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Müy Ta photo est sublime !
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allinall Merci pour ton témoignage-péri. Je vais faire en sorte que ce soit prévu et expliquer que je peux refuser ou la prendre le moment venu. Parce qu'effectivement, c'est pas dit que je tienne le coup.
@bear : (j'arrive pas à te mentionner...) Oui ! Revieeeeens =)
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Fillambule C'est une idée trop jolie les bds. J'ai envie de te copier mais j'ai déjà offert plein de livres à mon chéri pour qu'il entraîne son français et c'est encore trop difficile. (De toute façon si on déménage il y aura sans doute encore de quoi s'occuper. Genre... faire les peintures avant qu'on rentre avec ma fille
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cahouette Comme je te disais précédemment, j'ai été confronté au problème. La première fois c'était un coup d'un soir
et j'ai mis beaucoup de temps à me décider. L'idée d'élever un enfant seule, d'un type que j'ai fini par détester, tout en faisant mes études a pris le pas sur l'amour que je lui portais déjà. Je n'étais pas assez solide psychologiquement pour assumer ça. J'ai mis près d'un an à m'en remettre à grands coups de séances sur le divan (4 fois par semaine) et ça a été horriblement dur, surtout les premiers mois qui ont été un gigantesque n'importe quoi d'angoisse et de solitude. MAIS cette situation est assez éloignée de la tienne. C'est juste pour te dire qu'avorter peut-être très difficile quand on a envie de le garder. (Pour la précision, j'avais 22 ans).
La deuxième fois, on avait arrêté toute contraception avec mon chéri mais la panique est arrivée (on était ensemble depuis quelques mois, étudiants et pas bien riches). On a décidé de ne pas la garder mais je n'arrivais pas à me faire à cette idée. (Le côté "pas deux fois" avait du poids aussi) Lui trouvait que c'était plus raisonnable de faire l'IVG, qu'on avait le temps etc. Finalement après le rendez-vous chez la gynéco et l'écho de datation, ma décision était prise, peu importe ce qu'il allait faire. Il m'a toujours dit que la décision m'appartenait quoiqu'il arrive et je crois que c'est ce que tu dois intérioriser. C'est ton corps, ton bébé (le votre, mais aussi le tien), ton désir et je crois que c'est la seule chose qui compte.
Mon copain était préparer à l'idée que je tombe enceinte puisqu'il savait que je ne prenais plus la pilule et la première semaine n'a été que joie donc c'est bien différent, mais aujourd'hui il est absolument amoureux de sa fille et trépigne d'impatience en attendant que j'accouche.
Il est possible que ton copain change d'avis si tu le gardes, ça va dans le sens de la vie, de la beauté, de l'amour. Avorter peut aussi aller dans le sens de la vie (je suis convaincue qu'il vaut mieux ne pas garder un enfant dont on ne veut pas) mais dans ton cas j'ai l'impression que tu le regretterais bien longtemps. Que toi, tu n'auras sans doute pas l'opportunité de changer d'avis...
Mon message est dénué de toute neutralité et je m'en excuse par avance. J'espère simplement qu'il t'aidera.