Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : Dans la Sarthe, un hopital public ne pratique plus les IVG
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Même si je suis aussi choqué-e que toi, l'objection de conscience a existé dans la loi dès le début donc en 1975.Des femmes et certains hommes se sont battus pour l'IVG et voilà que certains médecins décident de ne plus la pratiquer. Une honte !
Donc selon toi, on peut bien laisser crever les gens dont les médecins seraient obligés d'aller contre leurs convictions pour les soigner ?Si ce geste va à l'encontre de la morale et de la conscience de ces médecins, je ne vois pas pourquoi ils devraient le faire.
Personne ici ne va t'incendier, et si ça arrive, la madz incriminée sera immédiatement rappelée à l'ordre. Tu ne dois pas bien connaître le forum si tu juges nécessaire de lui apprendre la liberté d'expression. Ceci dit, ne t'attends pas à ce qu'on t'envoie des fleurs.Je suis également convaincue qu'on devrait pouvoir dire qu'on est contre sans se faire incendier. C'est le principe même de la liberté d'expression.
Non pas du tout, aucun jugement, c'est juste une constatation. Je n'ai jamais écrit "il suffit de". C'est vrai qu'on a moins de chance en se protégeant (et avec l'abstinence, c'est un fait c'est du 100%, mais c'est un mode de vie qui ne correspond pas à tout le monde). Après je sais bien que la contraception n'est pas une assurance tout risque si je puis dire, puisque je suis née alors que ma mère prenait la pilule.@LauraMarie t’es sure de pas juger ? Je vois vachement de jugement moi.
Surtout quand tu dis « suffit de se protéger ou de s’abstenir. » Ça sous entends quasi explicitement que tu les juges.
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Ce n'est pas du tout la même chose. Dans le cas que vous mentionné, la vie de la personne est en danger. Donc la question ne se pose pas. Par contre, l'analogie que l'on pourrait faire c'est avec l'euthanasie. Seriez-vous prête pour retirer la vie à quelqu'un ? Sans me prononcer pour ou contre, ça doit être très dure comme décision à prendre.@LauraMarie admettons que je sois urgentiste, et que quelqu'un arrive avec une blessure due à une pratique sexuelle extrême (mais consentie). Hors admettons que je sois absolument révulsée par ce genre de pratiques parce qu'elles sont amorales et contre-nature. Je laisse la personne se vider de son sang parce que je ne veux pas la soigner ?
Ou alors je me retrouve face à un criminel blessé lors d'un casse qui tourne mal et qui a été neutralisé par les forces de l'ordre, mais ça reste une personne qui a tué. Je le soigne pas non plus parce que je ne cautionne pas les meurtres ?
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