@Sol Invictus Tu es jugeante en plus d'être désagrable, joli combo 



Alors si j'ai bien compris mes diverses sources (dictionnaire médical pour 1) et 3) + diverses pour 2)):J'ajoute également à ta définition : les comportements de restriction qui suivent les crises (jeûne, régime hypocalorique, aliments interdits, etc), l'activité physique excessive visant à "annuler" la prise alimentaire, la prise de diurétiques et autres médicaments
Il s'agit aussi de boulimie, mais on distingue un type "avec comportements purgatoires" et "sans comportement purgatoire"
L'hyperphagie/binge eating disorder c'est des crises de boulimie mais sans comportement 'actif' pour annuler la prise calorique
Les deux sont des troubles du comportement alimentaire qui apportent leur lot de souffrance, quelque soit le nombre de symptômes.
+ je valide que le terme de maladie est mal connoté et souvent stigmatisant pour la personne qui en souffre, c'est dommage!
Qui juge entre moi, qui défend le droit pour les personnes obèses de ne pas être jugées sur leur physique et leurs problèmes de santé hypothétiques, et vous qui exigez de ces personnes qu'elles reconnaissent avoir un problème et être malades ? Pas moi, de manière évidente.
Vous ne pouvez niez et refuser son témoignage, tout comme celui de l'auteur.

Alors si j'ai bien compris mes diverses sources (dictionnaire médical pour 1) et 3) + diverses pour 2)):
1) Hyperphagie : Consommation excessive de nourriture au cours des repas, non compulsif.
2) Syndrome d'hyperphagie incontrôlée /Binge Eating disorder/ Hyperphagie boulimique : Comme son nom l'indique, version compulsive (=crises) du 1) (l'hyperphagie)
3) Boulimie : c'est le 2) (Accès répétés d'hyperphagie) "avec comportements purgatoires"

). Un bypass, c'est devoir surveiller à vie ses apports histoire de ne pas tomber dans des carences qui représentent elles un danger vital énorme, c'est devoir quotidiennement gober des vitamines parce que le corps ne les assimile plus comme avant (et c'est avoir un corps qui n'a plus autant l'énergie qu'avant, c'est une réalité!). Certes, j'ai aussi une santé correcte, des prises de sang impeccables et tutti quanti après des débuts un peu laborieux, mais c'est pas ça qui rend cet acte chirurgical moins générateur d'une maladie.