Primo, c'est mieux de me mentionner si tu veux que je voie ta réponse. Secundo, je ne vois pas à quel moment de ma réponse j'ai sous-entendu que je connaissais les "historiques médicaux personnels des un.e.s et des autres"Je suis très surprise par la virulence de ta réaction mais puisque tu sembles tout connaître de l'historique médical personnel des un(e)s et des autres , je préfère te laisser à tes certitudes et interprétations "douteuses" de mes posts .

C'est un peu normal d'avoir à se justifier quand on expose son opinion, surtout sur un sujet pouvant faire autant de dégâts si désinformé, tu ne crois pas ? Je ne t'ai jamais demandé ta situation personnelle ou celle de tes proches, je t'ai demandé des exemples objectifs, des faits. C'est toi qui essaies de tout ramener au "personnel", au lieu d'apporter des arguments factuels à opposer aux miensLe sentiment de devoir se justifier est très désagréable d'autant que ça nécessiterait de devoir faire étalage de situations personnelles .

Je ne vois pas le rapport, encore une fois, tu essaies de revenir sur des histoires personnelles sans jamais donner aucun argument.Je suis sûrement incompétente sur la médecine en générale , je le suis beaucoup plus sur les dossiers médicaux des membres de ma famille .
Fin de la conversation pour moi , bonne soirée .
Dans ton premier message, celui qui m'est adressé, tu exposes ton opinion en essayant de me mettre directement en cause. Tu t'étonnes que je réagisse ? Je trouve ta rhétorique assez classique des complotistes/antivax/gens qui veulent désinformer : un message à charge, puis plusieurs messages censés adoucir les angles, genre "je suis juste là pour discuter" (ce que tu as fait dans les message suivants, en réponse à d'autres Madz avant moi). Si tu veux vraiment discuter, réponds à mes questions, alors. Moi, j'ai répondu aux tiennes.
Je m'arrête d'ailleurs sur la partie "douter est un signe de bonne santé mentale" de ton premier message qui m'était adressé, que j'avais passé à ma première réponse. Au-delà du fait que c'est très limite comme réflexion, juste : aucun rapport.
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