière. Il avait peur, il mourrait de peur, en fait. Peur de me faire du mal, peur de s'engager, peur de ne pas être assez bien pour moi, pas assez solide, peur que ça ne marche pas, que sais je encore.
Bref, plein de doutes.
On s'est beaucoup fait souffrir en trois jours. Des messages sur le répondeurs, des appels en absence, des mots qui ne venaient pas, beaucoup de larmes, et des nuits blanches. J'ai pleuré au telephone, il ne l'a pas supporté, j'ai entendu ses sanglots avant qu'il ne raccroche, me disait qu'on ferait mieux ne plus se donner de nouvelles un moment.
Et là, je me suis effondré. J'ai sangloté dans la rue comme une enfant. J'ai sangloté dans les bras de mes copines, en voulant aller reprendre mon manteau dans la fac.
Et puis, pour finir, j'ai pris mes clic et mes clac, j'ai regardé l'heure du prochain train, et je suis allé le voir.
Ca a été très difficile, douloureux au début. On n'osait pas se toucher, on n'arriverait à parler. On étaient à bout, je crois, vraiment.
Et puis, on est allés marcher, on a commencé à parler de tout de rien, et au bout d'un moment, on s'est senti tellement mieux. On s'est rappelé comme on est heureux ensemble, comme on s'aime et comme on s'amuse.
Il m'a embrassé finalement, et on est allé boire un verre, on a parler calmement. Et il m'a dit tout ça, que j'étais la première qui comptait vraiment, alors qu'il avait peur. Il m'a dit "J'ai envie de te dire Je t'aime maintenant, en te regardant droit dans les yeux, mais c'est pas trop le moment." ( On ne savait pas encore si on allait rompre ou non, quand il me l'a dit)
Mais bref. J'ai compris qu'il était bien plus fragile que je le croyais. Il a compris que moi, j'étais forte malgré les apparences.
On est rentré chez lui, et, je ne sais pas si c'était la peur de nous perdre, mais nos étreintes n'ont jamais été aussi...fortes. Intenses.
Bref, tout est reparti, je crois. Il a croit à nouveau en nous.
Et moi, je sais que je ne veux surtout pas le perdre, et j'ai compris que j'étais capable de me battre.
N'empéche, toute cette histoire m'a fait du mal, quand même. J'ai peur qu'il doute à nouveau, et qu'il n'en parle pas. J'ai peur de ne pas être à la hauteur. J'ai moins confiance en nous qu'avant, je crois, maintenant que j'ai mesuré nos démons. Je sais qu'on a pu les repousser une fois, mais est ce qu'on y arriverais les fois suivantes ?
( Pardon pour le pavé)
Bref, plein de doutes.
On s'est beaucoup fait souffrir en trois jours. Des messages sur le répondeurs, des appels en absence, des mots qui ne venaient pas, beaucoup de larmes, et des nuits blanches. J'ai pleuré au telephone, il ne l'a pas supporté, j'ai entendu ses sanglots avant qu'il ne raccroche, me disait qu'on ferait mieux ne plus se donner de nouvelles un moment.
Et là, je me suis effondré. J'ai sangloté dans la rue comme une enfant. J'ai sangloté dans les bras de mes copines, en voulant aller reprendre mon manteau dans la fac.
Et puis, pour finir, j'ai pris mes clic et mes clac, j'ai regardé l'heure du prochain train, et je suis allé le voir.
Ca a été très difficile, douloureux au début. On n'osait pas se toucher, on n'arriverait à parler. On étaient à bout, je crois, vraiment.
Et puis, on est allés marcher, on a commencé à parler de tout de rien, et au bout d'un moment, on s'est senti tellement mieux. On s'est rappelé comme on est heureux ensemble, comme on s'aime et comme on s'amuse.
Il m'a embrassé finalement, et on est allé boire un verre, on a parler calmement. Et il m'a dit tout ça, que j'étais la première qui comptait vraiment, alors qu'il avait peur. Il m'a dit "J'ai envie de te dire Je t'aime maintenant, en te regardant droit dans les yeux, mais c'est pas trop le moment." ( On ne savait pas encore si on allait rompre ou non, quand il me l'a dit)
Mais bref. J'ai compris qu'il était bien plus fragile que je le croyais. Il a compris que moi, j'étais forte malgré les apparences.
On est rentré chez lui, et, je ne sais pas si c'était la peur de nous perdre, mais nos étreintes n'ont jamais été aussi...fortes. Intenses.
Bref, tout est reparti, je crois. Il a croit à nouveau en nous.
Et moi, je sais que je ne veux surtout pas le perdre, et j'ai compris que j'étais capable de me battre.
N'empéche, toute cette histoire m'a fait du mal, quand même. J'ai peur qu'il doute à nouveau, et qu'il n'en parle pas. J'ai peur de ne pas être à la hauteur. J'ai moins confiance en nous qu'avant, je crois, maintenant que j'ai mesuré nos démons. Je sais qu'on a pu les repousser une fois, mais est ce qu'on y arriverais les fois suivantes ?
( Pardon pour le pavé)
WE de merde ; c'est pas sûr que son grand-père passe la nuit.
Lui a bon espoir (ou arrive à le faire croire), moi moins....
Lui a bon espoir (ou arrive à le faire croire), moi moins....
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