Atelier d'écriture (thématique)

4 Janvier 2012
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Lille
Hello, est-ce qu'il y a des lilloises (ou nordistes) intéressées pour participer à des ateliers d'écriture irl ?
Bises à toutes !
 
4 Novembre 2007
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Metz
lesvoyagesdemircea.wordpress.com
Sur la table, un fiole, avec dessus écris "bois moi".

Je connais ce genre de fiole. J'en ai déjà beaucoup usé dans ma jeunesse, à l'époque où je courrais après les lapins dans le jardin de mes grands-parents. "Bois-moi". Je n'aime pas qu'on me tutoie, je n'aime pas les ordres, mais la tentation est là.
Du temps où j'étais en couple avec Peter Pan ce genre de problème de se posais pas, il suffisait de se laisser porter d'ivresse en ivresse et tout semblait si léger...
Mais le temps est passé, j'ai grandis, hors de Neverland j'ai vieillis. Et j'ai perdu le pouvoir naturel qu'on les enfants à voler la nuit dans le dos de leurs parents.

Quand j'imaginais ma vie d'adulte, quelque part entre le Pays des Merveilles et Neverland, j'avais une idée assez précise des contraintes matérielles que je rencontrerais. Je savais que je finirais l'hiver entre plaid et pull pour faire baisser la facture d'électricité, que j'aurais des peines de coeur de plus en plus sérieuses et des orgasmes de plus en plus puissants. J'avais ce genre d'idée assez précises en tête et pour l'essentielle et se sont révélées vraies.
Mais je ne me serais jamais douté du poids que peuvent avoir les souvenirs lorsqu'ils s'accumulent d'années en années de telle sorte que vous finissez par ne plus pouvoir voler du jour au lendemain.
Ca m'arrive encore, de pleurer à propos de presque rien. De pleurer à cause de presque toi. Vois le tissu de mon âme et vois comme il est usé, à peine tient-il chaud lorsque les doutes s'engouffrent entre les mailles.
Un matin je me suis levée, ce matin à vrai dire, plus lasse que d'habitude, plus lourde. Lassée de ressasser ces mêmes souvenirs soufrés.

Il parait qu'il existe un moyen pour retourner à l'état initial, un super-pouvoir de régénération qui permet d'oublier toutes les épreuves, tout les affronts. Qui permet de voler à nouveau et d'imaginer des mondes où les lapins s'inquiètent à votre place de l'heure qu'il est. C'est le seul super pouvoir dont l'adulte a la nécessité, puisqu'il ne peut obtenir ce qu'il désire. C'est un super-pouvoir qui rend invisible les cicatrices qui émaillent une conscience trop usée jadis.

Sur la table, une fiole avec écris "bois moi".
Je la bois, le breuvage fais son effet magique.
Au sol, un cookie avec écrit "mange moi".
Je le mange, le biscuit fait son effet magique.
Et ainsi de suite.

Vous connaissez la musique. On est jamais que ce qu'on a peur de ne pas être assez. On a les super-pouvoir qu'on mérite, ceux qu'on ose imaginer.
 
Dernière édition :
24 Septembre 2012
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Coucou !
Sur le thème Le Mouvement (ou plutôt LE MOUuuuuveMEEEENt) j'étais passé il y a un moment et j'avais produit un petit truc, je voulais y revenir mais je ne l'ai pas fait, du coup je le mets comme ça, j'espère que ça ne pose pas de soucis (même si c'est vraiment court, et plutôt l'arrêt du mouvement) (c'est la première fois que je post dans le forum écriture alors je dois vous avouer que je ne sais pas trop s'il y a des règles précises :shifty:)
Sinon "La Nuit" je trouve ça cool :)


Regarde me dit mamie en entourant mes épaules de son bras, regarde comme c’est beau !
Et c’était vrai, le carrousel ralentissant sur la place gelée était beau.
Tout en couleurs, or et rouge, en lumières, ampoules jaunes et chaleureuses. La farandole s’arrête, les enfants descendent, c’est déjà fini ! La musique continuait de tourner, ballade à l’accordéon qui avait dû faire valser mamie et toutes ses copines dans le temps, qui aujourd’hui voyait défiler les touristes pressés, pas là pour longtemps. Mamie desserre son bras, je regarde le linceul de neige qui recouvre les pavés.
Le manège arrêté, les enfants en sortent. Encore un tour ! Non. Tu en as assez fait. Il faut partir maintenant.

Les chevaux aux yeux vides figés dans leur ballet éternel attendaient la suite, suspendus sur la barre.
Le corbeau perché sur le toit scrute la foule.
Un papa tenant la main de sa fille me fait un sourire. Mais j’ai perdu le contact avec mamie. Je l’ai perdue.
 
  • Big up !
Réactions : Lsophieful
23 Juillet 2015
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Cherbourg
Mon petit texte pour le thème la nuit :puppyeyes: trop inspirée:
"Je ne dors pas et pourtant je devrais. Mes yeux sont ouverts face au videnoir. Seules les aiguilles de ma montre, illuminent l'obscurité dans laquelle je suis plongée. Je regarde la trotteuse avancer avec frénésie, je songe alors à tout ce que j'aimerais faire. Mes paupières se ferment et j'imagine tout d'abord m'être préparée. Puis je m'imagine sortant dans le plus complet silence de mon appartement. Je ferme ma porte précautionneusement. Je suis comme hypnotisée et mes pas errants, traversent des rues et des places jusqu'à me mener sur le port près d'un banc. Et je le vois, lui que je croyais ne jamais revoir. Je suis tranportée de joie. Nous nous asseyons. Ce soir, il n'y a pas d'étoiles dans le ciel car elles sont la brillants dans nos yeux. Je le regarde, il me regarde, nous sommes tout entiers au bonheur d'être ensemble, réunis à en pouvoir nous toucher. J'ai tellement désiré ce moment où seule à seul je lui aurais dévoilé tout ce qui me vient à l'esprit quand je songe à lui. Il m'explique qu'il ne sait le pourquoi du comment il se trouve la ce soir avec moi, mais que c'est sans importance et la, surprise il m'attrape le visage, le tourne vers lui pour me contempler dans la pénombre et nous nous embrassons. La nuit se rafraîchit autour de nous, mais cela n'a pas la moindre importance, je me colle à lui et nous nous allongeons sur le banc. Je ferme les yeux et quand je les rouvre, il fait jour, ma tête ne repose en fait que sur mon sac à dos. Avec la nuit, mon rêve s'est envolé."
 
7 Octobre 2013
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paflagirafe.tumblr.com
Pour le thème "La nuit"


C'est beau, une ville la nuit. La phrase me tourne toujours dans la tête quand les lampadaires s'allument, que les rues s'endorment. C'est l'heure des noctambules, c'est l'heure des marginaux, c'est l'heure des ombres et des jeux de lumière. Marcher la nuit dans la ville. L'écho des pas sur le béton, sur les pavés, sur les trottoirs ou le gazon. Les voix qui s'enroulent, qui résonnent sous les voûtes, contre les murs endormis. Tout est permis.
C'est beau, une ville la nuit. Les moteurs se sont tus, les pots d'échappement ne polluent plus. Il n'y a que toi, il n'y a que moi. Plus chauve-souris que rossignols, on déambule une bouteille à la main, on échange des gorgées et on pleure des larmes de rire. Assis sur un banc sous le clignotement des décorations de Noël, c'est l'heure des conneries. L'heure de piquer des guirlandes pour s'en faire des diadèmes, l'heure d'emprunter des patins pour glisser sur la patinoire fermée. Tiens-moi fort la main, ne la lâche pas quand on tournoie, quand on voltige, quand on s'écroule par terre et que nos jambes s'emmêlent.
C'est l'heure de nos semblables, des univers parallèles, de la drogue qui fait fuir le sommeil, blanche, blanche comme la nuit. Et on use nos semelles, on erre sans savoir où l'on se trouve, en choisissant les rues qui ont les plus beaux noms, les avenues les plus engageantes. On suit un type étrange, qui brille comme un soleil noir, qui allume l'obscurité avec des mouvements de bras et des histoires extraordinaires. Il comble le ciel de merveilles, il parle d'ailleurs. On se câline contre un arbre, on se pelote sous un porche, on se plaque contre une vitrine. La nuit est à nous, les étoiles sont nos amies et on emmerde les heures qui passent. On emmerde ceux qui dorment au creux d'un oreiller, ceux qui ont le choix entre se coucher ou marcher.

C'est beau, une ville la nuit. J'essaie d'y croire lorsqu'elle nous repousse, qu'elle nous claque les portes de ses maisons au nez. J'essaie d'y croire lorsque ses pavés redeviennent froids et qu'ils transpercent la plus épaisse des couvertures, lorsque la porte du squat laisse entrer l'air glacial et qu'il nous transperce les os. Je m'imbibe d'une nouvelle gorgée, j'oublie qu'ils nous chassent le jour, qu'ils nous crachent à la gueule et nous méprisent. Je me console pensant que la nuit nous appartient, à nous les invisibles, à nous les apaches, à nous les indiens du bitume. Je me dis qu'elle est belle et qu'on l'a choisi, la ville la nuit.
 
7 Octobre 2013
192
300
254
paflagirafe.tumblr.com
Pour le thème MOUuuuuveMEEEENt !

La première fois, Alice ressentit plus qu'elle ne vit un mouvement de l'autre côté de la fenêtre. Derrière les rideaux, quelque chose venait de passer, presque discrètement. Tournant paresseusement le regard vers la fenêtre, elle s'attendait à voir Moche, son chat, remuer doucement la queue en collant sa gueule cassée au carreau. Il avait débarqué un beau matin, l'oreille en sang, des dents en moins, un œil à jamais fermé par le coup de griffe d'un congénère. Il puait atrocement et son poil était collé par diverses immondices dont Alice n'avait pas vraiment envie d'imaginer la provenance. Affamé, épuisé, il n'avait pas opposé grande résistance lorsque la jeune fille l'avait nourri, câliné et lavé, dans cet ordre. Même propre, le chat avait l'air d'être passé sous les roues d'un camion. Moche il était, Moche il fut vite surnommé par tout l'entourage d'Alice. Il ne s'en était pas vexé et était resté dans l'appartement, pansant ses plaies et réapprenant la vie de matou domestique.
Mais point de moustaches derrière la vitre. Rien. Juste une impression. Alice se dit qu'un voisin avait du passer, doucement, sans faire grincer les marches ou claquer les portes.

L'appartement d'Alice permettait en effet ce genre de situation. Elle habitait dans une grande maison biscornue à cinq étages. L'architecte avait du nourrir des rêves de vie en communauté et s'était lâché à l'intérieur. Chaque étage abritait un appartement, lesquels s'enroulaient autour d'immenses paliers intérieurs, reliés par des escaliers en colimaçon, à ciel ouvert. De sorte que la fenêtre de la chambre d'Alice donnait sur l'un de ces paliers suspendus, parquetés et bourrés de plantes vertes. A l'avant-dernier étage, elle n'avait pas trop à souffrir de voisins curieux et elle adorait cet endroit. Son propre appartement était fait de plusieurs pièces reliées les unes aux autres par des séries de marches, des coins et des recoins formant autant de bizarreries qui l'avaient séduite.

Un froissement, un changement de la lumière... Un mouvement, délicat, presque impalpable. Qui se répétait au fil des jours, devenait parfois un peu plus sourd, plus rapide. Elle le ressentait lorsqu'elle lisait, étalée sur son lit, lorsqu'elle griffonnait dans un carnet, accoudée à son bureau, lorsqu'elle traînait sur internet, lorsqu'elle cherchait une tenue pour sortir. Régulièrement. Toujours dans la chambre. Et toujours un palier vide lorsqu'elle s'approchait du rideau. Alice avait l'impression de se faire berner, quelqu'un avait l'air de faire les cent pas devant sa fenêtre et elle n'arrivait pas à le voir ! Même Moche guettait derrière le rideau, aux aguets, son oreille toute arrachée dressée vers le ciel.

Après plusieurs jours, plusieurs semaines même, Alice décida qu'il était temps de découvrir qui se cachait derrière ces mouvements furtifs. Elle avait remarqué que ça se produisait généralement en fin de journée. Un jour, vers 17 heures, elle éteignit toutes les lumières de sa chambre et laissa le rideau légèrement entrouvert. Accroupie derrière un gros fauteuil, elle pouvait apercevoir une grande partie du palier. Les minutes s'écoulèrent, Alice du se faire violence pour ne pas bouger. Une fois passé le petit frisson de se sentir presque comme un agent secret, elle s'emmerdait ferme. Elle caressait Moche du bout des doigts lorsqu'elle vit quelque chose bouger. Son pouls s’accéléra. Une silhouette s'avançait lentement sur le palier. Petite, délicate. Une enfant.

La petite fille s'approcha avec précaution de la fenêtre de la chambre d'Alice. Très discrètement, elle scruta l'intérieur de la pièce. Alice se ratatina derrière son fauteuil, priant pour ne pas être repérée. Elle voulait savoir.

Apparemment satisfaite de voir la chambre vide, l'enfant s'avança vers le milieu du palier. L'espace était dégagé, les plantes vertes à peu près disciplinées le long des murs. Sur le parquet, à la lueur du jour qui déclinait, la petite fille se mit à s'étirer. Alice se rendit compte qu'elle portait un justaucorps de danse sale, des chaussons abîmés et un tutu rapiécé. Avec lenteur, la petite fille commença à danser. Doucement, légèrement. Son petit corps voltigeait, effleurait à peine le sol, rebondissait. Alice était stupéfaite. Hypnotisée. Au son d'une musique qu'elle était la seule à entendre, l'enfant dansait, virevoltait. Combien de temps fit-elle mine de prendre son envol ? Une seconde, une minute, une heure, Alice n'aurait su le dire. Mais lorsque les petits pieds s'immobilisèrent, la jeune femme sortit de sa cachette et ouvrit la fenêtre. "Tu danses tellement bien !"

L'enfant leva la tête, figée tel un petit animal dans la lumière des phares. Paniquée sous le regard émerveillé d'Alice. Elle eu un sursaut, comme si elle allait détaler et s'évanouir dans la nature.
Alice enjamba le rebord de sa fenêtre et sortir sur le palier presque plongé dans la pénombre. "N'aie pas peur de moi, je ne te ferais rien", dit-elle doucement, pour rassurer le petit corps tendu qui lui faisait face. L'enfant ne répondit rien mais ne s'enfuit pas non plus. "Je m'appelle Alice, ici c'est chez moi", continua la jeune femme en désignant la fenêtre. La fillette hocha brièvement la tête, les muscles toujours vibrants, les yeux écarquillés.

Il y eu un silence, quelques secondes suspendues durant lesquels Alice et l'enfant se regardèrent, se jaugèrent et s'acceptèrent. "Pourquoi tu danses ici ?", reprit Alice. "Parce que c'est le seul endroit", répondit l'enfant. Elle avait une voix claire, assez grave pour son âge. Alice se tut, attendit. Et la petite fille raconta. L'amour pour la danse, l'école, les cours, les félicitations des professeurs, l'avenir qui scintillait : elle serait danseuse étoile ou rien. C'était son destin, tout était prévu pour que la princesse aux arabesques de génie continue à danser et deviennent une véritable star. Tout, sauf que son papa soit viré. La fillette disait "fichu à la porte", une expression qui n'était pas de son âge, qu'elle avait dû entendre répéter par ses parents. D'abord, ce fut la fin des cours particuliers. Puis le déménagement et l'adieu à la salle de danse avec barres, miroirs et stéréo que Papa et Maman avaient fait aménager dans la maison. Pas la place dans le nouvel appartement. Et enfin, le déchirement, le plus difficile, la fin de l'école de danse. Trop chère, trop loin. Une autre vie, un autre monde.

La petite fille avait débité son récit d'une traite, sans presque reprendre son souffle, des larmes roulant sur ses joues sans qu'elle ne paraisse s'en rendre compte. Alice lui avait attrapé la main et la serrait. Elle osa une question : "Tu le savais, que je dansais ? C'est pour ça que tu as choisi ce palier ?" L'enfant renifla une fois, acquiesça. "J'ai vu tes posters, et tes chaussons...", avoua la petite fille.

Alice ne réfléchit pas longtemps. Que pouvait-elle faire d'autre, après tout ? La danse c'était son oxygène, le seul moyen qu'elle avait trouvé pour défier la pesanteur de la vie, la lourdeur du quotidien. Quand elle enfilait son justaucorps, elle devenait une autre Alice, elle était féline, elle était tigresse, elle était cygne, elle était petite souris, elle était ce qu'elle voulait, quand elle le voulait. Gamine, la danse était son refuge, elle saignait des orteils à force d'enchaîner les pas, elle se plongeait à corps perdu dans les rythmes qu'elle connaissait et y puisait la force d'affronter le monde qu'elle ne connaissait pas. Elle lâcha la main de l'enfant, enleva ses gros chaussons et retira le lourd pull-over qu'elle mettait pour traîner chez elle. Elle se plaça au centre du palier, à côté de la petite fille, respira. Puis en souriant, elle fit un plié, une pirouette fouettée. Un sourire aux lèvres, Alice tendit de nouveau la main à la petite fille : "Alors, on s'y remet ?"












N.B : je suis une néophyte totale en ce qui concerne la danse classique, veuillez m'excuser pour les erreurs qu'il pourrait y avoir, c'est sorti d'une traite et je n'ai pas pris le temps de me renseigner.
 
22 Mai 2015
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23 329
2 084
32
Paris
Bon je suis en retard, mais ça m'a bien plu comme thème alors je vous donne ça quand même :shifty: (pardon c'est en anglais)

Night time across your face
I hadn't seen it yet
Just sundown close your eyes and forget your own name
Just a dream for a spell jus the way the clock tells
Just the way the bell tolls
Fast asleep dreamily all your thoughts done and gone
I listen
To the speech of your wind
Look real close at the stars you never showed before
Right at your fingertips
On the sky of your thighs
Dreamer
Dealer
Witch
And I stay sleeplessly watching you inventing
The infinity of the moon circling your face
The softness of the verse
Of the vast plains of your palms like hilltops in reverse
 

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