Nouveau thème proposez par @Sifer
Choisir une image qui vous parle, que vous aimez. S'en inspirer pour écrire un texte.
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Atelier d'écriture (thématique)
- Initiateur de la discussion Krumpet
- Date de début
Ça fait quelques temps que j'ai envie de participer à l'atelier d'écriture sans oser. Du coup, j'ai décidé de prendre mon courage à deux main et de me lancer avec ce petit texte ! N'hésitez pas à me faire part de vos remarques quelles qu'elles soient
Polly s’était réveillée la première. La lueur écrasante du soleil de mai l’avait arraché à son sommeil. Elle avait rêvé qu’elle avait perdu un bébé dans un centre commercial, mais après l’avoir retrouvé dans les toilettes d’un fast food, elle avait réalisé que ce qu’elle pensait être un bébé était en fait une très petite femme en tenue mexicaine. Y’avait-il un sens à tout ça ? Elle essayait toujours de trouver une signification à ses rêves les plus absurdes. Voulait-elle avoir un bébé ? Pas vraiment. Avait-elle peur d’être abandonnée ? Sans doute. Mais que faisait le Mexique dans tout ça, elle n’en avait aucune idée.
La maison était calme et fraîche. Il y avait cette atmosphère vaporeuse des matins de printemps où il n’y a rien à faire. Elle alluma la radio de la cuisine et lança la machine à café. Les informations parlaient en boucle de l’attentat meurtrier de la veille. Y’avait-il un sens à tout ça ? Elle fit quelque pas dans le jardin. Le basilic n’était pas en forme, mais le framboisier commençait à fleurir, il y aurait peut-être des framboises cet été. Elle récupéra sa tasse et s’assit dans l’herbe. La rosée lui mouilla un peu les fesses, mais c’était agréable. Maria avait planté des fleurs dans tout le jardin. Les pivoines étaient les préférées de Polly. Leur odeur lui rappelait la campagne lituanienne de ses grands-parents. Elle essaya de se souvenir de cet été où elle était allée leur rendre visite avec sa mère. De l’odeur de thé aux fruits rouges que buvait sa grand-mère, du chant du coq, des chemins terreux qui traversaient les champs de blé.
Le soleil montait lentement dans le ciel. Elle était contente de s’être levée tôt, avant que la chaleur ne devienne trop écrasante. Elle se mit à chercher quelque chose à faire, mais que pouvait-on faire un matin comme celui-là ? Peut-être fallait-il rempoter le basilic. Quand elle se leva pour se servir un autre café, elle aperçu Martin dans le couloir, son téléphone à la main. Il ne dit rien, mais elle comprit que Maria ne rentrerait pas et il n’y avait aucun sens à tout ça.
Polly s’était réveillée la première. La lueur écrasante du soleil de mai l’avait arraché à son sommeil. Elle avait rêvé qu’elle avait perdu un bébé dans un centre commercial, mais après l’avoir retrouvé dans les toilettes d’un fast food, elle avait réalisé que ce qu’elle pensait être un bébé était en fait une très petite femme en tenue mexicaine. Y’avait-il un sens à tout ça ? Elle essayait toujours de trouver une signification à ses rêves les plus absurdes. Voulait-elle avoir un bébé ? Pas vraiment. Avait-elle peur d’être abandonnée ? Sans doute. Mais que faisait le Mexique dans tout ça, elle n’en avait aucune idée.
La maison était calme et fraîche. Il y avait cette atmosphère vaporeuse des matins de printemps où il n’y a rien à faire. Elle alluma la radio de la cuisine et lança la machine à café. Les informations parlaient en boucle de l’attentat meurtrier de la veille. Y’avait-il un sens à tout ça ? Elle fit quelque pas dans le jardin. Le basilic n’était pas en forme, mais le framboisier commençait à fleurir, il y aurait peut-être des framboises cet été. Elle récupéra sa tasse et s’assit dans l’herbe. La rosée lui mouilla un peu les fesses, mais c’était agréable. Maria avait planté des fleurs dans tout le jardin. Les pivoines étaient les préférées de Polly. Leur odeur lui rappelait la campagne lituanienne de ses grands-parents. Elle essaya de se souvenir de cet été où elle était allée leur rendre visite avec sa mère. De l’odeur de thé aux fruits rouges que buvait sa grand-mère, du chant du coq, des chemins terreux qui traversaient les champs de blé.
Le soleil montait lentement dans le ciel. Elle était contente de s’être levée tôt, avant que la chaleur ne devienne trop écrasante. Elle se mit à chercher quelque chose à faire, mais que pouvait-on faire un matin comme celui-là ? Peut-être fallait-il rempoter le basilic. Quand elle se leva pour se servir un autre café, elle aperçu Martin dans le couloir, son téléphone à la main. Il ne dit rien, mais elle comprit que Maria ne rentrerait pas et il n’y avait aucun sens à tout ça.
Dernière édition :
Comme @EleanorRigby (dont j'adore le texte soi dit en passant 
), je me suis laissée tenter par la participation ce mois-ci 
.
Résultat, j'ai commencé un truc mais c'est parti pour être dix fois trop long
), je me suis laissée tenter par la participation ce mois-ci .Résultat, j'ai commencé un truc mais c'est parti pour être dix fois trop long
J'ai loupé quelques thèmes, manque de temps....
Petite tentative pour le dernier, c'est court et pas très bon niveau style, on va dire que c'est la reprise...^^
Petite tentative pour le dernier, c'est court et pas très bon niveau style, on va dire que c'est la reprise...^^
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Merci beaucoup @misspoire
@EleanorRigby , j'aime beaucoup ton texte, et l'image est vraiment chouette aussi!
@EleanorRigby , j'aime beaucoup ton texte, et l'image est vraiment chouette aussi!
@Efe' : ton poème est très beau 
je poste ce que m'a inspiré cette image ^^'
je poste ce que m'a inspiré cette image ^^'
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Dernière édition :
@Ekalos
C'est un lendemain d'attentat, (c'est sous-entendu à travers les infos qui passent à la radio), Maria est une des personnes qui habite dans la maison, mais elle n'est pas rentrée depuis la veille. Quand Polly se réveille, elle ne sait pas si Maria va rentrer, si il lui est arrivé quelque chose mais elle refuse de penser au pire, alors elle se force à penser à autre chose, à fixer son esprit sur des choses banales, des souvenirs... Quand elle croise le regard de Martin, qui lui sait déjà, elle comprend tout de suite que Maria ne rentrera jamais.
Voilà pour la petite explication de texte haha, j'ai voulu faire en sorte que la tragédie soit vraiment sous-entendue, mais peut-être que c'était un petit peu trop subtil. Je vais essayer de le retravailler
C'est un lendemain d'attentat, (c'est sous-entendu à travers les infos qui passent à la radio), Maria est une des personnes qui habite dans la maison, mais elle n'est pas rentrée depuis la veille. Quand Polly se réveille, elle ne sait pas si Maria va rentrer, si il lui est arrivé quelque chose mais elle refuse de penser au pire, alors elle se force à penser à autre chose, à fixer son esprit sur des choses banales, des souvenirs... Quand elle croise le regard de Martin, qui lui sait déjà, elle comprend tout de suite que Maria ne rentrera jamais.
Voilà pour la petite explication de texte haha, j'ai voulu faire en sorte que la tragédie soit vraiment sous-entendue, mais peut-être que c'était un petit peu trop subtil. Je vais essayer de le retravailler
@EleanorRigby : Oui effectivement en relisant le texte je vois la phrase sur les attentats, mais je n'ai pas "lu" l'ambiance que tu veux évoquer. Tu pourrais peut-être un peu allonger le texte, rajouter des flous et des blocages dans la pensée de Polly (?) ou autre. Intensifier la fin aussi du coup, en changeant un peu le rythme des paragraphes précédents. Bien marquer la phrase de fin.
Mais pitêtre que c'est moi qui n'a rien capté aussi
Oh non non, c'est certainement pas toi ! Je vais reprendre tout ça et allonger un peu, tu as complètement raison !
coucou
pour le thème du mois de mai je propose d'écrire un texte en s'inspirant des paroles d'une chanson que l'on choisit
est que ça vous dirait ?
pour le thème du mois de mai je propose d'écrire un texte en s'inspirant des paroles d'une chanson que l'on choisit
est que ça vous dirait ?
Je publie mon texte du thème précédent.
Je regarde le ciel, et je me sens si nostalgique.
Je ne sais trop d'ou me viens cette melancolie,
Mais elle me submerge telle une vague lors d'une tempête.
Je vois le soleil, sa lumiere,
et il me parait si loin.
Tellement difficile à atteindre.
Alors, je me replie, je me recroqueville sur moi même.
Et quand je ferme les yeux je la vois toujours cette lumière
Je me sens seule, prisonnière, si petite dans cette immensité.
Cette lumière qui m'appelle, j'ai l'impression qu'elle m'attends.
Je reve qu'elle m'enveloppe, de me rouler dans sa chaleur.
Mais mes démons me retiennent, cette fichue peur,
e manque de confiance, ce courage qui me manque.
Ces compagnons, ces boulets que je voudrais bien abandonnés.
Malheureusement pour moi, leurs bras sont bien trop grands.
Pour le moment, je ne peux que comtempler la lumiere,
Mais, je ne la perdrais jamais de vue,
Je sais que si je l'oublie, si je ne la regarde pas de temps en temps,
Elle pourrait disparaître, les ténèbres, mes ténèbres pourraient m'engloutir.
Alors, cette lumière je la contemple, je l'appelle, je l’invoques, je la rêve.
Pour qu'un jour, ce soit elle qui me berce.
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Je regarde le ciel, et je me sens si nostalgique.
Je ne sais trop d'ou me viens cette melancolie,
Mais elle me submerge telle une vague lors d'une tempête.
Je vois le soleil, sa lumiere,
et il me parait si loin.
Tellement difficile à atteindre.
Alors, je me replie, je me recroqueville sur moi même.
Et quand je ferme les yeux je la vois toujours cette lumière
Je me sens seule, prisonnière, si petite dans cette immensité.
Cette lumière qui m'appelle, j'ai l'impression qu'elle m'attends.
Je reve qu'elle m'enveloppe, de me rouler dans sa chaleur.
Mais mes démons me retiennent, cette fichue peur,
e manque de confiance, ce courage qui me manque.
Ces compagnons, ces boulets que je voudrais bien abandonnés.
Malheureusement pour moi, leurs bras sont bien trop grands.
Pour le moment, je ne peux que comtempler la lumiere,
Mais, je ne la perdrais jamais de vue,
Je sais que si je l'oublie, si je ne la regarde pas de temps en temps,
Elle pourrait disparaître, les ténèbres, mes ténèbres pourraient m'engloutir.
Alors, cette lumière je la contemple, je l'appelle, je l’invoques, je la rêve.
Pour qu'un jour, ce soit elle qui me berce.
Je suis pas du tout en retard (en vrai j'ai fini mon texte le 4, mais il a fallu le recopier à l'ordi et c'était long 
SI long 
)
Du coup je vous mets un extrait à la longueur adaptée à ce que demande l'exercice ( En vrai je sais toujours pas comment j'ai fait pour finir avec dix pages Word 
) et la version complète en dessous !
L'imge (déso j'arrive pas à l'insérer)
https://s14-eu5.startpage.com/cgi-b...60603.jpg&sp=3b5c25d952450c0e9ec136bc93abdc08
SI long )Du coup je vous mets un extrait à la longueur adaptée à ce que demande l'exercice (
En vrai je sais toujours pas comment j'ai fait pour finir avec dix pages Word ) et la version complète en dessous !L'imge (déso j'arrive pas à l'insérer)
https://s14-eu5.startpage.com/cgi-b...60603.jpg&sp=3b5c25d952450c0e9ec136bc93abdc08
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