Autant en primaire j’aimais bien le sport à l’école, petite école de village où tout le monde se connais, on fessait des tournois de balle au prisonnier entre classe, des sorties randonnées en montagne, ou à vélo dans les marais, j’en garde de chouettes souvenirs.
Le collège par contre s’était l’horreur (m’enfin pour moi tout le collège ça a été nul ). En tant que fille j’avais le choix de faire partie ´des sportives’ et donc être mise à l’écart par la majorité des filles. Parce que les vraies filles c’est nul en sport, en plus c’est juste pour pouvoir impressionner/draguer les garçons. Avec supplément violence/insulte si j’avais le malheur d’être plus doué que x ou y bonhomme.
Pour ma tranquillité d’esprit et pouvoir m’intègrer dans le moule, j’ai donc rapidement immité mes congénères féminines et fait des efforts pour me montrer à peine meilleure que la moyenne des filles. Et le jour de l’évaluation j’essayais de faire un poil mieux, jamais aucun prof n’a remarqué ma ‘stratégie’ d’adaptation. M’enfin la plus part ne s’occupait de toute façon des filles que le jour de l’évaluation alors bon
Au lycée ça allait beaucoup mieux parce que j’étais la seule fille de la classe et c’est malheureux à dire mais du coup j’avais plus du tout cette pression a être une ‘vraie’ fille féminine (qui du coup ne fait pas de sport). Et j’ai pus enfin m’habiller comme je voulais pour être à l’aise. Et oui au collège une nana qui montre ses genoux c’était une p***
A cette époque je n’ai eus que des profs mecs qui étaient top avec moi, qui engueulaient mes collègues si ils jouaient comme des bourrains ou me fessait une remarque désobligeante.
Il y en avait même un qui avait établi des barèmes de points en fonction de la taille, et comme je suis team petite, j’avais tout le temps de bonnes notes
Le collège par contre s’était l’horreur (m’enfin pour moi tout le collège ça a été nul ). En tant que fille j’avais le choix de faire partie ´des sportives’ et donc être mise à l’écart par la majorité des filles. Parce que les vraies filles c’est nul en sport, en plus c’est juste pour pouvoir impressionner/draguer les garçons. Avec supplément violence/insulte si j’avais le malheur d’être plus doué que x ou y bonhomme.
Pour ma tranquillité d’esprit et pouvoir m’intègrer dans le moule, j’ai donc rapidement immité mes congénères féminines et fait des efforts pour me montrer à peine meilleure que la moyenne des filles. Et le jour de l’évaluation j’essayais de faire un poil mieux, jamais aucun prof n’a remarqué ma ‘stratégie’ d’adaptation. M’enfin la plus part ne s’occupait de toute façon des filles que le jour de l’évaluation alors bon
Au lycée ça allait beaucoup mieux parce que j’étais la seule fille de la classe et c’est malheureux à dire mais du coup j’avais plus du tout cette pression a être une ‘vraie’ fille féminine (qui du coup ne fait pas de sport). Et j’ai pus enfin m’habiller comme je voulais pour être à l’aise. Et oui au collège une nana qui montre ses genoux c’était une p***
A cette époque je n’ai eus que des profs mecs qui étaient top avec moi, qui engueulaient mes collègues si ils jouaient comme des bourrains ou me fessait une remarque désobligeante.
Il y en avait même un qui avait établi des barèmes de points en fonction de la taille, et comme je suis team petite, j’avais tout le temps de bonnes notes