@mélishnek Oui je suis d'accord avec toi, ce n'est évidemment pas parce qu'on allume un mec verbalement ou par écrit que l'on a décidé de passer à l'acte. Le problème est que pour faire condamner une personne pour viol, il faut prouver qu'il y a eu défaut de consentement. En France, dès lors que tu as une relation sexuelle, ton consentement à cette relation est présumé. La charge de la preuve
incombe à celle ou celui qui se dit victime de viol.Et il ne suffit pas que la victime dise qu'elle n'était pas d'accord, il faut qu'elle le prouve. Or si "Julie" n'a que sa parole pour dire qu'elle n'était pas consentante, qu'à l'époque il n'y a pas eu de traces écrites de contraintes physiques (rapports médicaux avec constat de traces de coups, examens médicaux du vagin,...), ni de contraintes morales (ce n'était pas son père/oncle etc ni son employeur), qu'elle ne dit pas qu'il y a eu menace avec arme ou qu'elle a été attaquée par surprise, alors que les pompiers ont des messages écrits explicites et sûrement des témoignages et que Julie dit s'être rendue de son plein gré aux endroits convenus, et bah il y a peu de chances pour qu'ils puissent être condamnés.
De même, le défaut de consentement à cause des médocs ou de sa santé psy fragile doit être prouvé, ce qui est bien difficile des années après les faits.