J'ai commencé (sur ma Kindle ) Le pendule de Foucault d'Umberto Eco. C'est un auteur que j'aime beaucoup, autant pour la partie théorique de son œuvre (Lector in fabula, L'apostille au Nom de la rose, Histoire de la beauté/Histoire de la laideur sont des ouvrages qui font partie de mes livres de chevet) que pour la partie romanesque. Le nom de la rose est un roman qui m'a passionnée, d'une grande intelligence, dans laquelle Eco utilise son érudition d'une manière très habile et la met au service d'une narration discrète et bien ficelée. Bref, un roman que j'ai pris beaucoup de plaisirs à lire. Ma déception est d'autant plus grande face au Pendule de Foucault... L'écriture est pédante, pleine de manières, je n'entre pas du tout dans l'histoire, la narration est imprécise, comme si Eco avait pris plus de plaisir à étaler tout un tas de références ésotériques qu'à mettre en place l'intrigue. Bref, cela m'a tellement énervée que j'ai arrêté rapidement.
Du coup, j'ai (re)commencé Les frères Karamazov, que j'avais commencé à une période où je n'avais pas assez de temps pour me plonger dans un roman si long. Je n'ai lu qu'une quinzaine de pages pour l'instant.
Du coup, j'ai (re)commencé Les frères Karamazov, que j'avais commencé à une période où je n'avais pas assez de temps pour me plonger dans un roman si long. Je n'ai lu qu'une quinzaine de pages pour l'instant.