Wow je viens de lire jusqu'à la page 17 j'ai fini par lâcher et ai sauté directement à la page finale. J'avais quand même envie d'apporter ma pierre à l'édifice, pour ce qu'elle vaut. J'ai connu deux amies qui ont eu recours à l'IGV. Une amie qui l'a fait de manière très "libérée" : c'était un accident avec un mec occasionnel, il n'a jamais été question de le garder, elle n'a pas hésité une seule seconde, et n'a eu aucun souci particulier, que ce soit psychologique ou physique. J'avais été impressionnée à l'époque par son détachement et sa détermination. Pour moi, elle a choisi.
J'ai par contre une autre amie qui a pratiqué une IVG lorsqu'elle était étudiante, en couple, à cause d'un souci "d'accoutumance" à sa contraception (oui! ca arrive !) et sa décision n'était pas...un choix. C'était "rationnel", "raisonnable", puisqu'elle n"était pas dans de "bonnes conditions" pour accueillir un enfant, mais au fond d'elle-même, elle ne voulait pas avorter. Le pire étant lorsque son gynéco a tenté de la dissuader en lui disant "vous êtes vraiment sure ? C'est des jumeaux". Elle l'a très mal vécu, ça a été très dur pour elle, et pour moi même si ça reste un "choix", je reste persuadée qu'elle n'aurait pas voulu le faire.
Pour moi chaque IVG est unique, comme chaque motivation, chaque circonstance, chaque personne. Et généraliser c'est toujours le mal, de toutes façons.
Pour moi, la question de l'arrêt de travail ne se pose pas ; il devrait être au moins aussi systématique que quand j'ai une rhino-pharyngite. Je prends l'arrêt mais ne le dépose pas à mon employeur si je me sens. Pourquoi ça fonctionnerait pour une angine et pas une IVG ? (et non, le choix pour moi c'est pas une raison valable).
@Angele12 Ca me parait toujours dingue que des infirmières du collègue/lycée refusent l'éducation sexuelle. L'infirmière de mon collègue nous proposait tous les jeudi midis des "cours" sur les modes de contraception, les MST, et tout ce qui tournait autour de la sexualité. Si je suis aussi décomplexée sur le sujet, et si j'ai évité des tas de comportements à risque étant ado, c'est surtout grâce à elle, et je ne la remercierai jamais assez.
J'ai par contre une autre amie qui a pratiqué une IVG lorsqu'elle était étudiante, en couple, à cause d'un souci "d'accoutumance" à sa contraception (oui! ca arrive !) et sa décision n'était pas...un choix. C'était "rationnel", "raisonnable", puisqu'elle n"était pas dans de "bonnes conditions" pour accueillir un enfant, mais au fond d'elle-même, elle ne voulait pas avorter. Le pire étant lorsque son gynéco a tenté de la dissuader en lui disant "vous êtes vraiment sure ? C'est des jumeaux". Elle l'a très mal vécu, ça a été très dur pour elle, et pour moi même si ça reste un "choix", je reste persuadée qu'elle n'aurait pas voulu le faire.
Pour moi chaque IVG est unique, comme chaque motivation, chaque circonstance, chaque personne. Et généraliser c'est toujours le mal, de toutes façons.
Pour moi, la question de l'arrêt de travail ne se pose pas ; il devrait être au moins aussi systématique que quand j'ai une rhino-pharyngite. Je prends l'arrêt mais ne le dépose pas à mon employeur si je me sens. Pourquoi ça fonctionnerait pour une angine et pas une IVG ? (et non, le choix pour moi c'est pas une raison valable).
@Angele12 Ca me parait toujours dingue que des infirmières du collègue/lycée refusent l'éducation sexuelle. L'infirmière de mon collègue nous proposait tous les jeudi midis des "cours" sur les modes de contraception, les MST, et tout ce qui tournait autour de la sexualité. Si je suis aussi décomplexée sur le sujet, et si j'ai évité des tas de comportements à risque étant ado, c'est surtout grâce à elle, et je ne la remercierai jamais assez.