Du peu que j'ai lue, il y a la question "est-ce que le gamin sait se qu'il fait?"(comprend).
J'ai été arcelé mais avant ça, une fille de mon age (primaire) recevait quelque brimade(je ne sais pas si le mot est approprié): "mange ses crottes de nez".
Je me moquais mais dans ma tête ce n'était qu'un jeu, je l'aimais bien cette copine(des années plus tard, je suis aller chez elle jouer, dommage que notre timidité commune nous aient éloigné...on jouait toute les deux à pokémon cristal quoi
). Mais je pense que la plus part, ce n'était pas un simple moquerie... Et quand j'y pense, et se que j'ai vécu par la suite, ça me fait mal...
Ensuite, j'ai vécu ma vie au collège, rejeté, et insulte en rentrant de l'école(j'aimais les jeux vidéo, c'est gamin quoi! mais pour finir de "satan" c'est gros...). J'ai "osé" dire à un gars "sale noir", alors que je ne pensais pas un mot. Après un coup de grace, je me suis écroulé, et les profs ont enfin pris mon cas au sérieux... enfin presque. La directrice adjointe, après qu'elle ait demandé au gars de s'excuser au près de moi, et que je m'excuse en retour des propos à la personne "noir"(c'est vraiment con de ma part d'avoir dit ça... mais j'ai voulu me défendre en prenant une différence qui faisait polémique[racisme quoi...] et que je ne comprenais pas...), on m'a proposé d'aller dans un autre collège... régler le problème en le déplaçant... on dit que les adultes n'y sont pour rien, bien sur...
J'ai donc changé de collège, et bon mis à part les quelques pétasse etc... j'ai vu une petite pas très jolie qui était rejeté... Un peu comme moi. Elle m'avait l'aire gentille, mais j'avais peur d'en prendre encore plus en l'aidant. Ils savent(tous) se qu'ils font, qu'on me dise pas le contraire, ils n'en connaissent pas les conséquences, ça je l'accorde.
Enfin bref, le peu que j'ai fait, vu, et rien fait, je m'en sent coupable, car parfois je ne savais pas quoi faire ni pour moi ni pour les autres(et c'est pour ça que je veux aider les gens maintenant).
Sinon, en parlant harcèlement, je vous conseille Life, et Vitamines, de
Keiko Suenobu, une des rare à parler du harcèlement à l'école(au japon je précise). Bon, c'est plutôt hard dans life, mais voir l'héroïne s'en sortir, ça fait chaud au coeur
Un dernier mot, je comprend les paroles des personnes qui "défende" le témoignage des harceleurs/euses, mais il faut avouer que si j'ai se genre de personne en face de moi, je m'enflammerais aussi(il y a juste une limite à ne pas dépasser, je peux comprendre tout le partie en passant)